Mais saurez-vous nous dire qui donc est :
— Valentin de Quévilly
— Daniel Stern
— Jules Ferney
— Paul l’Édile
— Iskander
— Old Noll
— Robert Burat
— Boz
— Lord R’hoône
— Victor d’Auverney
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Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.
Donc, pensez à signer vos commentaires, merci !
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C'est un quiz pour Gregory ?(!)
RépondreSupprimerArD
Old Noll, c'est Barbey d'Aurevilly ; et Victor d'Auverney, c'est Hugo.
RépondreSupprimerAh zut, je pensais qu'il s'agissait des multiples pseudos d'un seul et même écrivain, genre Frédéric Dard ou Maurice Raphaël !
RépondreSupprimerComme tous ces noms fleurent bon la fin XIXème, je dirais Jules Verne pour Jules Ferney et Paul d'Ivoi pour Paul l'Édile.
Mais bon, je dis ça, je dis rien…
Un quiz pour moi parce qu'il y aurait des anagrammes, je suppose ?
RépondreSupprimerJe ne connais aucun de ces noms.
Mais j'ai cherché et je les ai tous trouvés. Bravo à SPiRitus qui en connaît deux.
Il n'y a là aucune anagramme. Mais l'un de ces écrivains avait de nombreux autres pseudonymes, dont une anagramme.
Parmi ces 10, il y en a 2 que je ne connais pas du tout et 3 vaguement.
Ah zut alors, j'en conclus que j'ai pas bon !
RépondreSupprimerSi vous aimez les anagrammes, cher Grégory, j'imagine que le livre présenté ici devrait vous intéresser (mais sans doute le connaissez-vous déjà)…
Oui, George, j'ai eu connaissance de ce livre aux très bonnes éditions NOUS - qui annoncent en projet du Oskar Pastior, grand poète de l'anagramme : voir notamment ici - mais je ne me suis pas précipité pour le lire. Ni sur cet autre, récent lui aussi. Mais j'ai aimé celui d'Alain Chevrier qui a par ailleurs réédité aux excellentes éditions Plein Chant l'Anagramméana de Gabriel Hécart.
RépondreSupprimerCe que je préfère, ce sont les poèmes dont tous les vers sont, entre eux, anagrammes, comme chez Unica Zürn, Nora Mitrani & Hans Bellmer, Georges Perec, Michelle Grangaud...
Un article sur le sujet que j'ai écrit il y a quelques années.
Merci, Grégory, pour ces informations et ces liens, et surtout pour votre article : j'ignorais tout de cet aspect de l'œuvre d'Unica Zürn !
RépondreSupprimerMais quand j'en suis arrivé au Cône de Rémi Schulz, aïe aïe, la tête a commencé à me tourner…
Je suis certes féru de palindromes et de contrepéteries, qui n'autorisent guère que des formes brèves, mais le côté mathématique des longs anagrammes dépasse les capacités de ma pauvre caboche…
Et surtout, il me semble que le tour de force s'opère toujours au détriment des qualités littéraires du texte. Pas pour Rose au cœur violet, certes, mais par exemple le très long palindrome de Perec, dans un bulletin de l'OULIPO, m'ennuie : j'admire, mais je n'y prends pas de plaisir.
RépondreSupprimerCe genre d'exercice est beaucoup plus gratifiant à élaborer qu'à lire, je trouve.
Je préfère de loin les délicats vers holorimes d'Alphonse Allais ou de Louise de Vilmorin, par exemple…
Et naturellement, l'époustouflant sonnet holorime de Jean Goudezki !
Boz c'est pas Bozo le clown ?
RépondreSupprimer(oui, je sais, c'est pas brillant... mais sur ce quizz-là, j'ai zéro pointé, et quand je me sens bête, je réagis par une pitrerie...)
Ne pas confondre Marie d'Agoult (Daniel Stern) avec le colonel Antoine Argout (OAS).
RépondreSupprimerPour Old Noll ou autres, je me dis qu'il ne faudrait pas que Wikipédia (sans doute le pseudo d'une encyclopédie de bric et de broc) existe : cela barbait, parfois.
RépondreSupprimerDominique, la barbe adorait Willy (nom de plume d'Henry Gauthier-Villars)…
RépondreSupprimerBon, au lieu de me dire que vous avez trouvé, Grégory, elle vient cette liste ?
