Mais de quel "auteur si mal traduit jusqu'à maintenant" — aux dires du personnage de droite — s'agit-il ici ?
Ce pauvre vieux...
Mais de quel "auteur si mal traduit jusqu'à maintenant" — aux dires du personnage de droite — s'agit-il ici ?
48 commentaires:
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Alors là, faudrait revoir La grande illusion, ce qui ne m'est pas arrivé depuis deux décennies…
RépondreSupprimerSigmund Freud.
RépondreSupprimerAlors là, com-plè-te-ment à côté de la plaque, Grégory !
RépondreSupprimerQuelque part, ça me fait un peu plaisir de vous mettre en échec, mon cher...
Pfff. M'en fous, j'ai trouvé. Il est même l'auteur d'une devise bien freudienne.
RépondreSupprimerBon, ça n'avance pas des masses, ce petit jeu, dites-moi...
RépondreSupprimer"L'auteur d'une devise bien freudienne", ce ne serait pas cette catcheuse qui raconte dans son autobiographie s'être retrouvée en fort mauvaise posture au cours d'un match :
RépondreSupprimer"Le sale émoi : elle sur moi !" ?
Hellas, Hellas, c'est là qu'est l'os.
RépondreSupprimerHomère, [d'] alors ?
RépondreSupprimerNon, je vous le dis tout net sans faire ma tête de chien !
RépondreSupprimerAh non, pardon : je dis (peu) plutôt Sophocle — qui rime d'ailleurs avec le monocle de Von Stroheim…
RépondreSupprimer"Tête de chien", donc "Cyniques", mmmh… ça nous mènerait vers les Vies et doctrines… de Diogène Laërce, mais je ne vois plus le rapport avec Freud…
RépondreSupprimerConcentrez-vous, George...
RépondreSupprimerMoi je veux bien mais Hellas, t'es cité — ce qui laisse du mou…
RépondreSupprimerComment traduisez-vous tête de chien en grec ?
RépondreSupprimer... de toute façon, à un mot près, on pourrait en faire tout un cirque.
RépondreSupprimerJ'arrête là.
On ne sait jamais, Grégory aura peut être fini de bouder et nous donnera la solution.
A un phonème, plutôt.
RépondreSupprimerEt à un autre, ça devient un drame de Claudel.
Je ne connais rien au grec, Tenancier, pas même l'alphabet (j'ai pas fait mes humanités, moi !), mais "tête de chien" m'évoque "cynocéphale", et donc… quoi ?
RépondreSupprimerEt puis vos allusions à Bouglione, Fratellini ou "La piste aux étoiles", qu'est-ce que c'est que ce cirque ?
Ah, merci, Grégory, pour la précision !
RépondreSupprimerDonc Claudel + tête = Tête d'or…
Totor ?
Diodore ?
Grmbbll !
Ou alors "Fédor", pour Dostoïevski ?
RépondreSupprimerMais quel rapport avec les Grecs et le cirque ?!
De Poule Claudel, pour être prassis.
RépondreSupprimerQuant à la tête, si elle est cônique, pourquoi pas ?
Cynocéphale, c'est une bonne indication...
RépondreSupprimerL'autre Diogène, celui de Sinope, peut-être ?
RépondreSupprimer"Poule" ? aux œufs d'or ?
RépondreSupprimerDonc L'âne d'or d'Apulée ?
Mais quelle est cette histoire de "prassis" er de "tête cônique" ???
L'ami Wroblewski me suggère La divine comédie, à cause des cercles concentriques de l'Enfer…
Ne vous laissez pas égarer par Grégory.
RépondreSupprimerVous n'êtes pas en forme olympique, en tout cas.
Je suis pourtant très fier de mes jeux de mots. Même si George n'y comprend rien, ce que je ne m'explique pas.
RépondreSupprimerIl doit faire exprès.
RépondreSupprimerPas sûr... Pour l'antiquaille, il est peut être moins à l'aise.
RépondreSupprimerPindare né à Cynocéphales en Béotie :)
RépondreSupprimerMichèle
Ben fant'putain, si c'est la bonne silution, j'étais loinb, très loin...
RépondreSupprimerAu début, je me suis dit : c'est des soldats, plus ou moins prussiens, c'est un gros livre, peu-être Clause Witz...
Mais avec Freud, les Grecs, les têtes de chien et tout le fourbi, je me suis dit qu'il valait mieux la fermer.
C'ets pourquoi je l'ouvre.
Clausewitz ! Sinon, Witz Clause ça ferait WC.
RépondreSupprimerEh oui...
RépondreSupprimerCe pauvre vieux Pindare, dit Von Stroheim dans le film.
Félicitons Michelle et tout de même Grégory qui savait mais qui n'a rien dit (Brecht n'était pas élogieux sur ce postulat, mais c'était pas le même contexte).
Pindare, j'adore cet auteur ! Avez-vous essayé de prononcer son nom en vous bouchant le nez ? Effet assuré en salon littéraire !
RépondreSupprimerBon, George et moi étions loin du compte (j'ai eu le plaisir de participer à ce jeu hier, en visite à sa librairie).
Avé l'accent tudesque à la Von Stroheim, ça le fait aussi.
RépondreSupprimerOui, George m'a dit que vous l'aviez aidé, et j'en suis heureux !...
Oui, je suis béotien en matière de poésie antique, mais j'ai bien envie de vous envoyer vous faire voir chez les Grecs !
RépondreSupprimerPerrault disait de lui : "Sa poésie est un impénétrable galimatias", ce qu'étaient tout autant pour moi vos indications !
