La Pieuvre par neuf
- Deuxième Tentacule



!!! Contre la propriété sentimentale !!!, Otto Ganz, éd. L’Âne qui butine.

(Voir : La suite du retour du mystère de l'Abeille 2)
Otto nous rend compte de mes envois, j’attends ses compte-rendus avec impatience et quand il mettra trois semaines ou plus, je piafferai d’impatience et prierai notre Tenancier de piquer son ami au vif. Ah, cher Otto, vous m’avez fait languir tant et tant.

Animée par l’enchantement que me procure la petite édition, inspirée par l’aspect sinueux de la topographie du premier roman de jacques Abeille (Les Jardins statuaires, publié en 1982), que sais-je ? Cette fois, ce sera un petit éditeur de Belgique… L’éditrice, Anne Letoré, ne fait pas un pli pour jouer aux envoyeurs anonymes, elle trouve cela très drôle. La collection des Petits Pamphlets est riche, mon choix est essentiellement gouverné par le prénom de l’auteur — Otto Ganz — qui, bien sûr interrogera le bon sens de notre Otto dans son deuxième billet, très drôle. Le hasard fait bien les choses, Anne Letoré joint à son colis une carte postale représentant Betty Page et le Maecken Peace. Je le sais, car elle m’enverra la même avec d’autres petits livres que je lui ai commandés. Le fait qu’il y ait Betty Page sur la carte signe un hasard amusant : Je sais par notre Tenancier qu’Otto apprécie beaucoup Betty Page, ça n’est d’ailleurs pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Disons que je fus précédée.
Le contact passe bien avec Anne Letoré, alors je l’invite à lire le billet d’Otto (le nôtre, pas le sien !) qu’elle trouve « excellent », et l’incite à commenter. Réactive, elle me répond qu’elle veut bien, mais « par quel biais aurions-nous reçu l’info de ce blog ?», demande-t-elle très justement en précisant qu’elle va passer l’information à Otto Ganz. S’ensuivra un commentaire d’Otto Ganz, l’auteur de l’opuscule…
George aboule sur le blog, il cherche à comprendre, de façon cartésienne. En vain. Otto bloque sur les coordonnées postales de son domicile, et pense que l’auteur connaît forcément son adresse. Il a raison ! Son ami lui a assuré qu’il n’était pas l’auteur de cette farce, Otto n’a aucune raison de ne pas le croire. Il a bien raison : toujours croire son ami le Tenancier !

Coup de théâtre prématuré : SPiRitus, en bon praticien des enquêtes bibliographiques, recense les données apparues dans les commentaires sur les billets que le Tenancier avait publiés sur Jacques Abeille, affine les paramètres nécessaires à la conduite d’un tel feuilleton et, dresse une liste de critères de probabilités. SPiRitus et moi, nous côtoyons civilement parmi les lecteurs commentateurs, il ne sait rien de moi et le déplore. Pourtant, il dévoile habilement mon stratagème qu’il sera le seul à identifier : j’avais effectivement opté pour l’éditeur In-8 parce qu’il est basé dans les Pyrénées-Atlantiques, là où réside SPiRitus. De quoi aiguiller le soupçon sur ce commentateur avais-je pensé, de même que j’avais espéré que l’homonymie entre le nom de l’éditeur Letoré et Letort déclencherait quelque réaction. Dépitée, je m’exprimai sous le pseudonyme de Savoparole et tendais une perche, aussitôt rejetée, puisque M’sieur Yves avait nié tout lien avec l’éditrice. Ah, M’sieur Yves, il suffisait qu’il nie et Otto l’innocentait… et SPiRitus se dédouane avec un «Bref, "C'est pas moi" non plus... et c'est celui qui dit pas qui est !»
L’arroseur est bel et bien arrosé : d’entrée de jeu, SPiRitus me classe en haut de la pyramide des soupçonnables, au prétexte que j’aurais pu soustraire l’adresse d’Otto à son grand ami! Je me défends comme une tigresse sur le mode naval avec l’espoir de déstabiliser SPiRitus (cf. avant-dernier commentaire).
Mais SPiRitus — le sait-il ? — avait déjà tout compris. SPiRitus, sans le savoir vraiment, allait devenir un facteur de tension, un «adversaire», un délateur potentiel, un faiseur d’embrouilles dans cette farce où notre Otto buvait la tasse, sortait la tête hors d’eau, replongeait à merveille, attrapait les bouées que je lançais… tout ça dans le style naïf acrobatique.
Le Tenancier jette un pavé dans la marre en signant un commentaire sous le pseudo RCW que seul Otto comprendra puisqu’il s’agit des initiales d’un vieil ami auteur qu’il n’a pas vu depuis vingt ans. Vingt ans… et il débarque, cet ami auteur de SF ! Otto s’en émeut certes, mais c’était gros quand même. Je craignais que le Tenancier ne m’eût grillée… Même pas ! Comme quoi, il connaît bien la taille des couleuvres qu’il peut faire avaler à son ami.

