Dans ce billet, le Tenancier a décidé de s'impliquer vraiment. Ainsi, enchanté de la publication du n° 4 de Bulletin des Amis de Saint-Pol-Roux, il a décidé de montrer sa joie et son enthousiasme. Respectueux de l'exactitude en matière de bibliophilie, il a cependant essayé de coller de près à la thématique de ce numéro : l'impossible représentation...
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On est prié d'être indulgent avec le physique du Tenancier, lequel vient à peine de recommencer à faire un peu de sport. Enfin, dites-vous qu'il a toujours des carrés de chocolat, mais qu'ils ont un peu fondu dans le paquet.
Ah, cher Tenancier, comme vous présentez bien ! Tenez, je vous engage illico pour le salon de la revue où, j'en suis convaincu, vous remporterez un "magnifique" succès dont ne manquera pas de profiter le plus couvert "Bulletin des Amis de Saint-Pol-Roux" !
RépondreSupprimerMon cher SPiRitus, engagez-moi, mais prévoyez force grogs, je prends froid très vite.
RépondreSupprimerEn tout cas, je me demande comment les mannes de Saint-Pol-Roux prennent cette publicité...
Eh bien souhaitons qu'ils prennent cette publicité pour ce qu'elle est : l'hommage tardif d'un "naturiste" du XXIe siècle réparant le silence suspect des naturistes de la fin du XIXe (Saint-Georges de Bouhélier, Maurice Le Blond, etc.) qui lui empruntèrent beaucoup sans jamais s'en réclamer.
RépondreSupprimerL'ouvrage est magnifique (à voir), mais, s'agissant du bonhomme - pour l'avoir pratiqué -, j'ai la faiblesse de croire que l'essentiel se trouve sous la couverture.
RépondreSupprimerAh oui, autre légende possible pour ce billet qui nous (pré)occupe, cher Tenancier : la Besace du solitaire.
(Otto est encore en congé ?)
J'aime pas les marques du slip...
RépondreSupprimerC'est un métier ce genre de photos !
J'en ai connu un qui aimait ce genre de photos mais pas les bouquins...
RépondreSupprimerNon, cher Christophe, Otto n'est plus en vacances, hélas (elles furent fort bonnes). Mais il me fallait le temps de revenir (et de trouver des choses spirituelles à dire. En l'occurrence, j'avoue ma profonde déception à la vue de cette photo : je pensais que le Tenancier était capable de prendre cette pose sans les mains. Encore un rêve qui s'effondre...)
RépondreSupprimerPour le reste, on pourrait même dire, au risque de voir l'histoire bégayer, qu'il s'agit là d'un manifeste à la gloire des Amis de Saint Popol Roux, n'est-il pas ?
Otto Naumme
Le Tenancier ne porte que des caleçons, Vinosse.
RépondreSupprimerPas si sûre que la représentation soit aussi impossible qu'on tend à nous le faire accroire. Je retiens du Tenancier son art de l'entretien unguéal... avec faulx ou sans faulx ?
RépondreSupprimerLes rêves ne seffondrent pas pour tout le monde, finalement.
ArD
Ouh la... je ne vous suis pas, ArD. Quel rapport avec l'ongle ?
RépondreSupprimerIl en retourne de la précision aiguisée d'un savoir-faire selon toute apparence.
RépondreSupprimerChacun regarde ce qu'il veut sur le cliché, non mais !
ArD absconse.
du bel ouvrage , vraiment !
RépondreSupprimerà livre ouvert , à livres ouverts !
ne manque que Bernard , pis Veaux !!!
monsieur Letort , voyons , l'ongle réincarné : un peu comme l'oncle au Chili , con car né !
RépondreSupprimerA. Nonyme , quiet days in Cliché ?
à souvent , au fait !
Cactus/Cactus, faites attention, vous aller effrayer Otto...
RépondreSupprimerpour Otto merci de me prévenir car je n'ai pas le sceptre , Yves ! cependant tout bris de glace me rafraichirait et serait plus bonus que malus !!
RépondreSupprimerJe vous salue, cher Tenancier, et je vous dis à bientôt.
RépondreSupprimer@ Otto - Vous en conviendrez, la vie est moins réjouissante sans les mains...
@ ArD - Si je payais tous vos commentaires rubis sur l'ongle, vous seriez millionnaire... Toujours un plaisir de vous lire très chère.
@ SPiRitus - Je vous découvre jour après jour, et, ma foi, je ne m'en lasse pas.
@ Phil - Je passe commande auprès de vous : un commentaire bien troussé sur l'horrible poignée de porte, au fond, à gauche, qui dénature quelque peu le propos du Tenancier... Merci.
Christophe B., il me semble que la poignée de porte est ouvragée. Dommage qu'elle fut coupée au montage. Ceci dit sans certitude... car zoomer sur cette photo serait indécent.
RépondreSupprimerOn voit que le blog de Christophe ne lui suffit point puisqu'il répond à ma place sur le mien ! Mon cher Christophe, continuez, continuez ! Nous aimons votre présence.
RépondreSupprimerPour la poignée de porte, la déco change cet hiver. Mais vous n'aurez pas de suite car il n'y aura pas de nouvelles photos. Mais nous attendons tout de même les commentaires de Phil, qui est un esthète.
Il va falloir que Phil se fasse douce violence et accepte de moduler le facteur de grossissement du Tenancier pour y voir plus clair !
RépondreSupprimerArD
@Chr. Borhen : merci bien, notez toutefois que je me découvre moins que notre hôte, laissant l'espace au... mystère.
RépondreSupprimer@YL (à propos d'un commentaire sur un billet mien et de mystère justement) : c'est un peu le penchant naturel des saint-pol-roussins que de céder à l'abondance verbale. Je constate d'ailleurs que la sobriété du vôtre (de billet) en suscite de très-nombreux (de commentaires); et qu'en cela votre remarque est d'une pertinence absolue. Et je constate, avec amusement, que ces derniers (toujours les commentaires), en fin scrutateurs, glosent bien d'avantage le second plan que le premier. J'ai donc, dans l'idée, pour le prochain numéro, d'en surimprimer la couverture sur un tapis, ou qui vous conviendra mieux : une peau de bête, cuir sur lequel je vous serai infiniment reconnaissant de poser nu, passant ainsi au premier plan et contraignant les commentaires à s'attarder sur le second, soit le MAGNIFIQUE petit "Bulletin des Amis de Saint-Pol-Roux". En v'là une idée qu'elle est bonne, qu'en dites-vous ?
Il suffirait à notre bon Tenancier d'avoir l'amabilité de reposer avec le bulletin n° 4 en second plan, plus précisément en arrière-plan, ce qui nous amènerait enfin des commentaires sur nos Amis les ...
RépondreSupprimerPourquoi attendre le prochain numéro ?
ArD
Dire que certains avaient peur que ce soient mes commentaires qui fassent que ce fil de conversation dérape...
RépondreSupprimerCher Christophe Borhen, je ne peux bien sûr qu'acquiescer (et applaudir avec ces deux extrémités que vous vantez) à votre remarque !
Quant à l'ami Cactus, je me réjouis de le lire et de voir que je ne suis pas le seul à apprécier et à manier le vert mot...
Otto Naumme
Je dois annoncer à la compagnie que la fréquentation de ce blog a explosée !
RépondreSupprimerJe vais aviser pour la suite de vos propositions...