Bêcher, v. a. Dire du mal de quelqu'un ; faire des cancans sur son compte. Ce mot, dont le sens est à peu près le même que celui de Casser du sucre, n'est pas particulier au langage des typographes, non plus que cette dernière expression. |
Eugène Boutmy - Dictionnaire de l'argot des typographes, 1883 |
T'as raison : tous des bêcheurs !
RépondreSupprimerA la ligne.
Malveillance très courante chez les expatriés d'Australie. D'ailleurs, j'entends d'ici le groupe de Sidney bêcher.
RépondreSupprimerFaut que je vous fasse un aveu.
RépondreSupprimerJ'ai changé d'avis.
Au début, je me suis dit que ces jeux de mots étaient indignes et toutes ces choses un peu sottes lorsque l'on a une trop haute opinion de soi. Et puis, à la longue - plaisir ou perversité, ou les deux, allez savoir - je me prends à guetter ce que vous allez bien pouvoir me sortir à la prochaine. En définitive, je suis rassuré sur mon compte et sur le devenir de ce blogue, lequel n'a aucune chance de tomber dans les griffes de vieux cons rances qui n'entrevoient le monde que par la bibliophilie. Quel malheur si cela arrivait ici ! Continuez donc à me faire mal aux dents. Des gens qui ne se prennent pas au sérieux sont capable de l'être quand il faut. L'inverse est moins sûr. Et le Tenancier avoue avoir diablement besoin de légèreté.
J'ai dit.
Si des gens qui ne se prennent pas au sérieux sont capables de l'être quand il faut, l'inverse est moins sûr.
RépondreSupprimerJe propose d'ériger cette sentence en devise de ce blogue !
De toutes façons, cher Tenancier, seuls les imbéciles très bavards deviennent de vieux cons faits rances.
RépondreSupprimerEt j'agrée avec ce cher George, que voilà une belle phrase !
Otto Naumme
Ouf !
RépondreSupprimer@ George WF Weaver : j'adore votre petite fleur (je possède encore le 45 tours, avec "Les Oignons" en deuxième piste !)
RépondreSupprimer@ Le Tenancier : tout à fait d'accord avec vous. Si l'esprit de sérieux devait l'emporter, ce serait un sérieux coup porté à l'attrait incomparable de certains blogs.