 | Olivier Laurendeau L'explorateur au pays des dinosaures Angers - Éditions Deleatur, 1995 |
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La Fontaine, Laurendeau… force est de constater un certain tropisme hydrophile, chez Deleatur…
RépondreSupprimer... un éditeur hydrophile, vous croyez ?
RépondreSupprimerJe reconnais que ce doit être coton.
RépondreSupprimerOtto a beau être absent, je vois qu'un bon esprit perdure.
RépondreSupprimerOui, même s'il y a un côté chapelle : les bons esprits sacerdotaux…
RépondreSupprimerPuisque nous en sommes au chapitre du vocabulaire ecclésiastique, connaissez-vous la curieuse histoire de la prononciation du mot archiépiscopaux ? Contrairement au substantif dont il dérive, archevêque, le ch dans ce mot se prononce k, comme nous l'apprend le Littré. Or, il n'en allait pas de même au XVIIIème siècle : voyez la page de l'Encyclopédie consacrée à la prononciation du h (§ 9). À l'époque, la lettre h était auxiliaire dans le mot archiépiscopaux, elle est par la suite redevenue étymologique, allez savoir pourquoi.
RépondreSupprimerComme quoi, les archevêques ne sont pas de bois…
Eh, c'est que je l'aurais prnoncé tout comme ! Comme "archéoptérix" ou "archéologie", que des choses anciennes, donc.
RépondreSupprimerOu "archonte", je sais. Mais alors pourquoi ne pas prononcer *arkevêque ?…
RépondreSupprimerNon, non, je suis certain qu'il y a eu intervention de l'Église, tant les responsables du catéchisme en avaient par-dessus la calotte des plaisanteries de potaches.
Rien à voir, mais il semble bien qu'on n'ait plus d'accès rapide aux archives du blogue, à part les épisodes du Mystère. Vous pourriez y remédier ?
Il faut renverser la question : pourquoi ne pas prononcer "archiépiscopaux" comme ça se lit, se qui serait beaucoup plus rigolo à dire, comme le Titicaca... Cela fait assez maladie vénérienne. Pas besoin de l'intervention de l'Église dans l'affaire, la morale y suppléant sans que ses gardiens dogmatiques s'en mèlent.
RépondreSupprimerPour les archives, j'ai décidé de refondre le tout et de ne laisser que certaines petites choses. Beaucoup de travail et moins de temps à consacrer aux atours du blog, désolé. Le casse-croûte avant tout.
Votre sagesse est de loin supérieure à la mienne.
RépondreSupprimer"L'homme sage est celui qui connaît ses limites" - Magnum Force - Ted Post (1974)
RépondreSupprimerLe Tenancier sait se tenir devant les consonnes mouillées.
RépondreSupprimerArD
Il se tient prêt dès qu'on sonne.
RépondreSupprimerOn tient à son quotient.
RépondreSupprimerJe dirai même plus : on co-tient son quotient.
RépondreSupprimerBien normal d'ailleurs, lorsqu'on est tenancier.
Je m'échine en vain à trouver une contrepèterie possible dans la phrase d'ArD.