Trois Rouge Impair et Manque : le ME met SPiRitus au vert

Comme j’avais tort de me plaindre, dans un récent commentaire au billet de George, de n’avoir pas reçu, itou, de mystérieux envoi. La faute n’en incombait pas au ME mais aux PTT, car postée le jeudi 7 juillet, cachet faisant foi, soit deux jours avant celle adressée à George, je ne reçus mon enveloppe garnie que la semaine dernière, il factorino profitant de mon absence entre le lundi 18 et le vendredi 22 juillet pour la glisser dans ma boîte-aux-lettres. Avant de décrire ce nouvel opus postal du ME, je ferai deux remarques.
1° L’ami George semble voir dans la diversification des destinataires une possible réaction à un commentaire d’Otto (La réponse… – 7 juillet, 08h41). Or, cinq jours plus tôt, je concluais un commentaire mien au même billet (La réponse… – 2 juillet, 23h43) par ces lignes : « je me permets de souffler à l’oreille mystérieuse une suggestion pour éviter l’essoufflement : cessez donc de harceler ce pauvre Otto, et trouvez-vous d’autres victimes ! » Il y avait là, bien entendu, provocation de ma part, le but étant de défier le ME et de le pousser à la faute.
2° Répondant à ma déception de n’avoir rien reçu, ArD laissa un commentaire lucide et sibyllin (Le ME défouraille… – 21 juillet, 10h52) dont je reproduis le premier paragraphe : « Vous avez raison cher SPiRitus, je m’étonne que vous n’ayez rien reçu. Il faut dire que les facéties de notre M.E. sont susceptibles de connaître quelque avanie sur leur parcours postal quand on y songe : prenez pour exemple, ces faux timbres, n’est-ce pas là une effronterie qui pourrait lui valoir un retour à l'expéditeur ? » Cette mention des « faux timbres » justifiant le hic postal troubla fort justement l’ami George. A ce trouble, le Tenancier riposta : « George, pour le faux timbre, ArD voulait certainement parler de celui qui figure sur le dernier envoi à Otto et qui figure l’arcane du Diable sur le tarot de... Marseille. » La riposte mériterait un bon point si ArD n’avait parlé de faux timbres au pluriel et non au singulier, désignant donc non pas un mais plusieurs envois. Or, comme on va voir, il y a bien un faux timbre aussi sur mon enveloppe. Le bon point va donc à ArD pour son étonnante préscience. A croire qu’elle est aussi cartomancienne.
Venons-en à présent à la description. Une première constatation s’impose : cet envoi est le jumeau, pas tout à fait homozygote, de l’envoi reçu et décrit par George. Même enveloppe verte, avec le même système de fermeture ; mon adresse y est aussi très joliment calligraphiée à la plume ; on y retrouve le rectangle de « papier gommé gris-rose sur lequel est inscrit au crayon gras en capitales (…) : NE PAS PLIER » ; le code ROC du cachet de la poste est identique et code donc toujours MARSEILLE. Seules variantes : l’adresse, of course ; l’utilisation de mon pseudonyme en guise de nom de destinataire, inscrit au feutre bleu ; le timbre, faux-timbre, sur lequel je reviendrai.


A l’intérieur de l’enveloppe, la même « sorte de chemise constituée de deux feuilles d’assez fort papier, genre Canson, format 21 cm x 16,3 cm », mais reliées par une ficelle de cuir ou simili-cuir en une couture tout à fait charmante et entrelacée – à chacun ses ficelles, donc ! ; pour le reste, continuons la paraphrase : « La deuxième feuille est en réalité plus haute d’environ 4 cm, mais a été repliée en haut et en bas de 2 cm de manière à bloquer le contenu de ladite « chemise ».Sur le premier plat de cet objet artisanal s’aperçoit le mot « SPiRitus », très joliment calligraphié en gothique à l’encre de Chine (sans doute la même qui a servi à écrire l’adresse sur l’enveloppe) et dont se détache l’initiale tracée au feutre rouge… L’alignement impeccable des lettres qui suivent cette initiale est dû à un discret trait horizontal de crayon à papier qui a été effacé une fois les lettres tracées ».


