— J’ai dépassé la treize millième référence fichée aujourd’hui, ai presque rempli la deuxième caisse d’ouvrages à mettre en hibernation, ce qui représente en tout une centaine de livres prélevés dans huit caisses du stock, sachant qu’il me reste encore six cent ouvrages à sortir de la même manière dans plus de cent quarante caisses, puisque je n’en retire que les références 00001 à 02999 (j’en ai vendu un peu, quand même, mais trop lentement à mon goût et pour la rentabilité !). Pendant ce temps, j’ai aussi réintégré pas mal de références en attente dans mon bureau, dans les places libérées dans ces caisses ; mais aussi catalogué en parallèle plus d’une trentaine d’ouvrages, principalement des revues de géographie dont il a fallu transcrire les sommaires en grande partie. Je pense opérer en vidant et remplissant quatre caisses par jours, ce qui devrait prendre deux mois (il faut savoir que certains jours sont bloqués pour s’occuper des expéditions – quand il y en a – mais également les déplacements et travaux annexes). J’ai fait aujourd’hui, encore, deux voyages au box situé à cent mètres, dix allers et retours à la cave.
Ça va bien, je suis content.
Il est content.Elisabeth
RépondreSupprimerSi le Tenancier est content, nous le sommes aussi.
RépondreSupprimerMerci mon cher SPiRitus. J'ai pensé à vous aujourd'hui, au milieu de mes caisses et à propos du rangement de votre bibliothèque.
RépondreSupprimerÇa déborde, n'est-ce pas ? même en caisse...
RépondreSupprimerEh bien non, justement, plus maintenant. J'avais avant l'opération 4 caisses qui débordaient dans mon bureau et j'ai presque réussi à tout résorber (restent des très grands formats que je vais caser ailleurs de toute façon, 3 ou 4 livres) L'intérêt est des tout remettre en stock et de reboucher les trous avec du nouveau. Avec ce premier tour du fonds, je vais rafraîchir 10% de mon catalogue, des choses qui restaient là depuis les débuts, ou presque, de la librairie. Donc, tout cela se résorbe et je peux circuler un ,peu mieux dans mon bureau. Ce n'était pas du luxe ! En revanche, ma bibliothèque personnelle...
RépondreSupprimerFaudra d'ailleurs fournir quelques vues de votre bibliothèque personnelle, mon cher Tenancier.
RépondreSupprimerCherchez bien, il y a un bout d'image dans ce blog...
RépondreSupprimerIl me semble effectivement avoir vu ce bout d'image, mais qui doit commencer à dater, non ?
RépondreSupprimerOui. Si vous êtes sage, je referai un tour du proprio. Mais vous risquez d'être déçu...
RépondreSupprimerJe ne pense pas... j'aime les bibliothèques qui ne ressemblent pas à la mienne.
RépondreSupprimerOui, c'est vrai, on aperçoit le Tenancier en pied devant quelques-uns de ses livres.
RépondreSupprimerMais les caisses ont disparu ? Faut-il ainsi s'en croiser les bras ?
Il y a toujours des caisses à remplir, chez le Tenancier.
RépondreSupprimer;-)
Et des caisses à vider également. Mais elles ne sont pas remplies des mêmes ingrédients...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Ah, cher Otto, je suis ravi de vous voir de retour de votre périple asiatique, d'autant que la perche que vous tendez est vraiment trop belle !
RépondreSupprimerJ'imagine en effet que les caisses dont vous parlez sont remplies du produit de vos fouilles…
(et au fait, êtes-vous arrivé à pied par la Chine ?)
Ah, cher George, le plaisir de vous lire à nouveau est pour moi l'un des réconforts de ce retour !
RépondreSupprimerQuant à mes fouilles, elles sont malheureusement vides, bien évidemment. (quant au contrepet final, je le connais, celui-là ! Ce qui indique que j'en reconnais donc deux ou trois, pour un incurable de la chose, ce n'est finalement pas si mal, isn't it ?)
Otto Naumme
Bien sûr : félicitations !
RépondreSupprimer(d'ailleurs, qu'est-ce qu'on f'rait, avec ces caisses ?)