Je comprends maintenant les allusions aux Olympiques, au cirque Pinder et au Pain dur de Claudel, mais toujours pas cette histoire de "prassis", de tête conique ni de devise freudienne ("L'homme est le rêve d'une ombre" ?).
Et j'aimerais bien savoir comment Grégory et Michèle ont trouvé…
En revoyant le film ?
Mais, mon cher George, cette allusion à Pindare qui est presque un fil rouge dans le film est une chose mémorable. J'ai été étonné que vous ne vous rappeliez pas de cela lorsque vous avez évoqué La Grande Illusion
RépondreSupprimerMais je vous l'ai dit d'emblée, je l'ai vu voici plus de vingt ans : quasi aucun souvenir !
RépondreSupprimerEn somme, c'est plutôt moi le pauvre vieux, dans cette histoire…
Le comble, c'est que j'ai pour voisin Pascal Mérigeau, qui vient de publier une monumentale biographie de Renoir (qu'il a d'ailleurs eu la gentillesse de m'offrir), mais je ne l'ai pas vu ces deux derniers jours.
(Ça alors ! Figurez-vous que les deux mots que me réclame le captcha sont les suivants : "claimic George" !)
Oui, je vous ai bien lu. Curieusement, cette histoire de Pindare était resté dans ma mémoire. La différence est que je n'ai pas laissé autant de temps sans le revoir (Il y a une passion familiale autour de Renoir, ceci expliquant un peu cela : même à mon corps défendant je n'y aurais pas échappé !)
RépondreSupprimerPour Mérigeau, vous l'avez échappé belle, car, lui posant la question sur Pindare, vous auriez peut être démontré que vous n'avez pas encore lu son livre. Ça la fiche mal... Dépêchez-vous de le lire. Je crois même qu'il y a des choses à raconter sur l'acteur qui joue le traducteur de ce cher vieux Pindare...
Pour la captcha, rien ne m'étonne. Nous êtes sur le blog du tenancier, ne l'oubliez pas !
@ George :
RépondreSupprimerSans vous qui avez donné le titre du film je n'aurais pas trouvé. Je suis allée revoir mes quelques archives du ciné-club que nous faisions vivre à plusieurs. A l'époque quand nous présentions un film et que nous animions les discussions, nous faisions un énorme travail de recherche documentaire et nous visionnions les films avant. Bref, c'est un truc qui marque et je crois que c'est la seule fois de ma vie que je me suis intéressée à Pindare :)
Je ne voulais pas dévoiler la réponse avant d'ajouter un indice et citer Yourcenar. Mais le blogue m'a refusé l'accès tout hier soir jusqu'à ce que j'abandonne mon compte google et signe "Anonyme".
C'était un peu fort de café. Du coup j'ai lâché le morceau. Désolée.
Michèle
Ah merci, Michèle !
RépondreSupprimerEnfin quelqu'un qui ne me dénigre pas complètement, sur ce blogue !
Et puis vous n'avez nulle raison d'être désolée, bien au contraire : je redoutais de devoir passer une nouvelle journée à démêler cet écheveau sous les lazzis du Tenancier et de Grégory…
Tenancier, M. Mérigeau m'a offert son livre voici peu. J'en ai commencé la lecture mais c'est un sacré pavé : il comprendrait très bien que je n'en sois pas encore arrivé aux années trente.
J'en profite pour recommander chaudement ce livre passionnant (et pas que pour les cinéphiles).
Ah voici que nous nous moquons de George, paraît-il, maintenant...
RépondreSupprimerFaites attention, le Tenancier a le sang chaud comme le général rastaquouère dans Un fil à la patte.
Alors pour le coup, votre Feydeau, je ne l'ai carrément pas vu (ni lu).
RépondreSupprimerMais qu'un sang chaud irriguât vos veines, je le savais déjà…
On peut toujours l'imaginer, effectivement, chez moi bien que je sois pas ibère : c'est un sang chaud pensable.
RépondreSupprimerC'est énervant, Tess, sans verres à bière faits de poussières de pierre : sans chopes en sable…
RépondreSupprimerC'est normal, tous les étés les Ibères sont plus rudes (Merci Astérix !)
RépondreSupprimerUn rude Ibère, ce ne serait pas la version espagnole de Sally Mara ?
RépondreSupprimerOn est toujours trop bon avec l'infâme.
RépondreSupprimerChose incroyable : je ne me souviens pas non plus de la Grande Illusion. J'ai donc cherché.
RépondreSupprimerprassis pour précis, en rapport avec le pain dur ou rassis que picore la poule.
conique, cher George, parce qu'une tête ainsi faite est dite en pain de sucre. Donc Tête d'or pourrait se dire Pain d'or...
Quant à la devise de Pindare, je pensais à "Deviens qui/ce que tu est" que Freud a répété après Ni-nietzsche peau d'chien on l'aime bien.
C'était pourtant clair.
Grand merci pour ces explications, cher Grégory, même si elles ne nous éclairent pas sur comment vous avez trouvé.
RépondreSupprimerMais nos circonvolutions mentales diffèrent, de même que nos savoirs respectifs (en partie) : même maintenant, j'ai du mal à associer "prassis" à "pain rassis" (comme on était chez les Grecs, je penchais plutôt pour "praxis"); j'ignorais cette expression de "tête en pain de sucre" et aussi que Freud avait repris cette maxime nietzschéenne que je connais bien…
Cher Tenancier, je vous remercie pour votre affabilité, même si "On est toujours trop bon avec l'affable" (comme disait La Fontaine).