A l’intérieur de cette « chemise », une carte postale de Plonk & Replonk, naturlich, et une plaquette, ressemblant comme une sœur à celle qui fut destinée à George, du même auteur, du même micro-éditeur, et au titre (presque) identique. Nous nous y pencherons bientôt. Voilà des similitudes calculées qui tendent à m’associer à George – peut-être aussi à Otto ne connaissant pas, à l’heure où j’écris ce billet, le détail du dernier envoi reçu par ce dernier – dans cette quête qui nous tient en haleine depuis des mois. Attachons-nous maintenant à ce qui différencie nos envois et semble s’adresser plus particulièrement à moi.
Le (faux)-timbre : il représente une nouvelle lame du tarot marseillais. Un squelette fauche dans un champ de cadavres démembrés. Il s’agit de l’arcane majeur XIII, qu’on a coutume de nommer « LA MORT », mais qui, contrairement aux autres arcanes majeurs, n’a pas de nom attitré. Pour les spécialistes, il annonce un changement radical, la fin d’un cycle et le possible début d’un autre. Adressé, comme un signe, à SPiRitus, on y verrait volontiers une référence à La Dame à la Faulx, tragédie de notre magnifique Marseillais. Dans le contexte de notre canulardesque saga, on pourrait y lire aussi le symbole de la mise à mort du Mystère, ou : le ME mis à nu (et plus qu’à nu) par ses commentateurs mêmes…


La plaquette : J’ai d’abord cru, en la découvrant, qu’il s’agissait d’un autre exemplaire des Petites Infamies reçues par George. Mais non. Le titre complet donné par ce dernier ajoute, entre parenthèses, et en gris clair, l’adverbe « toujours » ; mon exemplaire propose, dans la même disposition, un autre adverbe : « encore ». Par ailleurs, la date de parution n’est pas la même : octobre 2005 pour Petites infamies (toujours) et juin 2006 pour Petites infamies (encore). L’auteur en est, d’après mes recherches sur la toile, non pas Denise mais Delphine Le Querrec, sur laquelle je n’ai trouvé aucune information utile. A l’intérieur, la mise en page dégage trois ensembles textuels : sur la page de gauche, quatre lignes alignées à droite où il est question de s’amender grâce aux enfants de son enfant, mais le sujet s’inquiète, n’ayant pas de descendance, de la possibilité d’un tel amendement ; sur la page de droite, le long de la pliure, verticalement, de haut en bas, une phrase sonnant comme un aveu : « je n’ai pas que des qualités » ; et en bas à droite de cette même page, le « Résultat » du problème posé par le texte : « faire des portraits, pour ne pas s’occuper des yeux, encore » (l’adverbe final redoublant celui du titre). A noter, que trois points d’interrogation apparaissent (un à gauche, deux à droite) détachés des ensembles textuels et dénonçant peut-être ce « poème » comme une énigme à résoudre. Doit-on entendre que le ME ait quelque chose à se (faire) pardonner et que là serait son mobile ? On se souvient sans doute du commentaire d’ArD (Le ME défouraille… – 21 juillet, 10h52) : « Plus que le texte (d'une poésie toute relative), son titre pourrait interroger sur le degré de conscience de notre M.E. »… Il paraît bien difficile de gloser plus avant cette plaquette, qui réaffirme les liens du ME avec la petite, voire la micro-édition.


La carte postale de chez Plonk & Replonk : Encore une fois fort amusante, elle représente une arène où concourent six toreros (trois avec muletas rouges, trois avec muletas vertes) opposés à un taureau. S’il n’y a pas ici huit « participants » comme dans la carte adressée à George, le taureau fait un lien évident entre les deux envois. L’image est légendée : « La Complicata, corrida par équipe. Les Rouge mènent par trois taureaux à zéro. » Goûtons le bel esprit du ME qui nous livre une pertinente métaphore : Du Mystère de l’Abeille considéré comme une tauromachie. Au verso, ce message : « Alors, SPiriTus, vous seriez parmi les Rouge et dans le vert que j’en serais étonnée, mais pas surprise… / Résolution, chute d’un Mystère in fine. » Sibyllin message qui s’adresse à moi en commettant une erreur capitale sur mon pseudonyme quand partout ailleurs dans cet envoi il est parfaitement orthographié (la fameuse étourderie du ME ?). Ces lignes confirment déjà une hypothèse avancée il y a quelques jours : le ME est femme. Mais que signifie être parmi les Rouge et dans le vert ? « Être dans le vert » est une expression bien connue, mais qui n’a pas grand sens ici. Aussi, je préfère y voir une référence descriptive à l’illustration proposée par la carte postale. Être parmi les Rouge, c’est faire partie de l’équipe qui mène « trois taureaux à zéro », c’est être donc un des trois toreros à muleta rouge. Or, un des trois justement est dans le vert, comme couvert par une muleta verte : c’est celui dont la cape traine au sol et qui lève sa main pour saluer le public ou la tribune d’honneur, attitude adoptée par les toreros une fois qu’ils sont sortis victorieux du combat les opposant au taureau. Pourquoi ne pas traduire alors : « Vous seriez victorieux que j’en serais étonnée, mais pas surprise… » On connaît l’aisance que la ME manifeste dans la manipulation des mots ; là où nous aurions tendance à voir une équivalence sémantique dans les deux adjectifs « étonnée » et « surprise », la tournure de la phrase empêche la synonymie. « Étonnée » serait donc à entendre au sens étymologique (« ébranlée comme par le tonnerre »). Et la phrase se lirait alors : « Vous seriez victorieux que j’en serais ébranlée, mais pas surprise… ». La fin, la résolution du Mystère dépend(rait) donc de mon intervention.


