Retrouvons avec plaisir la deuxième partie de la liste des ouvrages d'Hervé Thiellement. Incidemment, cela explique la numérotation quelque peu bizarre de cet opus. Il va de soi qu'à part les deux derniers, le Tenancier ne peut se sentir dépaysé par ce choix. Upfield et Peters appartiennent plus à l'autre période de la collection, la plus récente... Mais baste, il n'y a pas à rougir de ces deux là non plus. Pour en savoir un tout petit peu plus sur le sieur Hervé sur notre blog, cliquez donc là, voulez vous ? On attend d'ailleurs la suite de ses écrits, n'est-ce pas, Hervé ?
Nos 10/18 (8e partie ²)
Retrouvons avec plaisir la deuxième partie de la liste des ouvrages d'Hervé Thiellement. Incidemment, cela explique la numérotation quelque peu bizarre de cet opus. Il va de soi qu'à part les deux derniers, le Tenancier ne peut se sentir dépaysé par ce choix. Upfield et Peters appartiennent plus à l'autre période de la collection, la plus récente... Mais baste, il n'y a pas à rougir de ces deux là non plus. Pour en savoir un tout petit peu plus sur le sieur Hervé sur notre blog, cliquez donc là, voulez vous ? On attend d'ailleurs la suite de ses écrits, n'est-ce pas, Hervé ?
24 commentaires:
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Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.
Donc, pensez à signer vos commentaires, merci !
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Toujours en avance, un travers qui me caractérise, je vais bientôt vous fournir ma liste. Mais acceptez-vous les doublons ou non ?
RépondreSupprimerParce que le Darien, là, il fait partie de la liste que je voulais vous faire parvenir.
Vous pourrez donc récupérer ce fichier, cela me fera un scan de moins à faire.
Otto Naumme
Tiens, un Le Rouge dont j'ignorais l'existence !
RépondreSupprimerLa présence ici du n° 115 me fait penser que l'un des nombreux mérites de cette collection aura été de populariser massivement deux grands écrivains demeurés jusque là plutôt confidentiels : Boris Vian (sous ce nom-là du moins) et Donatien-Aldonze-François de Sade.
Désolé, rien à voir mais je pense que la nouvelle en intéressera plus d'un ici : la Société des Amis d'Alfred Jarry a mis en ligne la quasi-totalité des numéros de sa revue, L'Étoile-Absinthe.
RépondreSupprimerMerci à l'ami ShigePékin, grâce à qui j'ai eu connaissance de la chose.
Vous avez raison !
RépondreSupprimerTenancier, le lien «là» de votre billet, serait-il ourobore ?
RépondreSupprimer—
Merci George, de nous donner de si bonnes nouvelles de l'Indien.
—
ArD
Non, ArD, descendez un peu, s'il vous plaît... lààààà, vous voyez ?
RépondreSupprimerAh... il suffisait de cliquer ici et de lire là. Compris.
RépondreSupprimerArD
Ce
RépondreSupprimer.
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n'est
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pas
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difficile !
Ah oui, là, j'aurais compris du premier coup, enfin... je crois ! Y a pas à dire, la composition d'un texte, c'est un art (!)
RépondreSupprimerArD
C'est parce que vous êtes plus familière aux choses graphiques et autres que vous y auriez pensé du premier coup. Pour les gens plus linéaires, c'est moins évident.
RépondreSupprimer@ Goerge W. Weaver : j'avais vu, sur le stand "Pataphysique" lors du dernier Salon de la poésie, ces revues : c'est chouette qu'elles soient maintenant disponibles (WikiLeaks a des goûts littéraires !).
RépondreSupprimer@ ArD : oui, j'ai aussi ce Darien (et ce Boris Vian, et ce Claude Klotz, c'est un pseudo, si je me souviens bien...) en 10 x 18, je vais donc essayer de chercher, sur mes étagères, des auteurs totalement méconnus !
Dominique, nous fûmes au même salon. Dommage que je ne l'ai pas su plus tôt. Claude Klotz est le véritable nom de Patrick Cauvin... et enfin, c'est plutôt à Otto plutôt qu'ArD que vous vous adressiez. En tout cas si vous me renvoyez des couvertures, il va vous falloir patienter un tantinet ou alors je créé un blogue entièrement consacré à ça ! Mais je risque de manquer d'un peu de temps...
RépondreSupprimerÉtant trop linéaire, je ne comprends pas de quel Indien vous parlez, ArD : Shige ? Jarry ???
RépondreSupprimerIndien vaut mieux que deux tu l'auras.
RépondreSupprimer(Je la fais vite avant le passage d'Otto)
C'est proprement scandaleux, Tenancier : je m'étais abstenu par respect pour votre chatouilleux esprit de sérieux… Des procédés malhonnêtes, oui !
RépondreSupprimerOtto, je vous économise, ne vous plaignez pas.
RépondreSupprimerCher Tenancier, un coup de fatigue ? Vous vous prenez pour moi puis vous répondez à ce cher George en lui donnant de mon patronyme ?
RépondreSupprimerEt vous savez bien que, de toutes façons, je ne vermotise plus en ces lieux, puisque je suis "puni".
Otto Naumme
J'avoue, j'ai confondu. Un peu surmené en cette fin de semaine !
RépondreSupprimerDonc, George, pardon.
Otto, vous n'êtes pas puni, mais on aime également lorsque vous vous fendez un peu. De toute façon entre George et Otto, je suis bien loti. Autant vider un désert avec un tamis (un petit, en hommage à Maupassant).
Houlà ! gros coup de barre, en effet, Tenancier : Voilà qu'après Otto et moi-même, c'est Léautaud et Maupassant que vous confondez !
RépondreSupprimerReposez-vous, je vous en prie, d'autant qu'il vous faut prendre des forces pour demain !
Vous parlez de vider le désert ? Faites donc plutôt un tour chez le marchand de sable…
Ah la la... j'ai honte !
RépondreSupprimerAu sujet de ces confusions sur les "amis", on ne va pas en faire un fromage, n'est-ce pas, même s'il vient des fromageries Bel...
RépondreSupprimer(oui, je sais, je viens de faire une entorse à ma diète vermotique... Que voulez-vous, il faut bien élever le débat...).
Otto Naumme
Voyons, Tenancier, reprenez-vous ! Vous êtes l'archonte de ces lieux : jetez la honte aux orties et conservez l'arc pour décocher vos flèches avec discernement !
RépondreSupprimerIl est d'ailleurs bien normal, cerné de gaillards comme les "Otto", de prendre leurs propos pour mots passant…
Pardon, cher Otto, mais la publicité m'horripile (où onde, heure ?) : voudriez-vous bien cesser de parler de label (au bout, à Dormans ou à Orgelet, peu importe) ?
RépondreSupprimerDiantre, notre Otto pourrait se mettre à parler de Port Salut au risque de passer à la Trappe...
RépondreSupprimerArD