Les propos et opinions demeurent la propriété des personnes ayant rédigé les commentaires ainsi que les billets. Le Tenancier de ce blog ne saurait les réutiliser sans la permission de ces dites personnes. Les commentaires sont modérés a posteriori, cela signifie que le Tenancier se réserve la possibilité de supprimer des propos qui seraient hors des sujets de ce blog, ou ayant un contenu contraire à l'éthique ou à la "netiquette". Enfin, le Tenancier, après toutes ces raisons, ne peut que se montrer solidaire des propos qu'il a publiés. C'est bien fait pour lui.
Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.
Donc, pensez à signer vos commentaires, merci !
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.
Précisons que même lorsque le Tenancier se la pête, il ne fait pas de vent...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Merci, Otto, pour ce commentaire si délicat.
RépondreSupprimerCher Tenancier, s'agissant des "Caramabar" et des "Apéricubes", évoqués chez Poindron, quid des Papillotes ?
RépondreSupprimer(Je suis un homme de saison.)
En parlant des Carambar, je sais que le Tenancier ne plaisante pas en la matière. J'ai souvenance de l'avoir vu tancer deux jeunes damoiselles (fort bien de leur personne au demeurant, ceci expliquant peut-être cela, allez savoir...) qui, dans un restaurant où nous avions nos habitudes, avaient eu l'audace de gober les Carambar offerts par la fort aimable propriétaire de l'endroit sans même jeter ne serait-ce qu'un regard aux trésors littéraires, que dis-je, aux sommets d'humour, que couvent avec soin les emballages de ces friandises. Je vous garantis que les jouvencelles n'ont pas recommencé de sitôt !
RépondreSupprimerOtto Naumme
"Carambar" (Pardon.)
RépondreSupprimerLe Tenancier tente-t-il d'écrire une suite de Fibonacci en écrivant des nombres de cinq en cinq, ou s'agit-il du coefficient multiplicateur de son chiffre d'affaire qu'il reverrait régulièrement à la hausse, ou du nombre de croquettes données à Argol dans une même journée ?
RépondreSupprimerArD
Christophe, pour les papillotes je n'ai point d'avis, je ne m'intéresse pour ces choses qu'aux production industrielles.
RépondreSupprimerOtto, je m'en souviens.
ArD, Argol a table ouverte. Je ne fais pas partie des fâcheux qui font de la restriction de croquette.
A tous, ce serait tout de même plus aimable de votre part d'aller faire vos commentaires chez Éric, tout de même.
Au fait, Argol, c'est parce que c'est un chat (tôt), ou parce qu'il vous colle (du genre à venir se frotter contre vos mollets le matin, quand l'assiette de croquettes est vide) ?
RépondreSupprimerÀ propos des fantômes au-delà du pont, j'ai appris récemment que la phrase qui apparaît dans Nosferatu n'existe nullement dans l'original allemand. Ce carton qui avait tant séduit Breton n'est visible que dans la version française.
Oui, je sais, "Il colle, Argol", Otto l'a faite avant vous. Vous êtes fait pour vous entendre, vous deux. Je répète, la table est ouverte, donc il y a toujours de la croquette. Il est dans la nature du chat de s'alimenter toujours un peu le long de la journée. On est bien loin du livre, quoique, si vous avez bien vu, il aidé également à l'expédition des paquets.
RépondreSupprimerCe serait intéressant de voir qui est en fait l'auteur de cet intertitre qui inspira Breton...
Je pense qu'on ne le saura jamais : à l'époque, les traducteurs des intertitres n'étaient pas crédités au générique.
RépondreSupprimerDésolé pour la redite, à propos d'Argol : j'ignorais (en revanche, j'avais bien vu, pour l'"aide" à l'empaquetage). Cela ne m'étonne pas d'Otto…
Il a du bol (empli de croquettes, bien sûr), Argol.
Cher Tenancier, je viens de relire votre étrange questionnaire et, au milieu des noms que vous citez et qui me confortent dans l'idée que, décidément, je ne suis pas venu chez vous par hasard, ou plutôt si totalement par hasard... objectif, un, particulièrement, me retient. Dans l'une de vos réponses, vous vous fictionnalisez en la savante compagnie du Docteur Otto Lidenbrock, dont il m'est, de par ma sautillante mémoire, revenu, après l'avoir naturellement associé à cet autre Otto virtuel également héros de fiction (qu'on le Naumme, je crois, est inutile) qu'il est le héros du VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE de Jules Verne. On se souvient, n'est-ce pas ?, que cette aventure gouffresque est provoquée par une énigme : un message rédigé en caractères runiques.