On aurait pu croire cet épisode clos au dernier commentaire, le 27 octobre. Non !, en coulisses, le 9 novembre, Otto interroge les éditeurs L’Atelier in-8 et L’Âne qui butine : il se présente comme une «victime ravie» et cherche à obtenir le nom du commanditaire. Je n’ai pas souvenance qu’il nous reproduisît la réponse de L’Âne qui butine. La voici :
— «Bonjour inconnu gâté ! Mais par qui ? Mystère. De plus mon confessionnal étant fermé ce jour, je ne peux vous dévoiler la moindre parcelle d'identité de l'envoyeur, de l'expéditeur, du joueur. Et oui, parce que joueuse aussi, je me suis bien amusée ; habitant la Belgique, un gag, je ne pouvais que suivre cette commande.»

C’est pas moi !
En promenade en Bourgogne, je visite le musée d’art brut, La Fabuloserie, je tombe sur une œuvre intitulée «L’Apothéose de Ramona». Le tout premier commentaire du premier épisode (La Kimboiseuse) disait : « C’est pas moi.», il était signé Ramon Mirador. L’aubaine ! J’achète la carte postale de l’œuvre de Ramon, j’écris « C’est pas moi !» et j’ajoute «Mirador» : ainsi, Ramona Mirador sera la femme de Ramon Mirador, c’est simple, je poste de cette région où je n’habite pas.

L’ anniversaire.
J’enquête sur la date d’anniversaire d’Otto, elle est imminente, j’embraye. Pour fêter les anniversaires, je suis du genre à chanter a capella la chanson de Jacques Larue, le refrain et surtout ses deux couplets (« chez l’oncle Firmin et la tante Elisa,… ») vous voyez le genre… Je fouille dans ma boite à cartes postales d’anniversaire, cette dame élégiaque avec un bouquet de roses sur les genoux convient à mon inspiration du moment. Avec « Cent mots rivaliseront sans fleurs, ce jour-là », j’espère qu’Otto comprendra que je lui souhaite son anniversaire. J’espérais voir développer le rapprochement avec le slogan maoïste. George, naturellement, le renifle mais ne se souvient pas que l’original de 1956 est : « Que cent écoles rivalisent et que cent fleurs s’épanouissent ! », un vieux slogan en somme.

J’ajoute un indice philatélique, on ne sait jamais : Babar avec un gâteau d’anniversaire sur la trompe. Je découvrirai lors de la publication du billet d’Otto que la Poste a fait montre d’empathie : elle n’a pas oblitéré le timbre pour ne pas gâcher la fête d’Otto. Toutefois, j’avais pris mes précautions et la carte avait transité par un agent localisé dans une autre région. Un agent lecteur commentateur du blog, qui ne sera jamais suspecté. J’ai eu deux intermédiaires transitaires : bien entendu, SPiRitus l’envisagera assez vite pour affirmer que le lieu d’expédition des envois n’était pas forcément le lieu de résidence du mystérieux expéditeur. Il avait bien raison. Et moi aussi, j’avais eu raison de me méfier.

À ce stade, Otto envisage la piste d’une déclaration d’amour, je tiens le bon bout ! Je ne m’y attendais pas, mais au fond, c’est l’idéal, une «victime ravie» qui croit qu’on lui déclare sa flamme, mettez-vous donc à ma place !
Aussitôt, la factrice d’Otto dite «la facteuse» est suspectée. Après tout, elle connaît son adresse et elle pourrait très bien être amoureuse du destinataire qui pourrait bien résider dans un «joyeux bordel de campagne» comme l’écrit Otto Ganz. Et Ramona, sur la carte postale… elle était dans une position équivoque. En voilà un bon aiguillage !
Et notre Otto avoue que «ça trouble à la longue ». On serait troublé à moins. Dans son dernier commentaire, Otto m’enjoint avec humour de ne pas gloser sur les dimensions de son «goupillon». Je note et le resservirai ultérieurement.
De 19 pour l’épisode précédent, on passe à 50 commentaires. Moi qui pensais faire une petite farce en un épisode, me voici prise au piège de ma plaisanterie qui, déjà, fait cogiter un aréopage de commentateurs persévérants qui se piquent au jeu. Aider ce malheureux Otto devient un prétexte pour soit, mieux l’embrouiller (cf. le Tenancier), soit démasquer l’auteur de ces envois anonymes, lequel va très vite devoir endosser des allures de coupable. En voilà un comble de la bienveillance !

