Étouffer un perroquet v. Expression pittoresque pour dire : Boire un verre d'absinthe, sans doute à cause de la couleur verte de ce funeste breuvage. |
Eugène Boutmy - Dictionnaire de l'argot des typographes, 1883 |
Étouffer un perroquet v. Expression pittoresque pour dire : Boire un verre d'absinthe, sans doute à cause de la couleur verte de ce funeste breuvage. |
Eugène Boutmy - Dictionnaire de l'argot des typographes, 1883 |
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Ce qui me plaisait bien, jadis y'a pas si longtemps que ça, dans cet étouffement de l'oiseau-écho, c'était le protocole du supplice.
RépondreSupprimerLa dose d'absinthe verdâtre au fond, la petite cuillère avec du sucre posée en équilibre sur le verre, le goutte à goutte d'eau fraîche - pouce obstruant le goulant de la carafe - qui faisait fondre le susdit sucre, le tout s'amassant au fond, sans se mélanger et que ça finissait par faire trois couches de sédiments autonomes...
Si c'était au Marsella (Barcelone), c'était encore mieux...Le décor et le protocole faisaient partie de l'ivresse.
Après trois perroquets étranglés, il n'y avait plus, hélas, ni protocole, ni décor : l'oiseau était immolé sans délicatesse.
Quand l'ivrognerie cèdait le pas à l'ivresse.
Bien à vous, cher Tenancier
Je voulais dire quand l'ivresse cédait pas à l'ivrognerie, bien sûr...Mais c'est pas mal non plus, inversé.
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