
Ca fait 20 minutes qu'ils sont entrés et papotent. Il regarde les vieilles revues, elle les vieilles reliures. Il choisit un numéro, le lui montre, les palabres commencent. Il me demande le prix. En choisit deux, les repose. Elle lui montre l'heure et ronchonne. Il continue, tout en lui parlant. Et elle en marmonnant. Heureusement qu'ils parlent portugais (sauf pour me demander les prix), sinon je crois que ça m'aurait vite énervée |
Des lusophones qui luzotaient...
RépondreSupprimerArD
Des lusos qui bavardaient très fort et sur un ton agressif, ça aurait pu être en français. Un jour d'agacement....
RépondreSupprimerBéatrice
Ah, chère Béatrice (que je salue, au passage, ça me fait plaisir de vous lire ici), vous êtes malheureusement tombée sur de mauvais numéros, j'ai l'impression.
RépondreSupprimerPour être passé il y a peu à Lisbonne, les gens y parlent certes fort (les entrées maritimes doivent y être pour quelque chose, sans doute...), mais l'amabilité y règne souvent. La denrée s'exporte probablement mal...
Otto Naumme
Mais Otto, vous savez bien que je ne croque dans mes historiettes que les plus fâcheux. La plupart du temps. Et ravie aussi!!!
RépondreSupprimerBéatrice