ArD
(Illustration de Sabine Allard)

24 commentaires:

  1. Ah, quel plaisir que ce deuxième tentacule, même si j'y joue un rôle un poil "blanc-clownesque", si j'ose dire...
    Et je m'aperçois, plus de deux ans après, que je vous ai fait languir, chère ArD, ce qui, en d'autres circonstances, pourrait passer pour de la goujaterie ou se révéler flatteur à mon égard.
    Toujours est-il que j'ai effectivement bien pateaugé, avec l'aide estimable de ce cher Tenancier et de la vôtre, très chère ArD, pour m'égarer tout en faisant mine de m'aider. Avec beaucoup de talent, il faut le dire !
    Par ailleurs, il est vrai que l'intervention d'Otto Ganz et de certains de ses admirateurs (je lui en souhaite largment plus de deux, il les mérite !) avait apporté un sel certain à l'affaire.
    Pour ce qui concerne le nom d'Anne Letoré, je l'avais bien entendu remarqué, mais cela semblait trop "gros". Et comme ce sacripant de Tenancier continuait à jouer la partition du "c'est pas moi" avec une auréole authentique made in China au-dessus de la tête (j'aurais dû soupçonner quelque chose, le Tenancier ne penche guère plus vers le goupillon que moi...), j'en avais conclu une forcément coïncidence.
    Quant à l'ami RCW, notre cher Tenancier ne l'a peut-être pas vu depuis vingt ans, mais ce n'est pas mon cas, je le vois de temps à autres, nous habitons dans des régions fort différentes, mais nous ne nous sommes pas perdus de vue, loin s'en faut.
    En tout cas, il est vrai que ce cher SPiRitus, grâce à ses appels aux mânes ?, frôlait d'ores et déjà la vérité sans forcément le savoir...
    Et le plaisir de lire ces "confessions" est toujours là, chère ArD, continuez, nous sommes haletants d'impatience d'en lire la suite !

    Otto Naumme

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  2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  3. Pour qui ne suivit cette intrigue que de loin, fortement hameçonnée (tout de même :), ce dévoilement est somptueux.

    J'irai visiter d'un autre œil la "Fabuloserie" où je suis allée il y a très longtemps...

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  4. Mais tout bon détective, cher Otto, se doit de faire confiance à son flair. Ma technique d'enquêteur fut, l'ayant déjà dit on excusera le bégaiement, absolument paranoïa-critique : soit la libre surinterprétation d'indices-qui-n'en-étaient-pas-nécessairement et qui, réunis par pure et arbitraire élection (d'autres ayant été superbement ignorés par même autorité), dessinaient progressivement, sur la page blanche, le portrait chaque fois plus complet de LA coupable !

    Merci, chère ArD, de me présenter si à mon avantage dans ce deuxième tentacule : car, après tout, je pus apparaître aussi comme le trouble-fête, l'empêcheur de jouer en rond ; et je rends grâce à votre talent qui sut gommer, par nouveaux envois ou commentaires, quelques-uns des traits qui vous accusaient, me faire douter de ma propre méthode d'investigation, et m'empêcher de triompher et de m'écrier, en levant ma perruque et le jupon de soubrette : "Mon nom est Sherlock Holmès !"

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  5. ( Je lis le feuilleton dans la joie la plus parfaite !
    ...et suis ravie par l'illustration de Sabine Allard. )

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  6. Il est tout à fait juste, SPiRitus, qu'à chaque épisode, j'instillais des détails qui ont quelque chose à voir avec mon portrait. Comme j'étais une quasi-inconnue, c'était facile.

    Je vous imagine bien, Adria, vous délectant, car les quelques relais que vous en avez produit sur votre blog témoignèrent de cette forme de joie discrète qui vous caractérisait pendant ce feuilleton.

    Eh bien oui, Otto, autant vous dire que je me demandais bien à chaque fois comment vous alliez vous dépatouiller de ces envois anonymes sans queue ni tête pour nous en rendre compte.

    ArD

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  7. ... et moi je continuais de bicher dans mon coin...

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  8. Ah, l'horrible Tenancier ! Son châtiment sera à la hauteur du crime...

    Otto Naumme

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  9. Sec et vingt ans d'âge, s'il vous plaît.

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  10. Vingt ans, vingt ans... Il n'aime décidément que les jeunettes...

    Otto Naumme

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  11. Merci, chère ArD, de continuer à nous replonger dans les méandres de ce fameux mystère. Et je m'aperçois du coup, dois-je avouer, que certaines subtilités d'iceux m'avaient échappé…
    Mais "cartésien", c'est me qualifier un peu vite (d'autant que je penche plutôt pour son disciple hollandais…), vu la quantité de calembours que je me suis permis de déverser lors de ce deuxième épisode…
    À ce propos, je relève que vous écrivez dans le présent billet : « L’éditrice, Anne Letoré, ne fait pas un pli… » Il me faut ici vous contredire, puisqu'elle a précisément mis sous pli la plaquette qu'elle a eu l'obligeance complice d'expédier à Otto !