Ou d’une intervention passée… et cet envoi serait alors un aveu : le ME délivrant in fine son portrait : une femme d’esprit, habitant Marseille et qui connaît le milieu de la petite édition. Simplement.

28 commentaires:

  1. Tout simplement.

    ArD

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  2. Si simplement...

    Otto Naumme

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  3. Ah, si vous commencez à polémiquer, alors...

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  4. Dites-moi, mon cher SPiRitus, votre pseudonyme est-il sur votre boîte aux lettres ?

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  5. Of course not. Voilà qui dut contribuer à la circonspection du piccolo factorino et au retard du pli mystérieux.

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  6. Donc, l'envoi vous est parvenu malgré une adresse partiellement erronée et sans affranchissement (car ce timbre ne semble pas agréé par la noble administration des postes...) Gagez que Mercure vous fut clément !

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  7. (Je vois que la glace est rompue et que la conversation bat son plein !)

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  8. Il est vrai qu'en matière de timbres, nous aurons tout vu, dans le cadre de ce Mystère, entre ceux qui n'ont jamais été oblitérés (j'en ai au moins deux ainsi) et "faux" timbres, a priori non reconnus par l'administration postale mais malgré tout considérés comme suffisants par nos braves facteurs...

    Bien. Pour le reste, si je croise et recroise tout ce qui a été dit jusqu'ici, la conclusion est là : la Mystèrieuse Expéditrice est donc cette chère ArD.

    Otto Naumme

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  9. Ça s'appelle l'art postal, Otto. Il fait l'objet d'une tolérance par les P.T. & anciennement T.
    Le fin du fin consiste à les piéger et faire en sorte qu'ils oblitèrent le faux timbre, qui, dans ce cas prend une valeur philatélique.

    ArD

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  10. Tout simplement

    Hé bien, ite missa est !

    Félicitations à l'ami SPiRitus qui a su démêler avec maestria ce magnifique sac de ficelles — et ce depuis plusieurs semaines, d'ailleurs, grâce à de maigres indices et de savantes déductions qui ne m'avaient pas convaincu à l'époque — et je propose un octuple ban en l'honneur d'ArD, qui a su malicieusement orchestrer cette passionnante aventure avec toute la finesse et l'érudition requise.

    Quelques petites remarques, pour terminer :

    — le triple envoi du bouquet final n'a pas été complètement simultané, puisque ceux d'Otto (Petites infamies) et de SPiRitus (Petites infamies (encore)) datent du 7 juillet, tandis que le mien (Petites infamies (toujours)) a été expédié le 9. Entre ces deux dates, le 8.
    Si je sais pertinemment qu'ArD connaît l'adresse de mon échoppe, j'ignore toujours comment elle s'est procuré celles d'Otto et de SPiRitus, puisque celle que l'on devine ici-même n'est pas celle qui figure sur le Bulletin des Amis de Saint-Pol-Roux

    — Je ne m'aperçois qu'aujourd'hui, après la lecture du compte rendu de SPiRitus, que le timbre qui a servi pour le dernier envoi d'Otto est tout aussi faux, ce qui là non plus n'a nullement empêché le bon cheminement du courrier. Que de risques encourus pour le délicieux plaisir du détail ! À moins que notre amie ne bénéficie de complicités postales (hypothèse déjà évoquée jadis)…

    — Je comprends maintenant pourquoi ArD écrivait, le 21 juillet à 10h52 : « Vous avez raison cher SPiRitus, je m'étonne que vous n'ayez rien reçu. »
    En revanche, je ne sais pas du tout ce qui m'a fait transformer en "Denise" le joli prénom qu'est "Delphine", d'autant que celui-ci est parfaitement lisible sur le lien vers le cipM ! Toutes mes escuses à Mlle Le Querrec, si elle passe par ici.

    — Toute cette histoire, pour finir, pourrait fort bien donner lieu à un bel album micro-édité, en attendant l'adaptation cinématographique en Technicolor…

    Ah mais tonnerre ! voici que d'autres commentaires ont surgi, depuis deux heures que j'ai commencé la rédaction de celui-ci… Bon, tant pis, pas le temps de reprendre.

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  11. Naturellement, nous attendons tous un billet de la part d'ArD nous expliquant par le menu son machiavélisme !

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  12. Oui, nous l'attendons avec grande impatience, car, va sans dire, bien des détails, des allusions, des liens nous demeurent mystérieux. Il manque donc un dernier épisode au Mystère de l'Abeille : celui où tout s'éclaire !

