Oui, jetons deux mots, comme cela, pour nous inviter à parler dans une des langues du livres et surtout pour trancher dans le vif de notre mécontentement à dire «in-douze» ou «in-seize» alors que nous pourrions clamer notre ferveur des formats en dozavo et en dieciseizavo !
Quel désenchantement que de trouver nos limites alors que notre été se trouve dans ce pliage ô combien latin.
Le Tenancier, ça le démange, va bientôt se faire greffer cette langue-là…
Quel désenchantement que de trouver nos limites alors que notre été se trouve dans ce pliage ô combien latin.
Le Tenancier, ça le démange, va bientôt se faire greffer cette langue-là…
Le Tenancier parlant déjà abondamment avec les mains, la voie (voix ?) lui est toute tracée...
RépondreSupprimerAndiamo !
Otto Naumme
(le huitième Naumme, donc, en transalpin...)
Mais enfin Tenancier, être Italien n'est pas une question de format, c'est une question de caractère ! (Délicieux votre titre.)
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ArD
Devrais alors me désespérer ?
RépondreSupprimer(Merci.)
Italien ou Rital !? Rital c'est moins chic mais c'est plus ... ''et dans le verbe et dans le geste '' la voix aussi ! Trés important la voix des Italiens ! Non ?!
RépondreSupprimerJe voulais dire des Italiennes !!!
RépondreSupprimerDes deux !
RépondreSupprimerTenancier, vous avez écrit maintes fois que vous ne répondriez plus aux anonymes, et dès qu'il y en a un qui s'exprime sur les Italiennes, vous dérogez à votre serment.
RépondreSupprimer(Je note.)
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ArD
J'ai des faiblesses.
RépondreSupprimerCela étant, en ce qui me concerne, seuls certains rongeurs italiens me conviennent. Car celui qui est fait rat rit.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Jean Ferrat n'était certes pas d'origine italienne, plutôt russe, mais de son vivant l'on disait lorsqu'il chantait hilare : "Quand Ferrat rit, ça fait un beau lied !"
RépondreSupprimerQuel passage en beauté, George !
RépondreSupprimerOh, c'était juste histoire de beauté en touche…
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