28 commentaires:
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Ah, cher Tenancier, je vous supputais familier des ors de la République, la IVe, seule vraie, quelle joie d'en recevoir, en même temps que vos vœux aigus et nasillards, confirmation. La bonne & belle année pour vous, mon ami, et une année belle & bonne à vos commensaux germanopratins.
RépondreSupprimerMon cher SPiRitus, je vous souhaite de même une fort bonne année en espérant que nous pourrons enfin trinquer ensemble !
RépondreSupprimerPour que cette heureuse résolution s'accomplisse, il me suffira de me capitaliser prochainement ou de vous henrilequatrièmiser, à l'occasion, par exemple, de l'une de vos prochaines carniphagies ottoliennes.
RépondreSupprimerÇa va pas tarder, je le sens !
RépondreSupprimerLa bonne humeur est aussi contagieuse que la rougeole, aussi vous le demandais-je très sérieusement : auriez-vous l'extrême amabilité de me rendre le chapeau que je vous ai prêté pour cet enregistrement mémorable ? Merci d'avance.
RépondreSupprimerCela dit, nos amis George Weaver et Otto vont être ravis d'apprendre qu'en cette nouvelle année, ils vont officier Rive Gauche (sur les quais ?). D'autre part, qui sont donc ces corps constitués dont vous parlâtes ?
Il est vrai qu'un petit transfert de la ville rose à celle de la poule au pot peut s'envisager facilement. Ne reste au Tenancier qu'à venir se livrer ici à un petit stage...
RépondreSupprimerPour le reste, chère Moons, dans la bouche du Tenancier (dont nous apprécions fort ce petit accent nasillard qui lui correspond si bien, il rappelle ses jeunes années au Crapouillot), ces allusions géographiques ne sont que pure litote. Il nous sait bien trop civilisés pour nous livrer à de telles acrobaties.
Bref, toujours est-il que bonne année à tous z'aussi !
Otto Naumme
De Coty aux cotillons, il n'y a qu'un ion : l'on se doute donc que le bal fut fort divertissant !
RépondreSupprimerAprès, Otto, le Tenancier et moi-même nous sommes rendus à La Grande Séverine, chez Girodias, où le maître des lieux a eu l'amabilité de nous présenter une certaine Dolorès Haze, de fort bonne compagnie.
D'où le retard de cette réaction, que je vous prie de bien vouloir pardonner…
Meilleurs vœux à tous !
Les corps constitués présentent une force d'attraction évidente : SPiRitus se capitalise, George se basdecasse avec Dolorès, Otto s'égaie en jambages supérieurs loin des capitales et le Tenancier qui fait de l'œil sur la ligne descendante.
RépondreSupprimerVœux majusculaires à vous Tenancier et à vos compagnons de la IVe.
ArD
ArD
Félicitations, ArD : puisse cette année-ci vous montrer toujours en pareille forme !
RépondreSupprimerVeuillez accepter les minuscules vœux d'un lilliputien de mon acabit, et n'oubliez pas que la IVe revient (c'est toujours la première)…
Tenancier, les parties de jambages en l'air (corsées de hampes, par surcroît !) d'Otto nous ont donné bien du fil à retordre !
À l'avenir, n'oubliez pas de convier au bal ces tout aussi éminentes personnalités que sont ArD, Moons, SPiRitus et Dominique Hasselmann — Germano-pratins raffinés s'il en est, et permanent gratin…
J'oubliais de préciser : ils nous seront fort utiles pour amener à résipiscence ce colosse d'Otto !
RépondreSupprimerMais veuillez éviter de convier le Poulet, s'il vous plaît : il me bassine.
Très heureuse année à vous, tenancier.
RépondreSupprimerLe 4. 1. (pas le quatrain) : on s’y joint
RépondreSupprimer(puisqu’on y aurait droit jusqu’au trente et un)
à ces extatiques effusions & autres salves de vœux !
Colosse ? Bigre, c'est bien la première fois qu'on m'affuble cette épithète !
RépondreSupprimerPour le reste, pris d'un mauvais coup de froid, j'avoue ne pas saisir tout le sel de vos bons mots, mon cher George, à mon grand regret, du reste.
Quant au Poulet, c'est bien de celui qu'on retrouve dans un roman Fleuve auquel vous faites allusion ?
Otto Naumme
Le Tenancier remercie tout le monde pour ses bons vœux.
RépondreSupprimerOtto, colosse, certes, mais nous vous concevons plus comme le surmâle d'Alfred Jarry...
Les bons mots ne sont pas de moi, cher Otto (j'allais écrire « cher Oki » ! Mais c'est un pseudonyme que vous auriez pu prendre : Oki Laumaître, par exemple), mais d'ArD, qui m'a tendu la perche.
RépondreSupprimerPour ce qui est du Poulet, je n'appellerais pas roman-fleuve une mini-plaquette de quelques pages. Mais si vous parlez du Fleuve Noir, alors non, je ne connais pas : le Tenancier pourrait peut-être nous éclaircir…
N'en faisons pas un "Mystère du Poulet", tout de même !
Cher George, bien sûr, je parlais de la plaquette à laquelle vous faites allusion. Mais rappelez-moi son sujet ?
RépondreSupprimerQuant à être un surmâle, je vous laisse l'entière responsabilité de cette affirmation, cher Tenancier...
Et, bien sûr, mes meilleurs voeux à vous z'également, très chère ArD !
Otto Naumme
Cher George, j'aurai également pu prendre un pseudonyme féminin, Ava Tahr, par exemple, ou Eva Porée (nous laisserons les Anna Gramme et autres Henriette du Mans aux bricoleurs, n'est-ce pas...). Mais je m'en voudrais de tromper qui que ce soit de cette sorte. Ou d'une autre.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Vous connaissant un peu, j'aurais plutôt penché pour Mélanie Zettauphe-Rigaut…
RépondreSupprimerDécidément, il est des réputations dont on a du mal à se défaire...
RépondreSupprimerOui, on peut se demander pourquoi...
Otto Naumme
@ Le Tenancier : j'ignorais que les archives de l'INA gardaient jalousement de tels trésors. Il était temps que la populace en profittasse (comme dirait un grammatologue élyséen) !
RépondreSupprimerRecevez donc les miens, de voeux, adornés de cette supplique : à quand ce petit "bilboquet" de couvertures de 10 X 18 que je vous ai envoyé, c'était déjà à la fin de l'année dernière ? La Poste aurait-elle failli à sa noble mission ?
@ Goerge WF Weaver : merci d'avoir rajouté quelques noms manquants sur la liste des privilégiés invités à la prochaine cérémonie (2011, il va encore falloir prendre son bal en patience !). Ceci vous sera revaudu.
Seuls seront invités ceux qui auront rédigé une notice pour le Tenancier ou fait un billet dans l'année !
RépondreSupprimerQuand même, avec le recul, ils étaient bien ces vœux là !
RépondreSupprimerEt nous étions plus alertes ! Ah, le recul...
RépondreSupprimerArD
Vous frisez la contrepéterie, ArD !
RépondreSupprimerToujours est-il que je préfère ces vœux-là à Julius Evola…
Nous étions plein de sève (houlà !)…
RépondreSupprimer(Soupir...)
RépondreSupprimerOui George, je ne fais régulièrement que la friser (hélas).
RépondreSupprimerArD
Mieux vaut qu'on l'allaite (hue !) que la friser.
RépondreSupprimerMais ça marcherait presque avec "l'heureux Laërte", si on ne prononce pas le "a" — ce que j'ignore.