RépondreSupprimerGeorge, vous prenez pour exemple - le Grand Palindrome de Perec - un texte très particulier, celui du record (in the Guinness Book !), écrit pour être un record et une expérimentation. C'est évidemment en grande partie illisible (ce qui ne signifie pas, à mon sens, dénué de qualité littéraire) mais le véritable tour de force est à mon sens littéraire, dans ce que Perec arrive à faire dire à son texte sur ce qu'il fait, sur la contrainte (il faudrait, pour voir, le lire sans connaître la contrainte) : « Trace l'inégal palindrome », « ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart », « le verbe enivré (ne sucer ni arreter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard », « Silène bavard, replié sur sa nullité », « T'es si crâneur ! ... Rue. Narcisse ! », « miroir brisé du toc cabotin et né du Perec », « boustrophédon répudié ». N'est-il pas drôle à tant moquer son texte ?
RépondreSupprimerCertes, c'est mallarméen, c'est hermétique. Comme Alphabets et La Clôture, recueils surcontraints qui sont pour moi de la haute poésie.
J'aime beaucoup aussi les vers holorimes d'Allais et de Goudezki, c'est plus sobre en effet : à l'excès, ça donne Brisset, on y prend encore un autre plaisir.
Concernant Rémi Schulz, je comprends qu'il puisse faire chauffer la cervelle, surtout quand il s'occupe de nombres. Mais il me passionne toujours, il est maître en coïncidences, et son univers littéraire est singulièrement riche. En plus de son site, je conseille fortement ses blogs Quaternité et blogruz.
Puisqu'on me presse de donner les réponses, voici ce que j'ai trouvé dans Georges D'Heilly, Dictionnaire des pseudonymes où sont divulgués et rétablis les noms inventés, tronqués, travestis, arrangés ou dérangés. Paris, Librairie Rouquette. 1868 :
RépondreSupprimer— Valentin de Quévilly : Edmond About qui signa ainsi dans le Figaro en 1856-57 un série d'articles agressifs et vengeurs connus sous le litre de Lettres d'un bon jeune homme à sa cousine Madeleine.
— Daniel Stern : Comtesse d'Agoult, bravo Dominique.
— Jules Ferney : Étienne Arago signa ainsi quelques nouvelles données au Siècle
— Paul l’Édile : Auguste Maquet, auteur dramatique qui signa ainsi des articles dans la Revue municipale.
— Iskander : Alexandre Herzen, romancier et historien russe, rédacteur en chef du journal La Cloche, de Saint-Pétersbourg.
— Old Noll : Jules Barbey d'Aurevilly, bravo SPiRitus et Dominique.
— Robert Burat : Jules Claretie, journaliste, chroniqueur, critique théâtral, romancier, et même poëte.
— Boz : Charles Dickens signa ainsi tous ses premiers romans.
— Lord R’hoône : Honoré de Balzac. Il est un peu anagramme en fait, celui-là.
— Victor d’Auverney : Victor Hugo, bravo SPiRitus.
C'est bien sûr de ce même volume (le mien sur Hollande) que j'ai tiré cette petite liste. Compliments, Grégory.
RépondreSupprimerTiens, j'en ai un, de pseudo, qui ne doit pas être répertorié dans le dictionnaire de D'Heilly, et que je propose à l'assistance : Qui se cacha donc derrière la signature "Robert G. Norman" ? (Quiz dans le Quiz).
RépondreSupprimerJean Baker ?
RépondreSupprimerMerci pour vos remarques, Grégory, pour lesquelles je vous donne raison, au fond : il y a de plaisants passages dans le Grand Palindrome, et l'incipit est de tout beauté, en effet. Je n'avais pas remarqué toute cette auto-dérision, à vrai dire…
Et félicitations pour votre résolution de cette énigme-ci ! Je connaissais le Quérard, mais pas ce D'Heilly.
Seulement, Edmond About était-il ivrogne au point de réunir ses articles sous des litres ?!
Je remarque en tout cas qu'il est de nouveau question d'une cousine Madeleine : Gide est décidément très présent, en creux, sur ce blogue, actuellement…
Vous voulez dire : Jean Becker, qui débuta dans la carrière alors que Pompompidou n'était pas encore "Mister Predident" ? Ben, non.
RépondreSupprimerAh zut, j'aurais pourtant cru…
RépondreSupprimerMais bon, normal : Jean Meckert ça marche pas non plus (d'autant qu'il n'était pas le mari d'Line Renaud…)
Ni Jean Meckert, ni celle aux-jambes-en-équerre.
RépondreSupprimerJe m'en doutais.
RépondreSupprimerEt puis j'ai tenté de tricher, mais sur la Toile on ne trouve qu'un ingénieur américain des Ponts-et-Chaussées, qui ait publié un ouvrage sous ce nom.
(Et le MEbis, naturellement).
Dites, Tenancier, je ne le relève qu'à l'instant, mais pourquoi voulez-vous nous faire accroire que Roger Nimier est un pseudonyme ?
Eh ben dites donc, vous en avez mis du temps !
