J'ai commencé ce mien métier (sic) d'éditeur d'une façon sérieuse, si toutefois l'adjectif sérieux peut s'accorder au nom d'éditeur, en 1951. J'avais fait auparavant — chaque fois que j'écris ce mot, je suis tenté d'ajouter japonais 1 — d'autres tentatives, à tuer de frayeur un énarque. [...] J'étais alors journaliste-pigiste, correcteur d'imprimerie, auteur de romans érotico-policiers, et courtier en librairie. Puisque malgré ces multiples activités, je n'avais pas d'argent, au lieu de faire exécuter des photocopies — technique alors «de pointe» et, par conséquent, ruineuse — des textes que je voulais publier, je les recopiais à la main, à la Bibliothèque nationale, sur des calepins. Après un an de cette calligraphie, j'ai fait paraître mon premier livre. [...] J'avais un programme fort ambitieux, une liste de cent titres, à raison d'un par mois. Je m'intéressais beaucoup aux petits romantiques, comme Pétrus Borel, Charles Lassailly, Philothée O'Neddy, Roger de Beauvoir, et mon premier livre fut les œuvres choisies de Xavier Forneret. Lorsque j'eus pratiquement terminé la préparation, avant le bon à tirer, j'ai pensé à demander à André Breton la notice sur Forneret qu'il avait incluse dans L'anthologie de l'humour noir, pour l'utiliser comme préface. Il me donna rendez-vous à son domicile, 42, rue Fontaine. Entre le moment où j'ai frappé à sa porte, et l'instant où il m'a ouvert, je fus pris d'une espèce de malaise, d'une sorte de perte totale de conscience, bref, n'ayons pas peur des mots, je me suis évanoui. Il dut, d'une poigne énergique, me soutenir jusqu'au divan de la salle de travail. En lisant par la suite les mémoires de Théophile Gautier, j'eus la surprise d'y voir, plus minutieusement décrit, le même malaise qui l'avait assailli lorsqu'il rendit sa première visite à Victor Hugo. [...] L'après-midi, j'allais, quartier par quartier, distribuer mes livres sous le bras (plus tard, ce fut sous le manteau). Comme Forneret n'a jamais figuré sur une liste des ouvrages les plus réclamés, j'avais imaginé un petit stratagème pour forcer la vente. J'entrais dans une librairie et demandais les œuvres choisies de Forneret «récemment parues» aux Éditions Arcanes. Bien sûr, le libraire ne les possédait pas, mais me proposait de les faire rentrer, moyennant le versement d'arrhes. Je précisais que l'ouvrage était bon marché, et je donnais cent francs (de l'époque). Le libraire faisait prendre le livre chez moi, ou chez un grossiste. Un livre coûtant 600 francs, une fois déduite la remise du libraire et les cent francs que j'avais versés, me rapportait encore 300 francs. ____________________ 1. Je tiens à prévenir le lecteur que je ne mollis jamais devant le plus mauvais calembour. |
Une nouvelle fois, l'on ne peut que vous inciter à relire ses mémoires : Endetté comme une mule, ou La passion d'éditer.
Ah ben je profite de ce néo-billet pour passer une petite annonce : recherche dans la collection "Le désordre" chez Losfeld, de Forneret ledit DIAMANT DE L'HERBE. Mais si, vous savez, ces livres élancés avec couverture en blanc & noir de Faucheux représentant des morceaux du grand verre de Duchamp !
RépondreSupprimerMon cher SPiRitus, il n'est pas dans mon fonds. Peut-être devriez-vous lui préférer l'ouvrage paru chez GLM qui est bien plus beau... Mais si c'est pour compléter une collection...
RépondreSupprimerC'est évidemment pour compléter une collection.
RépondreSupprimerIl faudra alors m'en faire une bibliographie...
RépondreSupprimerJe crois bien qu'elle est prête, plus ou moins, mais plutôt plus que moins.
RépondreSupprimerLe Cabinet des Estampes de la B.N. aura inspiré ce boucanier...
