A l'occasion de la parution du
billet de George Weaver, j'avais suggéré la chose suivante dans les commentaires : "Il ne me reste donc plus qu'à faire un appel vibrant aux lecteurs de ce blog pour les convier à un petit jeu : Rassemblez tous vos 10/18, sélectionnez-en (pas plus de 10) et expédiez-m'en les scans de couverture, histoire de faire une sorte de panégyrique de la collection ! [...] "
A notre petit jeu, il nous faut également associer le spectaculaire labeur d'Adria Cheno au sujet de cette collection sur son site. Allez vous en rendre compte
ici.
Quatrième livraison, de Fabrice Lefaix, qui anime le blog
Au temps de l'Œil Cacodylate. Il y en a encore en attente de sa part.
Ici encore, c'est un envoi réduit à sa plus simple expression étant donné qu'il ne comporte aucune indication de publication. A vous de compléter, si cela vous amuse...
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Cause Commune 1976/1 : Les Imaginaires n° 1063
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Marc Jimenez : Adorno : art, idéologie et théorie de l'art n° 759
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Ernst Jünger : Le problème d'Aladin n° 1909
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Nikos Kavvadias : Le quart n° 2492
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Imre Kertész : Être sans destin n° 3589
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Gilbert Lascault : Figurées, défigurées. petit vocabulaire de la féminité représentée n° 1171
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Gilbert Lascault : Écrits timides sur le visible n° 1306
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Marc Le Bot : Figures de l'art contemporain n° 1125
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Gustave Le Rouge : La princesse des airs - 1 & 2 n° 1075 & 1076
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Gustave Le Rouge : Le prisonnier de la planète Mars n° 1077
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Vous pouvez toujours envoyer vos couverture, bien sûr, mais il faut que vous sachiez que cela prendra un peu de temps et qu'il faut prendre bien soin d'envoyer vos images à un format correct accompagné d'un maximum de renseignements bibliographiques (achevé d'imprimé, traducteur éventuel, nombre de pages, etc. Plus il y en a, plus c'est amusant.)
nan... dude, ma sélection est mieux que la sienne! ;)
RépondreSupprimernon, sincèrement, le petit vocabulaire de la féminité m'intrigue, je crois que je vais aller voir ailleurs.
V.
Oui, c'était l'époque où Lascault explorait les grottes, à sa manière…
RépondreSupprimerCela, cher Georges, vaudrait-il beaucoup mieux qu'explorer ses mottes, à la grainière ?
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