Notre premier colloque

Vous savez ce que c’est. Sous tous les cieux bien établis, après le plaisir, le labeur vous attend au tournant. Me voici donc à vous faire un rapport sur le premier colloque de notre blogue. J’insiste fort là-dessus, il s’agit bien et de plus en plus de notre chose et plus exclusivement – mais cela fait déjà un certain temps ! – le moyen d’expression de votre Tenancier. Ce colloque nous le rappelait avec évidence. Mais à quoi donc a servi cette rencontre ? Fallait-il de nouveau revenir sur le contenu de Feuilles d’automne ou bien l’enjeu n’était-il pas plutôt de passer un bon moment ensemble ? Certes, certes, nous avons tout de même abordé quelques sujets qui nous préoccupent comme, par exemple la résolution du mystère qui a rebondi il y a quelque temps dans nos colonnes.


(SPiRitus interpellant ArD sur le Mystère dont elle était l'instigatrice)

Mais le véritable plaisir s’est situé dans la rencontre de personnes qui ne s’étaient jamais vues auparavant. Ainsi, si le Tenancier avait croisé tout le monde au moins une fois dans ce colloque, il n’en n’était pas de même pour nombre de participants, dont voici le nom ci-après :
ArD
Ramona Mirador (compagne du Tenancier)
SPiRitus
Otto Naumme
et votre serviteur.
Qu’en dire de plus ? Le plaisir et les souvenirs appartiennent à ceux qui ont vécu ces moments chaleureux et pleins d’humour et dont la table était toujours copieusement alimentée par la logistique généreuse de notre ami Otto.


(Otto énonçant le menu du jour aux membres du colloque)

En somme, la véritable question, la plus importante, la plus cruciale, indépassable, était la suivante :
Quand est-ce qu’on recommence ?
Le reste n'est que littérature.

19 commentaires:

  1. et flûte et crotte et merde ? qu'est-ce que je foutais, moi, j'ai encore loupé un apéro crucial !

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  2. Ah mais Eva, ça se passait à Toulouse ! Le prochain colloque se passerait plutôt à Paris, on vous y espère, ma chère !

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  3. Mon cher Bertrand, je comprends mal votre citation. le seul venin ici est bien le Bourgogne que nous avons ingurgité en collectif autogéré !

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  4. C'était pour l'expression consacrée qui ramène la littérature à du blabla.
    Mais bon, why not ? Il est vrai aussi que c'en est souvent, du blablabla...

    Du Bourgogne en collectif auto-géré ? Vous me mettez le vin à la bouche et ébranlez mes sages résolutions de sobriété.
    Faut dire que même en ne buvant désormais que de l'eau pendant des années, ça fait toujours, vu mes antécédents, une piquette encore hautement chaptalisée.

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  5. Comme ça, je comprends mieux !
    Otto a du bon vin. Cela dit, sa consommation n'était pas à la base du plaisir de nos rencontres et de nos échanges, fort heureusement. Dommage que vous n'ayez pas été dans le coin lors de votre séjour français !

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  6. Et un Saint-Georges se laissa boire dans la Nuits...

    In memoriam
    ArD

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  7. Merci, chère ArD (mais celle-là, SPiRitus l'avait déjà faite ici) : croyez bien que je suis moi aussi fort dépité de n'avoir pas pris part à ces agapes ! (au fait, le cassoulet et la salade d'oranges étaient-ils au rendez-vous ?)

    Je m'étonne, cher Bertrand, que la formule du Tenancier, "Sous tous les cieux bien établis", ne vous ait pas rappelé cette merveille qu'est Hécatombe :
    Or sous tous les cieux sans vergogne,
    C'est un usage bien établi…


    Sinon, je bisse Moons, évidemment !

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  8. Et j'oubliais : félicitations au Tenancier pour le choix des images et leur légende !

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  9. Dernière précision : j'imagine, cher Otto, que le lieu-dit proche de Toulouse où vous avez accueilli le colloque s'appelle Nomplus, puisque chacun a dû s'écrier lors de ces mémorables libations : "C'est pas mou, à Nomplus !"

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  10. Le drapé immaculé et fanatique du convulsionnaire me sied plutôt bien... Le contraste est saisissant avec le sang-froid et le flegme costumé d'ArD.

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  11. Ah, je me reconnais assez en Grand Inquisiteur, promettant sévices à base de cassoulet, de Nuits-Saint-George (eh oui, vous étiez là spiritueusement, cher George !) et d'autres douceurs du même tonneau (si j'ose dire).
    Il faudra effectivement recommencer cela dans des endroits plus propices à l'apparition de ces chères et chers Eva, Moons, Bertrand, George et autres qui voudraient se joindre à nous (Mouton à lunettes, par exemple !).

    Pour le reste, cher George, le lieu-dit aurait effectivement fort bien pu s'appeler ainsi, tant nous prîmes plaisir à consulter les Envois du premier Mystère et à les reclasser (je ne suis pas forcément un parangon d'ordre...).

    En tout cas, le moment fût effectivement fort agréable et mémorable à tous points de vue, ne serait-ce que pour le plaisir d'enfin voir ces chers ArD et SPiRitus !

    Bientôt un deuxième colloque, donc ! J'y serai !

    Otto Naumme

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  12. Si je comprends bien, je me suis trouvé transsubstantiationné en un délicieux Bourgogne…
    À ce propos, je remarque que les tableaux qui illustrent le présent billet sont de nature très religieuse, et cela me remet en mémoire un mien commentaire lors du… quatrième épisode (ce me semble) du Mystère de l'Abeille :
    "Ces plats moines ont pu…"

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  13. (Est-il besoin de préciser que je ne m'en prends pas qu'aux loques à terre ?)

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  14. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  15. Sans doute que non....
    Je propose néanmoins, si j'en suis, "un goupillon factice en forme de phallus"
    Pour faire très Quat'z'arts.
    Qu'en dites-vous, Tenancier ?

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  16. Cher Dominique, je sucre le message dans lequel vous laissez votre adresse mail. En effet, il n'est guère prudent de le laisser traîner ici car des "robots" détectent ces adresses pour assaillir leurs propriétaires de spams.
    Je reproduis ici le reste de votre message qui s'intercale avant celui de Bertrand :
    "J'aimerais participer au prochain colloque et espère recevoir une invitation à laquelle je défèrerai avec un plaisir non dissimulé.

    (Bravo pour l'imagerie pieuse et son commentaire respectable, faudra-t-il venir vêtu d'une robe de bure ?)"
    De toute façon, j'avais votre adresse et je vous tiendrai au courant.

    @ Bertrand, c'est comme à la Légion, ce blog, on ne veut pas savoir ce que vous avez fait ni d'où vous venez et vous pouvez même venir comme ça vous chante. Comme c'est une question de plaisir et non de devoir, j'aimerais bien voir celui qui énoncerait des restrictions dans ces matières...

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  17. On sait bien que vous avez les adresses de la plupart des commentateurs (même sporadiques) de ce blogue, cher Tenancier.

    Celles d'Adrià, de Pop9 ou de Mouton à Lunettes, par exemple…

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Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.

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