Bonnet, s. m. Espèce de ligue offensive et défensive que forment quelques compositeurs employés depuis longtemps dans une maison, et qui ont tous, pour ainsi dire, la tête sous le même bonnet. Rien de moins fraternel que le bonnet. Il fait la pluie et le beau temps dans un atelier, distribue les mises en pages et les travaux les plus avantageux à ceux qui en font partie d'abord, et, s'il en reste, aux ouvriers plus récemment entrés qui ne lui inspirent pas de crainte. Le bonnet est tyrannique, injuste et égoïste, comme toute coterie. Il tend, Dieu merci ! à disparaître ; mais c'est une peste tenace. |
Très vieille expression liégeoise : "Oufti bonnet !"
RépondreSupprimerGeorges Marchais a-t-il été typographe avant de parvenir au sommet de la soucoupe de la place du Colonel-Fabien ?
RépondreSupprimerDominique, un homme qui lit Zorro ne peut tout à fait être mauvais.
RépondreSupprimerhttp://www.forumpimpf.net/viewtopic.php?f=1&t=914&start=0
(Signalons que j'avais remarqué la même chose que celui qui fait "l'entrée" de cette discussion, en lien.)