RépondreSupprimerArD
Merci pour le compliment, cher Tenancier, mais je n'y suis pas pour grand chose (et, pardon, mais votre citation est légèrement tronquée, ce qui retire toute rigueur syntaxique à ma phrase déjà passablement maladroite…)
RépondreSupprimerJe n'ai toujours pas récupéré ces mémoires de Losfeld, mais il me semble que ce sont les premières pages que vous retranscrivez ici. Je me souviens de cette combine des arrhes, et du "auparavant (japonais)" que j'ai recasé quelque part ici-même à propos de Losfeld.
Quant à la collection "Le désordre", dirigée par Jean Schuster, je ne crois pas qu'elle ait compté plus d'une quinzaine de titres. Je me souviens des Rouilles encagées de Péret, du Thirion érotique (zut, quel en est le titre, déjà ?), du Maintenant de Cravan, des Lettres de guerre de Vaché, de Les mots font l'amour d'Annie Le Brun, L'un dans l'autre de Breton, du Dictionnaire abrégé du surréalisme… un bel ensemble, ma foi.
Dites-moi, cher George, feriez-vous partie de cette cohorte de ratiocineurs qui mégotent toujours sur un compliment, mmmhhh ?
RépondreSupprimerQue vous importe, mon confrère, que j'omette quelques mots par-ci par-là pourvu que votre esprit aiguisé demeure tout de même ?
Pour votre peine, je vous prive de jeu de mot pour au moins deux commentaires.
C'est une décision terrible, mais je ne reviendrai pas là-dessus.
C'est comme ça.
Ah... et puis je vous signale que je viens en direct de passer commande de la bibliographie de la dite collection à SPiRitus. Alors, ce n'est pas pour que vous nous gâchiez le plaisir. Z'êtes comme les types qui raconte le film autour de vous alors qu'il passe à l'écran, vous. Faites attention, George, vous êtes sur la pente fatale, on va vous exiler chez Assouline, si ça continue !
Grand George, défendez-vous de l'ordinaire !
RépondreSupprimerArD
Gaspe ! (premier commentaire sans jeu de mots)
RépondreSupprimerOuf ! (deuxième commentaire sans jeu de mots)
RépondreSupprimerÇa va, vous pouvez y aller, maintenant.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerComme quoi, ma mémoire est pire que du gruyère !
RépondreSupprimerMerci, cher Anonyme, et à vous aussi, ArD : le titre du Thirion m'échappait tellement que je ne l'avais même pas décelé dans votre commentaire !
Le commentaire ci-dessus a été sucré par mes soins et je m'en explique : On avait demandé ici à notre ami SPiRitus d'établir la liste bibliographique de la Collection "Le Désordre" chez Losfeld. Il avait accepté. De cela, vous pouvez en suivre le fil depuis le début dans les commentaires ci-dessus. Je pense qu'il était de la moindre des courtoisies de le laisser dresser cette liste au lieu de s'empresser de la coller dans le commentaire que je viens de supprimer. Ce genre d'attitude me plonge dans une profonde colère car elle ne fait aucunement preuve de respect des commensaux qui viennent de temps à autre améliorer l'ordinaire de ce blog...
RépondreSupprimerJe prie donc l'Anonyme bibliographe d'aller s'occuper de ses propres bégonias.
Gaspe ! Anastasie, céans ? Cela m'étonne de votre part, Tenancier…
RépondreSupprimerÀ l'usage des autres, je précise que l'Anonyme bibliographe livrait ci-dessus la liste quasi-complète des titres de la collection, à deux exceptions près.
Oui, George, c'est la deuxième fois que je supprime un commentaire qui n'est pas le mien. La première fois était un délire psychiatrique à l'encontre du chef de l'état. Il n'a jamais paru parce que je modérais a priori, à l'époque. Ce deuxième, je l'assume sans aucune culpabilité. Je n'aime pas cette impolitesse qui consiste à faire fi des autres en leur grillant la politesse.