RépondreSupprimerAh, ce n'est pas le pseudonyme de Rémi Rongier ?
RépondreSupprimerQuel farceur !
RépondreSupprimerEt Jimmy Gladiator, vous connaissez son vrai nom ?
Désolé, chevauchement : mon commentaire s'adressait au Tenancier.
RépondreSupprimerMais j'en profite, Grégory, pour signaler que Nimier a signé quelques textes honteux du nom de George Rimin.
(Ça énerve, hein ?)
RépondreSupprimerBon, un petit indice : Robert G. Norman fut un pseudonyme très ponctuel d'un écrivain qui en usa de nombreux, dont qqs uns mieux connus.
RépondreSupprimerNorbert Morgan ?
RépondreSupprimerAttention Greg, à voir des anagrammes partout on sombre vite dans la folie !
RépondreSupprimerCela dit, il y a bien un indice dans le pseudonyme permettant d'identifier l'écrivain qui s'y dissimule.
Petit, l'indice, en effet !
RépondreSupprimerAndré Héléna, Frédéric Dard, Jacques Laurent ?
Howard Fast, Ben Hecht ?
Bon, alors dans la prononciation française de "Robert G. Norman", j'entends "robe", "auberge", "R.G", "énorme", et "normand".
RépondreSupprimerJ'en conclus qu'il s'agit d'un ancien des R.G. reconverti en aubergiste normand (après avoir hésité pour une carrière ecclésiastique : son choix lui laissait plus de temps pour écrire) et ayant pris du bide.
Donc : Antoine Dominique.
Vous êtes épatant, cher George. Ça n'est pas ça, mais vous êtes épatant.
RépondreSupprimerHé, pas tant… que ça, puisque je tombe toujours à côté !
RépondreSupprimerEn plus, je dois des excuses à Grégory, puisque je m'aperçois à l'instant que j'ai un "G" de trop dans mon "George Rimin" (trop de geais dans les parages, en ce moment…)
A côté, certes, mais si près...
RépondreSupprimerBon, il y a aussi "Au berger normand", ce qui ne nous mène certes pas à Giono, par exemple…
RépondreSupprimerJ'en conclus donc à regret que l'indice ne ressort pas d'une proximité phonétique.
Alors faut-il conserver les initiales, R.G.N. ?
Roger Gartin du Nard ?
Oui et non. :)
RépondreSupprimer"Si près" ? Pourtant, parmi les premiers Français de la Série Noire, ni Albert Simonin, ni José Giovanni, ni Auguste Le Breton, ni Ange Bastiani…
RépondreSupprimerTonnerre, il n'est même pas référencé sur cette page !
Allez, je jette l'éponge, du moins pour ce soir !
M'étonne que George n'ait pas vu l'homme du nord dans Norman. Mais cela n'ôte rien à son côté péatant !
RépondreSupprimer__
ArD
Bon, j'en conclus que "R" correspond au prénom et "G.-N." au initiales du nom composé (je ne vois pas de prénom double en "R.-G." : Romain-Grégoire, ça me paraît un peu tordu, même chez des cathos intégristes…)
RépondreSupprimerCe n'est donc pas Guy Lévis-Mano, mais il me revient, dans un brouillard obscur, que Hergé avait commis une parodie de BD d'un confrère, N comme Norglub, qu'il avait signée "RGN"…
J'ai bon ?
J'avais vu cet homme du nord, chère ArD, tout comme celui qui a vu l'homme qui a vu l'ours, ainsi que le lac de l'ouest dans le patronyme du regretté Donald, mais qu'en conclure ?
RépondreSupprimerJe ne connais guère les origines régionales des écrivains…
Et je ne vais pas pour autant péater dans la soie !
Simenon, alors ?
Eh bien Sudman, non ?
RépondreSupprimerje suis péate d'admiration, George.
__
ArD
Vous vous égarez en Belgique, cher George, il faut occidentaliser davantage ces initiales. Pour vous aider, un deuxième indice : les autres pseudonymes, plus connus, de notre écrivain, les amateurs de livres ne doivent pas les ignorer.
RépondreSupprimerMais c'est bien ça qui m'énerve, cher SPiRitus ! (sauf que je subodore bien une astuce sur "bibliophile" ou "chineur" dans votre dernier commentaire : à voir...)
RépondreSupprimerPlus à l'ouest, donc, toujours plus à l'ouest... c'est justement les termes mêmes du professeur Tournesol, ce qui nous ramène à Hergé !
Chère ArD, je crois que je vais finir par tenter une OPA sur votre admiration irraisonnée...
Enfin, George, on ne devrait pas vous la faire à vous, à vous, Guillaume le Conquérant !
RépondreSupprimer... Fils de Robert ! Allons, George... Allez, quoi !
