Jacques Abeille (Coll. part.)














Là, on voudrait que le lecteur de ce blog, plutôt que de croire à quelqu'un qui voudrait se mettre en avant par l'intermédiaire d'un grand écrivain, se rende compte que c'est ici un hommage, un remerciement et le souvenir d'une rencontre un soir à Bordeaux.

Petit oubli, réparé quelques heures après.

4 commentaires:

  1. A cette petite bibliographie illustrée, non exhaustive, je me permets d'ajouter les deux beaux titres qu'Abeille donna à la collection L'ENVERS DU REEL (Ed. Les loups sont fâchés) : "Je t'aimerai comme une bête douce rôdant aux lisières de mes nuits" (N°1, plaquette regroupant un poème de Jacques Abeille et des dessins de Robert Lagarde, tous inédits ; imprimé à 150 exemplaires sur papier terre de sienne dont quatre hors commerce agrémentés d'un dessin supplémentaire) & "Je vous aimerai comme une bête louche rôdant aux lisières de vos nuits" (N°5, A ce poème composé par Jacques Abeille les 25 et 26 mars 1992, initialement paru dans Hôtel Ouistiti N°19 puis repris en volume dans "Divinité du rêve" aux éditions de l'Escampette en 1997, on a adjoint quatre dessins de Jean-Pierre Paraggio réalisés en 1986 puis tiré l'ensemble à 150 exemplaires sur papier crépusculaire dont trois sous couverture spéciale réservés à l'auteur, l'illustrateur et l'éditeur).

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  2. Merci, cher SPiRitus pour qui, je m'en doutais, la très bonne littérature n'est point étrangère. Vous pouvez envoyer vos images, nous les diffuserons ici même et en complément de cette modeste bibliographie imagée...

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  3. Jacques, et je pèse mes mots, est l'un des meilleurs écrivains de langue française encore vivant. C'est un créateur d'univers littéraire. Il est de la veine des Gracq qui, lui, a décidé de mourir devant la masse inane de ce qui se publie au fil des jours ici.
    Manquent quelques titres (et même un peu plus que quelques) dans cette biblio mais l'essentiel y est.
    Je ne sais plus qui disait (Lacassin, peut-être) en parlant du cycle des Arsène Lupin q'il enviait le lecteur qui découvre cette oeuvre pour la toute première fois. J'ai envie de le parodier au sujet du cycle des Contrées de Jacques Abeille. Et je ne dis pas ça parce qu'on m'y retrouve au détour d'un chapitre sous le pseudonyme de Saturnin Lasycope (cela dit, c'est flatteur d'être ainsi immortalisé). La découverte d'une telle oeuvre pour un amateur de littérature est un bonheur rare qu'il conviendrait de ne pas bouder.
    Merci, tenancier de mon coeur, pour ce billet. S'il pouvait servir à convaincre quelques lecteurs non encore convertis de l'irréfragable nécessité de lire Abeille, ce serait merveilleux.

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  4. D'accord sur toute la ligne. Cher cls, je sais votre bibliothèque en transit, sinon, je vous aurais proposé la même chose qu'à SPiRitus dont nous aurons des nouvelles au prochain billet.
    Pour cette bibliographie très incomplète, qu'une explication que j'ai déjà donné avec ce même rapprochement troublant : j'ai l'habitude de lire très lentement les auteurs que j'admire. Ainsi, j'ai fini de lire tout Gracq - dont l'oeuvre n'est pas si pléthorique - en une quinzaine d'années, profitant de lire à mon aise et, aussi de relire...

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