Aimablement communiqué par Eva Truffaut, et que l'on peut retrouver ici.
18 commentaires:
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Ca, c'est percutant !
RépondreSupprimerEt totalement hallucinant...
Otto Naumme
On pourrait avoir aussi une boutique avec une pancarte inversée : "Used Guns and Books".
RépondreSupprimerGuns mit (h)uns...
RépondreSupprimerNormal, après tout, puisque avec les livres de poésie on rêve aux (l)vers… D'ailleurs, quand on relit, on revole vers un plaisir oublié.
RépondreSupprimerEt dans l'Antiquité grecque, on se référait souvent aux tomes attiques.
Tiens, tout ça me rappelle un de mes premiers billets…
Deux armes révolutionnaires.
RépondreSupprimerArD
Pensons que pétards & livres d’occasion font donc « bon ménage ».
RépondreSupprimerCela étant, certains livres peuvent donner envie d'utiliser l'autre catégorie d'objets vendus dans cette échoppe...
RépondreSupprimerOtto Naumme
http://www.actualitte.com/actualite/24826-ventes-livres-magasins-specialises-editeurs.htm
RépondreSupprimerChère Adria, un coup de grâce pour les libraires ?
RépondreSupprimerQuoique. On trouve déjà bien des livres au rayon "Culture" des super et hyper, entre baril de lessive et boîte de petits pois. Hyper auxquels les éditeurs sont allés se livrer la corde au cou, j'ai bien l'impression. M'étonnerait qu'ils aient pu y faire valoir des conditions telles que celles contées dans cet article, sans retours ni échanges.
M'étonnerait, aussi, que l'industrie du livre y gagne...
Otto Naumme
Ah non Otto !
RépondreSupprimerChacun sa pâture !
NOS libraires seront plus beaux.
Les éditeurs de nos coeurs survivront à cet usinage.
Chère Adria, oui, c'est vrai, je me repentis. J'ai, un très court instant, oublié la qualité de nos édiles, la lumineuse pensée de nos décideurs, l'immense compétence de nos libraires, la folle audace créatrice de nos éditeurs, l'inouïe capacité à aller de l'avant de leurs directeurs.
RépondreSupprimerComment, avec de tels hérauts de la Littérature française et de Phrance, pourrions-nous voir un jour s'effondrer les pans de ce si noble secteur. Tant d'autres pays nous l'envient, c'est dire sa qualité !
Otto Naumme
Hum, cher Otto comment dois-je le lire ?
RépondreSupprimerDe gauche à droite, comme d'habitude, Adria, mais seulement pour le sens de la lecture. Sinon, allez-y avec un objectif Cassegrain et une caméra cdd.
RépondreSupprimerOh, chère Adria, je ne peux qu'agréer le trait d'esprit de notre cher Tenancier. Et ajouter qu'en écrivant ceci, j'endossais le costume de l'Amer des sarcasmes. Mais vous vous en doutiez, je pense.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Bon d'accord, le livre meurt, y'a plus de libraires comme on les aime, allez, salut !
RépondreSupprimerEuh… ahem ! Cher Otto, pensez-vous que c'est dans l'appentis qu'après s'être pendu, on s'en repent ?
RépondreSupprimer"L'Amer des sarcasmes"" : très joli, et à point nommé pour tortiller comme une anguille !
Les astronomes (et les astroNaumme) en culottes courtes auront traduit par "caméra ccd", bien sûr...
RépondreSupprimerOn apprécie la justesse et l'opportunité des déclarations de ce cher Tenancier, sans parler de ses calembours pseudonymiques que le monde entier lui jalouse...
RépondreSupprimerPour le reste, chère Adria, voir péricliter les bons libraires, voir s'empiler au kilomètre sur les rayons de pousseurs de papier des imbécillités reliées, non, cela ne me réjouit en rien. Au contraire, même. Mais que puis-je y faire ? Je persiste à acheter des livres, lorsque je trouve des titres qui m'intéressent, titillent ma curiosité, excitent mon petit cerveau, semblent pouvoir satisfaire mon besoin d'imaginaire ou provoquer ces mouvements des zygomatiques que l'on appelle sourire.
Mais, convenez qu'il n'est pas toujours facile de trouver échoppe de qualité. Ni même lecture à son pied. Mais l'on persiste, ne vous inquiétez pas !
Cher George, cela est fort possible. Car c'est effectivement par là qu'on passe, qu'on rapace et même, parfois, qu'on trépasse...
Otto Naumme