RépondreSupprimerÇa m'énerve.
Et Dieu sait si l'Ordinaire est grand sur ce présent blog dont les non moins ordinaires commensaux se délectent à l'idée de la prochaine contribution de SPiRitus.
RépondreSupprimerArD
Dernière remarque et je passe à autre chose.
RépondreSupprimerCe qui m'étonne, George, c'est que vous ayez l'air de vous offusquer du fait que je supprime cette liste en invoquant Anastasie. Je pense que c'est faire trop d'honneur à cette vieille dame que d'en faire appel à elle dès lors qu'il s'agit simplement d'envoyer paître un malpoli. Je n'ai réprimé aucune opinion ni aucune parole sur ce blog. Il en faudrait du reste beaucoup. Je rappelle ici - c'est en haut à droite - que je suis par la force des choses solidaire des propos tenus ici. Devrais-je pour autant adhérer à cette manifestation méprisante vis à vis d'une personne que j'estime beaucoup ? Ai-je besoin de répondre à cette question, précisément ? Sachez, mon cher George, que je ferai la même chose s'il s'avérait que l'on ait fait fi de vos propos de cette manière. Je le ferai pour n'importe qui : je flinguerai parce que je n'aime pas la bêtise, les mégalos et les présomptueux. Même si ce blog est ouvert à tous, on est tout de même prié de s'essuyer les godasses et de se mettre bien avec le Tenancier avant que de s'étaler grassement.
Cela peut aider parfois
Oups là, je poste une petite annonce, je m'absente une journée, et on en profite pour se chamailler ! Je ne me doutais pas que l'anodin battement d'aile de ma psyché allait provoquer une telle tempête. J'espère qu'on baptisera au moins cet ouraganeau de mon cognomen, si spirituel. Je n'ai toutefois pas chômé et la bibliographie promise est désormais entre les mains de notre Tenancier.
RépondreSupprimerBibliographie qui paraîtra sous peu dans ces colonnes. Pas mal de billets en préparation.
RépondreSupprimerLe Tenancier est beau, dans la colère.
RépondreSupprimerEt tous ses neveux et nièces l'apprécient lorsqu'il se met à flinguer.
On a vu qui c'est Raoul...
Ce n'est pas pour rien que j'accueille très prochainement le Tenancier les armes à la main, single malt à gauche, pâté "maison" à droite...
Otto Naumme
Le pâté... de tête ?
RépondreSupprimerArD
Je pense qu'on s'orientera plutôt vers des parties plus nobles de la bête, le foie par exemple...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Le foie est le morceau des augures.
RépondreSupprimerOui, mais il est un concentré bilieux, le tenancier n'a pas besoin de cela par le mauvais temps qui court.
RépondreSupprimerArD
Détrompez-vous, ArD, le Tenancier est de l'espèce froide. Le mauvais temps se caractérise chez lui par une impassibilité de très mauvaise augure, la colère étant son fonctionnement ordinaire.
RépondreSupprimerEffectivement, il faut le savoir, le Tenancier est à bile.
RépondreSupprimerOtto Naumme
(je sais, grumpf les calembours...)
COMME UN BOOMERANG PRIS EN ÉTAU DANS UNE PAIRE DE TENAILLES PAR RETOUR DE MANIVELLE
RépondreSupprimerJuste quelques mots pour tenter de rasséréner la petite querelle de mardi après-midi.
Instigateur à mon insu de ce billet, j’en suis devenu la victime indirecte, mais pas la seule, par précipitation et manque certain de tact, de recul et de jauge des affectivités multiples — et surtout, je suis l’unique responsable de cette misérable affaire.
Voici les faits (pour éviter d’inutiles redites, on se reportera aux commentaires ci-dessus, aux heures indiquées).
