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Poilant !
RépondreSupprimer(hum...)
Otto Naumme
"un débit de Paulhan ou un dépôt de bilan" : dans les deux cas il pourra s'écrier : "Paulhan ploie !"
RépondreSupprimerMes compliments, Wroblewski !
RépondreSupprimer« Si Paulhan ploie, alors ci-gide. »
RépondreSupprimerJean Tarblan, in Les Fleurs de pots. (éditions des Faux Pleurs. Pau, 1951)
Il a le dépit lent, le bouquiniste, ma foi !
RépondreSupprimerArD
— Il était une fois,
RépondreSupprimerDans la ville de Foix,
Un marchand de livres de foi,
Qui vendait de la foi...
Il se dit : Ma foi,
C'est la première fois
Et la dèrenefoi, l'adhère-nef, la der des der, la d'énerve, d'NRF, wouah !
— Les enfants, à Taaaarbes !
Ouch...
RépondreSupprimerMessieurs Wroblewski et Grégory, Mademoiselle ArD, je vous tire mon chapeau lent (même si je ne comprends pas le "ci-gide"…) !
RépondreSupprimerMais n'oublions pas qu'aux dépens de bolides, en dépit de lambeaux et des pans de lobbies, on pourrait aussi songer à Roussel : à des bandes polies [du vieux billard].