RépondreSupprimerQui est cet Otto Lidenbrock ? Un professeur, nous l'avons dit, mais allemand (tiens donc), et bègue (ce qui n'est pas sans rappeler les mots gommés et récrits par notre X) ; pour la suite, le mieux est encore de citer Jules : "Il professait « subjectivement », suivant une expression de la philosophie allemande, pour lui et non pour les autres. C’était un savant égoïste, un puits de science dont la poulie grinçait quand on en voulait tirer quelque chose : en un mot, un avare." X, probable et très-subjectif "puits de science" est-il plus généreux en confidences ? Et : "son nez, long et mince, ressemblait à une lame affilée ; les méchants prétendaient même qu’il était aimanté et qu’il attirait la limaille de fer. Pure calomnie : il n’attirait que le tabac, mais en grande abondance, pour ne point mentir." Pour cette dernière partie, je ne peux que renvoyer à mon développement freudien sur la frustration nicotinique éprouvée par X.
Vous voyez, sans doute, où je veux en venir. Car, à moins d'être le jouet de ma maladive paranoïa-critique, c'est là, me semble-t-il comme un signe/indice nouveau (une solution ? la solution ?) que vous versez - et si c'est vous qui le faites, c'est donc que... - à distance, l'air de ne pas y toucher (après tout, n'avez-vous pas simplement répondu, du tac au tac, à une question de l'ami Eric ?), au dossier du "Mystère de l'Abeille" !
Avouez, mon Tenancier ! C'était l'Otto de trop !
Franchement, SPiRitus, j'en suis sur le cul. Tenez-vous bien, Voyage au Centre de La Terre devait faire partie d'un futur billet sur ma sœur.
RépondreSupprimerQue vous dire, c'est qu'après cette analyse troublante on aimerait être coupable pour vous donner raison. Désolé, ce n'est pas le cas. En tout cas, je puis vous dire que le Mystérieux Expéditeur devra également me rendre des comptes.
Grandiose démonstration, cher SPiRitus ! J'en suis tout autant sur mon fondement que notre ami Tenancier.
RépondreSupprimerEn tous cas, le Mystérieux Expéditeur doit bien rire à nos élucubrations à son sujet.
Et, à force de lire et entendre ses dénégations, je vais finir par réellement croire que le Tenancier n'est pas le coupable (je dis ça pour le faire enrager, je sais que ça le fait trépigner, nierk nierk nierk...)
Otto Naumme
Cher SPiRitus, qu'ajouter à la brillante dimension réaliste de votre constat qui fait du Tenancier un X de choix, quand on sait qu'il a précisé qu'il aimerait vivre dans une gare désaffectée en compagnie du professeur Lidenbrock alors qu'«il examine un specimen de roche peint par Delvaux».
RépondreSupprimerOn connaît le double tropisme de notre Expéditeur pour la Belgique et le mouvement surréaliste, or Delvaux était belge et très proche du Surréalisme.
Delvaux semblait plus singulièrement attiré par les nymphes que par les roches. Au fait, Tenancier, Séraphine, Betty Page, Ramona Mirador... du l'art ou de la roche ?
ArD
Troublant, également, mon rêve d'habiter Bruxelles, correspondant avec le topisme de notre mystérieux expéditeur. Mais il suffisait, à bien réfléchir de bien lire dans ce blog (particulièrement dans le premier billet sur les keepsakes) pour connaître mon amour pour cette ville.
RépondreSupprimerJ'en conclue que la personne me connaît aussi bien qu'Otto. ce qui ne m'avance guère. Pour le sujet d'Otto Lidenbrock, je crois que le nom m'est venu naturellement en évoquant Bruxelles, la gare, Delvaux et donc le fameux professeur qui figure souvent sur ses toiles. Bel rencontre de l'inconscient et du hasard qui fait qu'une légère préoccupation, un jeu, vienne s'exprimer jusque dans l'inconscient. Accessoirement, mon inconscient me dit que j'en suis plus préoccupé que je veux bien le croire. Jalousie, sans doute de ne pas recevoir ses envois à la place d'Otto...
Guettons le questionnaire d'Éric, on verra peut être passer notre coupable un jour.
Chère ArD, soupçonneriez-vous le Tenancier d'être classé X ?
RépondreSupprimerQuant à vous, cher Tenancier, je ne vous savais pas jaloux de ces envois. De ma calvitie naissante et de mes formes rebondies, certes, mais pas de cela. Je suis troublé.