Mardi 6 avril, donc, la petite annonce de SPiRitus a ravivé en moi le souvenir de cette collection, « Le Désordre », dont j’ai publiquement tenté de me remémorer (très fautivement) quelques titres, à 14h23. Le Tenancier m’a vite tancé, à 15h04, de prendre ainsi le pas sur le travail presque achevé de SPiRiTus, mais une heure après, à 16h09 je recevais en privé un mèle de certain Anonyme qui m’est fort cher, qui avait déjà posté ici-même un petit commentaire au sujet des opossums, et qui commençait ainsi :
« Cher George,
C'est en vain que j'essaie depuis une demi-heure de poster sur le blogue "Feuilles d'automne" le commentaire suivant, pour compléter vos souvenirs et devancer SPiRitus — une liste presque exhaustive de la collection "Le Désordre":
[suivait la liste en question, à quoi manquaient deux titres] »
Très touché, à cause d’une relation qui nous lie depuis des mois, qu’il ait si vite eu l’attention de pallier les défaillances de ma mémoire, certain que cette histoire de « devancer SpiRitus » n’était qu’un ajout pudique pour masquer l’obligeance de cette attention à mon seul égard, j’ai rectifié les erreurs de balises que comportait son commentaire , légèrement modifié son introduction, et, ni une ni deux, oublieux de l’avertissement du Tenancier et insouciant du tort que cela pouvait causer au travail de SPiRitus (mes plus plates excuses à vous deux, mais surtout à SPiRitus qui me paraît pourtant moins offensé que le Tenancier), j’ai collé ce commentaire ici-même en signant du nom que l’on pourra lire à 16h24.
Bon, tout ceci s’est passé dans un fort court laps de temps, deux heures, mais c’était quand même complètement idiot de ma part : l’Anonyme, dans son mèle, ne me demandait nullement cette démarche ; puisqu’il m’avait adressé ce courrier en privé, j’aurais pu le remercier pareillement de son attention. Mais il m’a semblé que la meilleure façon de l’en remercier était de publier en son nom cette liste qu’il s’était échiné à poster.
Évidemment, le Tenancier a vu rouge et a sucré le commentaire en question. J’avais oublié sa propension à vite s’échauffer, déjà aperçue lors des échanges avec un certain Hugues, en janvier (nulle critique ici : ce peut être une qualité comme un défaut, tout dépend de l’humeur du moment, et pour ma part il me semble qu’une réaction prompte est d’abord un gage de sincérité — quitte à relativiser par la suite, d’autant que ces mouvements-là sont entravés ici par l’absence de communication directe), au point que j’ai été surpris de sa réaction. D’où mon commentaire de 16h38.
La suite ne m’a pas du tout amusé, d’une part parce qu’à la lecture des commentaires ultérieurs du Tenancier je réalisais la stupidité de mon geste, et surtout parce que la virulence des propos du Tenancier à l’encontre de l’Anonyme (dont je m’étais précipitamment mais volontairement fait le relais) a évidemment blessé ce dernier, qui ne cherchait à offenser personne et pensait bien faire en toute bonne foi.
RépondreSupprimerAu final, il me semble que ce sont trois vecteurs d’amitié qui se sont entrecroisés durant cette heure-là pour aboutir à cet embrouillamini :
1) par amitié pour moi, l’Anonyme a cherché en vain à poster en commentaire (puis m’a adressé par mèle) la liste des ouvrages de la collection « Le Désordre », qu’il avait compilée depuis longtemps pour son usage propre et tenait en réserve sur son disque dur ;
2) moi qui pensais alors qu’il venait d’effectuer cette recension à l’intention expresse de ce billet (et de moi-même), j’ai relayé son commentaire ici-même, par retour d’amitié pour lui, au risque de déplaire au Tenancier et de léser SPiRitus (ce que je n’avais pas du tout l’impression de faire : tout de même, point n’est besoin de vastes recherches pour reconstituer la liste complète de cette collection d’une vingtaine de titres ! je vous assure que les 1750 premiers numéros de la collection 10/18, c’est un peu autre chose !) ;
3) par amitié pour SPiRitus, le Tenancier s’est évidemment aussitôt empressé de supprimer ce commentaire, avec des mots assez durs envers l’Anonyme (pour qui je m’étais fait passer en abyme) qui ne lui est apparu comme goujat parce qu’il ignorait le complexe édifice affectif qui venait de s’ériger en un court moment, et les longues conversations que l’Anonyme et moi échangeons depuis trop peu.