    Je salive en attendant la suite, et en espérant une explication annexe de la part du Tenancier, concernant la raison de l'avalanche de pseudonymes hollywoodiens qu'il a employés lors de certains détours de cette saga-ci (té !)

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  12. Allons donc, George, mais comment sauriez-vous que le Tenancier se serait caché derrière des pseudos hollywoodiens?

    ArD

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  13. Gaspe ! Hem, je… hé bien, je crois me souvenir qu'il me l'a naguère confié tout ingénument lors d'une conversation en nerfs et en chausses… Mais vrai, allez savoir, avec pareil lascar !

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  14. Rassurez-vous, ArD, George ne l'a appris que lorsque vous avez fait votre outing, je n'ai donc pas cafté avant. Vous oubliez, George, qu'il n'y avait pas que Hollywood mais aussi quelques personnage de la Guerre du Pacifique...
    J'ajoute que rencontrer George à ces moments-là était une expérience goûteuse et assez périlleuse tant je craignais sa perspicacité. Ce fut assez difficile de l'orienter vers des fausses pistes ! Sa rigueur intellectuelle m'a donné du fil à retordre. Je dois dire également que mon unique rencontre avec SPiRitus me fit craindre le pire puisqu'elle se faisait en compagnie de George. Imaginez votre pauvre Tenancier sous le feux croisé de ces deux rhéteurs ! Qu'il est difficile de mentir ! C'est que le combat se situait sur le pur fil de la logique et sans l'affect qui a brouillé les intuitions d'Otto. A ce moment, je me suis retrouvé au centre de l'affaire alors que je n'en n'étais que le spectateur intéressé.
    Pieuvre, vraiment ? Je songe plutôt à l'araignée dans son gîte, attendant la ténue vibration de sa toile, ArD...

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  15. Je ne sais si les compères de Feuilles d'automne seront en mesure d'estimer toutes les vibrations de l'inquiétude qu'a générées ce Mystère, pour vous qui les aviez en direct et pour moi par procuration : la trouille que vous ne gaffiez lors des coups de fil lorsqu'Otto vous téléphonait et abordait le Mystère. Votre tâche fut rude, Tenancier, et vous vous en êtes sorti à merveille.
    Des détails viendront sur ce sujet.)

    ArD

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  16. Ah oui, j'avais oublié cette salve d'amiraux de la guerre du Pacifique ! Je ne parviens toujours pas à établir de lien avec notre Mystère, non plus qu'en ce qui concerne les acteurs…

    C'est amusant, avec le recul, de se remémorer cette rencontre tripartite entre SPiRitus, moi-même et le Tenancier, car j'étais pour ma part à mille lieues de m'imaginer que ce dernier fût de mèche : je comprends maintenant que nous avons dû vivre ce moment de façons très diverses, à la fois tout au plaisir de se rencontrer enfin en chair et en os, pour SPiRitus, en outre, de dégotter quelques ouvrages dont il put garnir sa besace, tandis que le Tenancier se démenait tant bien que mal au milieu des flèches que nous décochions en toute candeur…

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    1. Mais George, il n'y avait aucun rapport, sinon que mon plaisir, bien évidemment.

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    2. Ah bah ça alors, où va-t-on, si en plus vous vous souciez de votre propre plaisir !

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    3. C'est vrai, c'est pêcher.

      Mais c'est bon.

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    4. Vous rendez-vous compte du boulot, George, s'il fallait qu'il y eût des rapports ?!
      __
      ArD

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    5. C'est tout de même flatteur...

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  17. Étrangement, alors qu'assez vite notre Tenancier m'avait paru tenir quelque rôle obscur dans ce Mystère, notre rencontre, chez George - excellente adresse qu'au passage je recommande, car oui on y trouve de bons livres (pour ma part, un Jacques Baron, un Natalie Clifford Barney et un petit Cendrars pour offrir) - notre rencontre, dis-je, le virginalisa. Ou plutôt, par son attitude, sa conversation, son jeu subtil, parvint-il à me faire douter de mes doutes le concernant, et même à les lever. A moins que le petit blanc que nous partageâmes n'y fût pour quelque chose...

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  18. Il y a le fait que, sans me pousser du col, je suis un bon vendeur...

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  19. Merci pour le compliment, cher SPiRitus.
    Ah oui, le petit blanc, j'avais oublié… Possible qu'il ait participé au blanchiment du Tenancier !

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Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.

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