L'auteur de ce blog, jugeant que sa production est un peu élevée et que la moindre panne d'inspiration pourrait nuire au rythme imposé par lui, a décidé de lever un peu le pied avant que de subir d'une manière trop pregnante le vertige du prompt palpitant (équivalent électronique de l'angoisse de la page blanche).
En conséquence, le soussigné va emmagasiner quelques articles et les publier à raison d'un ou deux textes par semaine. Au bout d'un an cela fera tout de même une belle quantité.
Reste que l'envie d'être lu demeure.
Sinon, l'on ne ferait pas de blog.
N'ayant pas les ressources immodérées du marketing, nous nous bornerons à faire preuve d'une astuce qui a déjà fait ses preuves.
C'est François Valorbe, publiant son ouvrage intitulé Napoléon et Paris, qui donne la voie à suivre. L'auteur, ayant décidé d'être lu, s'était renseigné sur les titres les plus vendeurs, d'où icelui nommé ci-dessus - n'ayant du reste aucun rapport avec le contenu.
Désormais, ni Napoléon ni Paris ne font autant recette qu'en 1959, année de parution du livre, chez Losfeld.
Restent les chats.
Nous intitulerons donc ce bref article : «Les Chats de Napoléon à Paris» ce qui va rendre ce blog éminemment populaire et consensuel. Bien entendu, nous mettrons également une photo.
En conséquence, le soussigné va emmagasiner quelques articles et les publier à raison d'un ou deux textes par semaine. Au bout d'un an cela fera tout de même une belle quantité.
Reste que l'envie d'être lu demeure.
Sinon, l'on ne ferait pas de blog.
N'ayant pas les ressources immodérées du marketing, nous nous bornerons à faire preuve d'une astuce qui a déjà fait ses preuves.
C'est François Valorbe, publiant son ouvrage intitulé Napoléon et Paris, qui donne la voie à suivre. L'auteur, ayant décidé d'être lu, s'était renseigné sur les titres les plus vendeurs, d'où icelui nommé ci-dessus - n'ayant du reste aucun rapport avec le contenu.
Désormais, ni Napoléon ni Paris ne font autant recette qu'en 1959, année de parution du livre, chez Losfeld.
Restent les chats.
Nous intitulerons donc ce bref article : «Les Chats de Napoléon à Paris» ce qui va rendre ce blog éminemment populaire et consensuel. Bien entendu, nous mettrons également une photo.
Oui, le rythme quotidien est difficile à tenir, on court le risque d'y consacrer toute sa capacité de création.
RépondreSupprimerUne à deux notes par semaine comme vous l'envisagez, c'est plus raisonnable. Je fais comme vous, je me donne deux articles d'avance pour ne pas risquer de paniquer lorsque la date approche.
Vous savez ce que c'est, Henri, l'enthousiasme des débuts... De plus, je frime ! Je n'ai pas un texte d'avance pour le moment. Que les cieux m'épargne d'avoir brûlé toutes mes cartouches dès le départ.
RépondreSupprimerQue les cieux m'épargnent, au pluriel, naturliche. Fatigué, ce soir...
RépondreSupprimerEncore un qui ne veut pas travailler plus pour blogguer plus !
RépondreSupprimerMonsieur Letort, en acceptant d'ouvrir un blog, vous avez fait le premier pas vers un sacerdoce (ça sert d'os ? On m'aurait menti ?), que dis-je, vous êtes entré en religion !
Attention cependant à ne pas se laisser berner par tous ces mécréants schismatiques qui, du haut de leur blog, adorent le dieu Nombril, un oeil vissé sur les stats de fréquentation de leur "progéniture", l'autre focalisé sur leur vénéré ornement, fiers ainsi de disposer de tout le recul nécessaire à leur accomplissement onaniste.
Vous voici donc obligé de produire, de montrer au commun des visiteurs votre patte, vos idées, votre brillance (ça fait longtemps que je voulais te le dire : arrête la brillantine !!!).
Mais, une chose est sûre : z'êtes chez vous, faites ce que vous voulez. Et contrefoutez vous une fois pour toutes du nombre de pages vues, de visiteurs "uniques" ou de commentaires déposés.
Car, en vérité, je vous le dit, il y a une vie après les blogs !
Vous me ferez deux Patés et trois P'tits verres.
Allez en paix,
Frère Otto Naumme
Que le premier bloggueur qui n'a pas péché par excès de zèle me jette le premier mail
RépondreSupprimerJe craque devant ce magnifique chat.
RépondreSupprimerSi je ne tenais à mon fond d'écran actuel, je l'eusse remplacé
...en demandant votre autorisation, bien sûr...
RépondreSupprimerVous avez l'autorisation d'Argol...
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