Voilà, cette laborieuse et risible confession indigeste (boudiou ! qu’est-ce que l’éducation des curés peut nous coller à la peau, même des décennies après !) étant désormais disponible pour tous ceux qui ne sont pas encore tombés en catalepsie avant même d’en être arrivés là, j’espère que chacun apercevra le mécanisme qui peut mener de bonnes intentions à la guerre totale, de la joie à la haine, de l’amitié sincère à l’embrouille la plus complète, etc.
Voilà, mon méat coule pas (hum !)
Tonnerre, heureusement que cette collection s’appelle « Le Désordre » !
« … qui ne lui est apparu comme goujat que parce qu’il ignorait… », évidemment.
RépondreSupprimerPrivé de jeux de mots pendant 5 billets.
RépondreSupprimerSoyez pas vache, allez !
RépondreSupprimerC'est comme ça.
RépondreSupprimerMoi, j'aurais dit « Tant pis », plutôt…
RépondreSupprimerVous n'avez pas ma force d'âme, c'est pour ça.
RépondreSupprimerJe préfère être fort demain que mort de faim (non, ce n'est pas un jeu de mots !)
RépondreSupprimerMais loin de moi l'idée de vous les brouter.
Un vrai carnage tous ces blessés, heureusement l'absence de preuves à charge empêchera d'ester. On a eu chaud cher George, l'affaire aurait pu compter un blessé de plus,celui qui était concerné au premier chef, cité même !
RépondreSupprimerQuant aux défenseurs respectifs des innocents, le décompte est exaequo, l'Anonyme et SPiRitus ont été ma foi lestement épargnés par leur protecteur. Il y a des privilégiés dans cette affaire. Évitez-moi à l'avenir d'être confrontée manu sine militari au Tenancier comme présumée coupable ! Les filles ici sont lésées, déjà qu'il y en a peu, il leur faut du cran, je vous le dis !
Au fait, je parierais que vous n'avez pas été chez les Jésuites, vous... plutôt les Maristes, hein ?(!)
ArD
Bien.
RépondreSupprimerMaintenant, faites-moi le plaisir d'aller commenter le charmant texte de Lilith d'Oc. On ne va pas y passer le réveillon non plus, hein ?
Sinon, le Tenancier va se mettre à la colère froide.
Et me voilà rêvant à des battle de bibliographes !
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerPour en revenir à Forneret et Losfeld, il se trouve que Fabrice Pascaud a récemment mis en ligne les huit numéros de la feuille MEDIUM, Informations surréalistes (Dominique H. est d'ailleurs déjà passé là-bas).
RépondreSupprimerSur le n°1 (novembre 1952) — que l'on peut visualiser directement ici, chez l'ami ShigePékin —, au milieu de la deuxième colonne, on aperçoit un placard publicitaire pur les éditions Arcanes, que venait de fonder Losfeld :
Déjà parus :
X. FORNERET : Œuvres
S. MASOCH : La Vénus aux Fourrures
V. CRASTRE : André Breton
A paraître :
J. FERRY : Une étude sur Raymond Roussel
A. KYROU : Le Surréalisme au Cinéma
TROST : La gauche invisible
" : Travaux sur le rêve
B. PÉRET : Air Mexicain
Oui, merci George, pour l'information.
RépondreSupprimerEt toujours à propos de Losfeld, je crois que cette page peut intéresser certains.
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec cette page sur le parallèle Pauvert/Losfeld...
RépondreSupprimerEt vous avez regardé les extraits du catalogue ? Jolie mise en page, ma foi. J'ignorais l'existence de ce bulletin, pour ma part.
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