A l'occasion de la parution du billet de George Weaver, j'avais suggéré la chose suivante dans les commentaires : "Il ne me reste donc plus qu'à faire un appel vibrant aux lecteurs de ce blog pour les convier à un petit jeu : Rassemblez tous vos 10/18, sélectionnez-en (pas plus de 10) et expédiez-m'en les scans de couverture, histoire de faire une sorte de panégyrique de la collection ! [...] "
C'est à une très courte intervention de Hervé Thiellement qui devra bien un jour nous compléter cette liste, chose qui lui est très aisée à faire puisque Le Tenancier peut témoigner qu'il possède une tripotée de 10/18 dans l'une de ses bibliothèques. Heureusement que notre ami Hervé n'est pas toujours aussi laconique. On reportera le curieux à son billet publié jadis ici même.
C'est à une très courte intervention de Hervé Thiellement qui devra bien un jour nous compléter cette liste, chose qui lui est très aisée à faire puisque Le Tenancier peut témoigner qu'il possède une tripotée de 10/18 dans l'une de ses bibliothèques. Heureusement que notre ami Hervé n'est pas toujours aussi laconique. On reportera le curieux à son billet publié jadis ici même.
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| Frankenstein n°double 219/220, 1964 |
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| Gautier n°823, 1973 |
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| London n°816, 1973 |
Que ceux qui m'ont envoyé leurs couvertures ne perdent pas patience, leur tour viendra également...
Sur ce billet presque laconique, le Tenancier vous annonce qu'il reprendra les publications dans moins d'une semaine, mais il continuera de lire les commentaires...
RépondreSupprimerJe constate que ça fait deux fois que je prévois une suite à une intervention chez le Tenancier. Serai-je homme à tenir ses promesses dans l'air de ce temps ?
RépondreSupprimerOui, oui, je constate aussi, Hervé.
RépondreSupprimerJe présume que le titre du n°816 doit particulièrement ravir Monsieuye Am Lepiq…
RépondreSupprimerÉclairez donc notre lanterne, mon cher George.
RépondreSupprimerMais voyons, personne ne se promène donc sur son charmant blogue, barbOtages, ici-même en lien dans la colonne de droite ?
RépondreSupprimerMais bien sûr que si. mais comme nous ne sommes par certains d'être réveillez moi-même, me myself & I je dubitais, foi de Tenancier.
RépondreSupprimer« Té, Nancy est quand même à des centaines de kilomètres ! », comme on dit vers chez ArD quand on songe à Christophe ou à l'ami Pop9 (grâce à qui on a eu naguère cette démonstration espagnole d'une merveille technologique révolutionnaire qui ne déparerait pas sur l'écran de votre blogue).
RépondreSupprimerHé hé… à bien examiner votre étrange commentaire, je comprends que vous êtes en plein apéro… Pastis ?
Y'a de ça !
RépondreSupprimerPar ailleurs, force est de constater que ceux qui vous "ont envoyé leurs couvertures" se retrouvent dans de beaux draps ! (évitons de parler de Céline, voulez-vous ?)
RépondreSupprimerMais au moins, on lit…
Finalement, tout lecteur assouvit une passion réprimée par ses parents durant l'enfance : ce qu'on lit, même sans lampe de poche, c'est toujours sous la couverture.
RépondreSupprimer"Y'a de ça !" ??
RépondreSupprimerPerroquet ? Absinthe ?
À coup sûr, de quoi éclairer votre lanterne, en tout cas… mais attention à ne pas trop vous allumer !
RépondreSupprimerBon, je signerai dorénavant Logo (Éric).
George, on ne sait pas ici si Nancy est en France, mais on sait renifler vos allusions au BarbOt et à son dernier ouvrage.
RépondreSupprimerArD
Fi ! Nancy est en France, comme le savait Thiers…
RépondreSupprimerMais je n'ai fait nulle allusion, chère ArD : le lien y mène directement !