RépondreSupprimerArD
Je nage…
RépondreSupprimerSi je saisis bien, c'est un Anglais, puisque connu des amateurs de pounds et à cause de Guillaume le Conquérant.
Mais en restant dans le cadre de la Série Noire, je ne vois pas ce pseudonyme parmi ceux de René Raymond, alias James Hadley Chase, et de toutes façons les initiales ne correspondent pas…
Guillaume le Conquérant n'a pas toujours vécu outre-Manche, cher George. Reprenons de puis le début, nous cherchons qui peut bien se cacher derrière le pseudonyme de Robert G. Norman, fin amateur de livres, ainsi qu'en témoignent d'autres pseudonymes plus récurrents dont il usa.
RépondreSupprimerJ'apprécie votre pugnacité, en tout cas. On ne peut pas dire que les autres habitués de ces lieux vous aident beaucoup. A votre place, je m'impatienterai de devoir tant me prendre le casque, seul. Ah, si seulement il avait des ailes !
C'est Remy de Gourmont qui signa ainsi un article intitulé « Études sur la littérature américaine. La poésie de la nature », paru dans La Controverse et le Contemporain en novembre 1886 et plus tard repris dans Promenades littéraires, sixième série (1926).
RépondreSupprimerBen oui, George, ce n'est pas compliqué : avec SPiRitus, quand ce n'est pas Gourmont, c'est Saint-Pol-Roux.
RépondreSupprimer__
ArD
Félicitations à Grégory !
RépondreSupprimerQuel champion, décidément…
Me reste encore à jeter ma gourme, hon ! (qu'est-ce que je me goure, non ?)
J'avais été voir du côté de Saint-Pol Roux, bien sûr, mais je n'avais pas poussé jusqu'à Gourmont.
Car bon sang, pourquoi m'avoir dit que j'étais si près, avec Antoine Dominique ? Quel rapport, nondedjou ?!
Bon, alors puisque tout le monde a autant de temps à perdre, à mon tour de poser une devinette :
RépondreSupprimerQui a signé une unique traduction française sous le nom de "Brone", et à partir de quel texte ?
Bravo, donc, à Grégory. Mon cher George, vous n'étiez pas si loin, ayant porté votre attention sur les initiales "R.G." et transformé le "Norman" en "Normand". Ils ne sont, en effet, pas si nombreux les auteurs normands ainsi initialisés.
RépondreSupprimerMerci, au passage, à ArD qui me pense à ce point binaire : "le pendule de ma culture littéraire oscille de gauche à droite, de Saint-Pol-Roux à Remy de Gourmont".
Quant à votre devinette, cher George, voici : "Brone" est le pseudonyme de Roland Martin et Witold Gombrowicz pour la traduction de Ferdydurke.
Ah, au fait, cher Grégory, pourrais-tu dire quels furent les autres pseudonymes qui trahissent en Gourmont un amateur de livres ?
RépondreSupprimerAh mais c'est que le binaire est un mode d'expertise incontestable, cher SPiRitus, et loin de moi toute idée de vous chagriner en disant cela. Dites, ce n'est pas tous les jours qu'on croise un expert en SPR, rhôoo ! Enfin, si : ici.
RépondreSupprimerArD
Merci pour ces précisions, SPiRitus : j'ignorais qu'Antoine Dominique était également Normand.
RépondreSupprimerMais je suis dégoûté : vous avez trouvé à la vitesse de l'éclair !
Maintenant, il faut savoir que cette traduction s'est faite, non pas à partir de l'original polonais, mais depuis la traduction en espagnol parue en 1947 :
"En 1947, Ferdydurke fut traduit en espagnol (première traduction étrangère) et publié aux éditions Argos de Buenos Aires.
Cette traduction avait été écrite dans des conditions parfois burlesques au café Rex de Buenos Aires avec un groupe de jeunes partenaires aux échecs, sans dictionnaire polonais/espagnol, avec Witold Gombrowicz lui-même et sous la houlette de deux écrivains cubains Virgilio Piñera et Humberto Rodriguez Tomeu."
Plus de détails sur cette page.
A part R. de Bury, je trouve Jules Delassus, J. Dréxelius, Lucile Dubois, Nicolas le Danois, M. Coffe, The Pilgrim. D'autres encore ?
RépondreSupprimerR. de Bury et Dréxelius sont des pseudonymes de bibliophile. Les "masques" de Gourmont sont nombreux (Delassus est incertain) ; ta liste est déjà imposante. Je n'ajouterai, sans pour autant la rendre exhaustive, que le pseudonyme collectif de QUASI qui signa quelques pastiches dans le Mercure de France.
RépondreSupprimerOui, bien sûr, Quasi !
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