Johnny le disait déjà :
"J'ai oubliééé deuh viiihhhiihiivreuh"
Le Tenancier adhère pour une fois à ce que profère çui-là. Le blog lui prend du temps et de l'énergie.
Un peu trop.
Il a donc décidé de ce mettre un peu en jachères. Rien ne vaut un peu d'assolement de temps en temps pour laisser respirer le terreau. Et, du reste, il a également la responsabilité de faire vivre sa librairie, exercice qui constitue non seulement son but dans la vie, mais à la fois son vice et son plaisir solitaire.
Il vous retrouvera personnellement dans quelques temps. En attendant, vous ne serez pas abandonnés car quelques nouvelles de mains amies viendront combler son absence.
Ah ben non, qu'est-ce que vous avez tous à nous laisser orphelins ! Le vent des blogs souffle en tempête en en ce moment. Donald Westlake, arrêtez vos blagues, les Conchita n'ont aucun sens de l'humour.
RépondreSupprimerHum, c'est plutôt quitus que blanc-seing, d'ailleurs.
RépondreSupprimerQuand on veut faire pompeux, on essaye de pas faire pompier... (encore un plaisir solitaire, tiens...)
Otto Naumme
Nous octroyons blanc-seing au Tenancier pour sa mise en jachère. Mais qu'il n'en profite pas trop pour s'adonner à son plaisir solitaire. Il sait que cela peut lui être néfaste.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Cher Otto,
RépondreSupprimerje ne voudrais pas ajouter de bruit blanc à vos plaisirs solitaires, mais votre histoire de quitus et de blanc-seing, si employés au sens figuré, c'est un peu... comment dire ?, bonnet blanc et blanc bonnet.
ArD
Quant au pompier, il me semble que cet art se pratique en duo.
RépondreSupprimerChère ArD, oui, certes. Comme quoi je ne devrais pas écrire avant de commencer à être réveillé (je sais, à 11:53 !)
RépondreSupprimerCher Bonneuil, vous faites erreur ! Une certaine souplesse et un fort calibrage peuvent se révéler nécessaire, mais il semblerait que, pour certains ainsi bien dotés, le pompier soit bien un plaisir solitaire.
Le regretté autant que délicat professeur Choron avait du reste écrit un aphorisme sur le sujet (dans ses fameux "jeux de con", disant qu'après s'être fait fracturer le dos par un camion, il était plus facile de pratiquer le pompier tout seul. Mais que l'on avait généralement autre chose à penser à ce moment-là.
On devrait lire plus souvent le professeur Choron.
Otto Naumme
Mille pardons, mais une telle souplesse d'échine n'est donnée qu'aux papas !
RépondreSupprimerSinon, pour Choron, entièrement d'accord. Les éditions Hoebëke ont fait œuvre pie en éditant l'an dernier une anthologie de Hara-Kiri (le mensuel, bien sûr : on sait ce que sont les lecteurs de l'hebdo qui ne l'achètent pas), mais je me prends souvent à rêver à une édition intégrale des 286 numéros de la revue, nonobstant les problèmes de différence de formats selon les époques…