En tous cas, si vous avez raison et que notre Mystérieux Expéditeur nous connaît aussi bien l'un que l'autre, cela ne nous permet pas pour autant d'avancer vers la solution. A moins que nous n'ayons inconsciemment créé une gestalt qui viendrait s'amuser à nos dépens, je ne vois pas de qui il pourrait bien s'agir.
En tous cas, je ne connais pas de belges, du moins pas dans ce cercle de connaissances (non, il n'est pas question de l'élargir, je vois des esprits mal tournés commencer à sourire bêtement au fond de la salle...).
Bref, pour en revenir à ce post, intéressant questionnaire et non moins intéressantes réponses du Tenancier, dont certaines m'ont fait découvrir de nouveaux aspects de sa personne. Comme quoi, même après pratiquement 30 ans à se supporter, on ne sait pas tout de ses amis. Salauds d'amis.
Otto Naumme
J'avoue qu'à la lecture du commentaire, hier, j'ai également été troublé par la présence de ce professeur, à cause de son prénom. Mais uniquement parce que je n'ai pas lu le Voyage… Ayant aussitôt constaté qu'il s'agissait d'un personnage imaginaire bien réel, je n'ai pas poussé plus avant les investigations; contrairement à SPiRitus, dont l'analyse est remarquable bien qu'il en tire une conclusion un peu hâtive.
RépondreSupprimerPuisqu'on en est à Delvaux, il ne m'étonnerait pas qu'Otto reçoive un de ces jours du Clovis Trouille…
Mais ce qui m'a surtout frappé dans ce questionnaire, cher Tenancier, c'est que vu la quantité d'énergie sportive que vous dissipez dans vos rêves, vous devez vous réveiller complètement épuisé !
Cher Otto, pourquoi voudriez-vous connaître un Belge ?
RépondreSupprimerJe pencherais bien pour un classement X de notre Tenancier si l'hypothèse selon laquelle notre Expéditeur chercherait à le confondre, ne l'emportait (selon moi). Votre acharnement à croire en la sincérité du Tenancier ne me laisse pas indifférente, je vous l'avoue ! Soit, un sentiment porté au Tenancier vous rend aveugle, soit votre clairvoyance est incontestable. J'hésite...
ArD
Très chère ArD, pourquoi connaître un Belge ? Oh, il faut bien faire exotique, une fois dans sa vie, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerQuant à notre cher Tenancier, j'aime bien lui dire que je le soupçonne, je sais que cela l'agace. Mais, à moins qu'il fasse preuve d'un dédoublement de la personnalité que je ne lui connaissais pas, je ne crois guère à sa "culpabilité". Mais il est vrai que notre Expéditeur doit se délecter de voir les soupçons se porter sur sa petite personne...
Quant à Delvaux, il n'est peut-être pas français mais, selon certain général d'époque, les français le sont. Oh, n'achetez jamais un général !
Otto Naumme
Alors celle-là, cher Otto…
RépondreSupprimerJe le disais naguère : « Otto en emporte le veau ». Donc, en transposant, Des lotos en emportent Delvaux. Votre Expéditeur serait-il lotophage ? Faut-il comprendre une allusion voilée à L'Odyssée ? « Allô, dis, c'est qui ? », pourriez-vous lui demander par téléphone, cela simplifierait les choses.
Certes, cher George, mais avez-vous son numéro ?
RépondreSupprimerOtto Naumme
Hélas non, bien, que lui-même en soit un drôle. En revanche, en cherchant bien dans vos répertoires…
RépondreSupprimerC'est bien ça le problème, j'ai beau chercher, je ne trouve point...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Il est pourtant peu probable que vous n'ayez pas ses coordonnées, serrées au secret de quelque carnet. Bon, sans doute pas à la lettre E, mais quelque part, bon sang !
RépondreSupprimerÀ moins qu'il ne vous soit arrivé de prendre une cuite carabinée sur plusieurs jours, ou des psilos, ou du LSD, auquel cas vous auriez pu vous confier longuement à un ami éphémère sans plus en garder le moindre souvenir…
Mes carnets d'adresse sont peu épais et je ne vois guère de profil correspondant à notre énigme. Quant à tous les adjuvants dont vous parlez, j'ai cessé depuis bien longtemps d'utiliser certains d'entre-eux (au point que je ne me souviens plus depuis quand, c'est dire ;-), et ma consommation d'alcool n'est en rien susceptible de m'entraîner dans ces états (je devais avoir 20-22 ans à l'occasion de ma dernière cartouche de gros calibre, cela fait un bail...).
RépondreSupprimerMais il est clair qu'il faut que je fouille du côté de mes connaissances, et même de mes proches. Mais je soupçonne le malin Expéditeur de bien savoir cacher son jeu. Le coquin !
Otto Naumme