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  13. Sous la forme d'un (un peu moins) Mystérieux Envoi ?

    Otto Naumme

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  14. Otto, seriez-vous si désolé que ça s'arrête ? Vous me donnez des remords.
    Moi qui pensais que j'en avais terminé. Je vais faire un effort !

    SPiRitus, enfin débobinée, à visage découvert je vous remercie d'avoir joué avec tant de tact dans ce billet, le rôle que je vous avais effectivement dévolu pour me « tirer d'affaire ».

    ArD

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  15. Ma foi, chère ArD, oui, je suis un peu triste de voir ce Mystère s'arrêter, nous lui devons (et nous vous devons) de si bons moments.
    Maintenant, il est clair que cela ne pouvait durer éternellement. Et il ne fallait pas que cela devienne un fardeau pour vous.
    En tout cas, nous aurons tous bien ri, bien réfléchi, nous nous serons bien questionnés, bien étonnés, bien enthousiasmés, aussi.

    Quant à l'ami SPiRitus, vous avez raison de noter son admirable sens du raffinement dans la présentation de ses conclusions.

    En tout cas, je rêve aussi d'une chose : pouvoir un jour faire une réunion de la société secrète de Ceux Qui Tirent les Ficelles où nous pourrions présenter l'ensemble des éléments de ce fameux Mystère. Car, à bien y regarder, il n'y a que vous, chère ArD, à tous les connaître, à tous les avoir vus !
    Il faudra y réfléchir !

    Otto Naumme

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  16. Nous vous devons beaucoup, chère ArD, notamment la mobilisation trop rare de nos neurones intrigués et amusés. N'en doutons pas, un ME BLUES va s'installer, l'enquête active laissant place désormais aux beaux et bons souvenirs. Mais les membres de la confrérie de CQTF ne sont pas du genre à choir dans la morosité. Aussi, continuons de jouer puisque l'occasion nous en a été donnée récemment. Et que les envois mystérieux cèdent leur place, à présent, aux petits colis !

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  17. Au fait... S'il vous manque une adresse, je peux vous aider (!)

    ArD

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  18. Otto, si je suis la seule à bien avoir vu tous les envois, vous en êtes l'unique propriétaire, car je ne les ai pas en double, sauf le premier (Séraphine) et le dernier que j'avais racheté et m'apprêtais à réexpédier à SPiRitus afin de pallier mon désarroi devant son silence.

    C'était une grande partie de mon plaisir que de me procurer ou de me déposséder de ces exemplaires pour ébaucher la trajectoire de ce Mystère au fil de mes idées et de vos goûts que vous esquissiez dans tous ces billets que vous avez produits avec tant d'humour. Je les attendais avec vive impatience ces billets qui me faisaient rire aux éclats, car dans la plupart des cas, j'avais oublié tous les détails dont j'enrichissais mes envois.

    ArD

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  19. Ah, chère ArD, il faudra que vous me disiez tout de même, si oui ou non vous êtes une fumeuse repentie...

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  20. Ah, ah SPiRitus, la réponse viendra.

    Si d'autres Tireurs de Ficelles ont des questions, c'est le moment, avant la rédaction du dernier épisode dont je ne sais par quel bout entamer la pelote !

    ArD

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  21. Ah, mais chère ArD, il y a tant et tant de points obscurs encore. Le choix des plaquettes (hors la première, of course), les pseudonymes adoptés pour signer certains commentaires, les initiales rubicondes, James Dean, etc., etc., etc. Vous êtes bonne pour un très-très-long billet, tant il vous faudra reprendre les différents épisodes un à un (et leurs commentaires) !

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  22. ... Moquez-vous : 600 commentaires !

    ArD

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  23. Chère ArD, j'en suis l'unique propriétaire d'une bonne partie d'entre-eux, c'est vrai, mais pas de tous ! Ces chers George et SPiRitus ont également un Mystérieux Envoi qui leur a été adressé.
    Et même si je sais que réunir tout le CQTF risque de ressembler à un tour de force (entre parisiens ou franciliens, marseillais, palois, toulousains et autres), je pense que cela serait fort plaisant.

    En tout cas, j'aimerais bien savoir si le Tenancier fût le seul de vos complices (sacripant !)... J'attends avec impatience votre billet !

    Otto Naumme

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  24. Nos commentaires se sont croisés, je parlais des Envois, bien sûr, non des commentaires dans le précédent mien, de commentaire.

    Mais c'est vrai que c'est là LE chiffre impressionnant du Mystère : 600 commentaires !
    Et des auteurs (Otto Ganz) et des éditeurs qui se sont bien amusés également.
    Au fait, il faudra que vous nous expliquiez comment vos Envois pouvaient partir de tant de points différents du pays. Encore des complices ?

    Otto Naumme

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