33 commentaires:
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Le prochain épisode risque d'être sanguinaire. Attendons.
RépondreSupprimerArD
Raté.
RépondreSupprimerCela m'évoque un récit dont, grmmbll !, je n'arrive plus à retrouver les références, genre Les hommes protégés de Robert Merle : la totalité de la part masculine de l'humanité est décimée, à l'exception d'un seul homme… Je croyais qu'il s'agissait d'un roman de Barjavel mais cela ne semble pas être le cas.
RépondreSupprimerOh, cela m'évoque également quelque chose. Et il me semble même qu'un film a été tiré de cette idée. Mais impossible également de remettre la main sur le nom de l'oeuvre... Grumpf.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Ouf !
RépondreSupprimerMerci, cher Otto : « À deux, il n'y a plus de folie », écrit Gombrowicz dans La pornographie.
Houba, houba !
Reste plus qu'à retrouver la référence du texte : une nouvelle de Fred Brown, peut-être ?
Dans mon souvenir, il ne reste pas tant de femmes que cela non plus : quelques centaines, toutes avides du mâle unique (un peu comme dans Little Big Man), isolées quelque part du monde détruit.
Oui, ça pourrait être du Fred Brown... Ou en tout cas de la SF de "l'âge d'or".
RépondreSupprimerVa falloir que je demande à un ami plus calé que moi en la matière, ça m'agace de ne pas me souvenir...
Otto Naumme
Je pense également que c'est une nouvelle de Brown...
RépondreSupprimer(Le Tenancier, depuis son téléphone de campagne)
http://colinquinn.tumblr.com/post/13398463910/hooray-for-stop-motion-am-i-right
RépondreSupprimerAmusant, chère Adria !
RépondreSupprimerOtto Naumme
Cher George, j'ai consulté un mien ami quelque peu spécialiste du genre. Voici ce que cela lui évoquait :
RépondreSupprimer"Un gars et son chien, d'Harlan Ellison. Ça a donné un film, Apocalypse 2024."
Pensez-vous que cela soit ce à quoi nous pensions (j'avoue que je n'ai pas souvenir de ce texte...)
Otto Naumme
Pour ma part, impossible : je n'ai jamais lu un seul texte d'Ellison ! Ni vu ce film, d'ailleurs.
RépondreSupprimerMais courage, on finira bien par trouver…
On me pardonnera mon intrusion en matière de SF (après tout, hein, je me demande pourquoi) mais je persiste à penser plutôt à un auteur de "l'âge d'or de la SF" ou un peu postérieur, si j'ose, du genre de Brown ou de Mack Reynolds. Vous avez dû rencontrer un telle histoire dans la Grande Anthologie du Livre de Poche en son temps ou bien dans la série initiée par Sadoul.
RépondreSupprimerMais, je dis ça, je dis rien. Je laisse parler les spécialistes.
Mais, cher Tenancier, c'est bien parce que j'ai posé la question à un mien ami, que vous connaissez fort bien également, plus spécialiste que vous ou moi, que j'apporte cette réponse.
RépondreSupprimerMais s'il faut chercher dans les Weird Tales et autres, je vais me sentir fort marri, je ne les ai plus (à mon grand regret du reste, j'appréciais cette série...).
Tant pis, le détective ne renonce jamais !
Otto Naumme
Moi je les ai encore tous, ces magnifiques recueils de pulps (le meilleur étant à mon sens Unknown), ainsi que l'intégrale de la Grande Anthologie du Livre de Poche (1ère et 2ème série).
RépondreSupprimerMais je n'irai pas fouiner là-dedans : trop dangereux. Je me remettrais forcément à relire des dizaines de nouvelles, dont notamment les Heinlein : Les autres ou Vous, les zombies, cette merveille de paradoxe temporel où un homme est à la fois lui-même, et son père, et sa mère, ou L'étrange profession de Jonathan Hoag — ah non, pardon : ça c'était en Presses-Pocket, dans la collectio "Le livre d'or de la SF" !.
Et surtout, je suis convaincu qu'il ne s'agissait pas d'une nouvelle mais bel et bien d'un roman.
La seule nouvelle de Brown qui s'apparente à ce thème, à ma connaissance, c'est celle où un Terrien débarque sur une planète inconnue, mais les signes de politesse qu'il prodigue en rencontrant les indigènes parfaitement humanoïdes signifient là-bas une injure impardonnable. Il est condamné à mort, et suivant la coutume locale il a droit à tout ce qu'il veut durant la nuit précédant son exécution : mets exquis, alcool à volonté et créatures de rêve consentantes (hum, pardon pour la phallocratie rampante !). Il commence par déprimer sec, mais son humeur change du tout au tout lorsqu'il apprend que sur cette planète, la nuit dure une centaine d'années terriennes…
Dans le roman oublié que nous cherchons, la situation induite n'est pas du tout joyeuse, mais très dramatique, insupportable pour l'unique survivant mâle.
"la collection", pardon.
RépondreSupprimerBon, je regarde dans mes sources bibliographiques. Je pensais que c'était une nouvelle.
RépondreSupprimerAllez tout de même faire une exception, autrement, pour l'ahurissante nouvelle de Lafferty : Tous les morceaux de la rive du fleuve qui doit se trouver dans "Histoires Pardoxales" dans l'anthologie du Livre de Poche (nouvelle série, non ?) Je crois que c'est le titre et la bonne référence, mais j'ai un doute parce que j'ai vendu 99% de ma bibliothèque de SF.
et à tout hasard Jacqueline Harpman ?
RépondreSupprimerCher George, il y a aussi celle, fort connue, où le dernier humain sur Terre se trouve dans une maison lorsque quelqu'un frappe à la porte...
RépondreSupprimer(au fait, cette collection (avec les Unknown, Weird Tales, Amazing Stories et autres, elle figure dans votre bibliothèque personnelle ou dans l'autre ? Auquel cas il faudrait que nous discutions...)
Cher Tenancier, cette nouvelle de Lafferty ne me dit rien. Mais je crois n'avoir jamais eu cette anthologie en mains...
Et le nom de Jacqueline Harpman n'éveille rien en moi non plus, chère Adria.
Nous voilà bien...
Un nouveau Mystère ?
Otto Naumme
Histoires paradoxales, c'est la deuxième série, collectionnée mais très peu lue. Je vais allez voir fissa ce Lafferty. Pas illico hélas, n'ayant présentement pas accès à cette partie de ma bibliothèque, mais d'ici la fin de la semaine, promis. Merci, Tenancier ! Comme si j'avais besoin de conseils de lecture...
RépondreSupprimerJe dois présenter mes excuses, incidemment, car à relire ces commentaires, je m'aperçois que c'est moi qui ait commencé à parler de nouvelle, alors que je suis persuadé que le récit dont nous cherchons les références est un roman.
Cher Otto, désolé, mais vous faites erreur : il ne s'agit pas du "dernier humain sur Terre", mais du "dernier homme sur Terre", et ce dans les deux versions : l'ultra-courte et la développée (dans laquelle le coup à la porte est frappé par la dernière femme sur Terre).
Désolé aussi pour les Sadoul : je parlais évidemment de ma bibliothèque personnelle. Mais je dois en avoir quelques uns qui traînent à la boutique, tout de même.
Et cette Jacqueline Harpman mentionnée par la facétieuse Adria m'évoque bien quelque chose, à moi, mais quoi (avant toute recherche sur la Toile) ?
Oui, cher George, la mémoire me joue des tours, le dernier "homme", et non "humain". Au moins pour la version "longue". Car il me semble bien, justement, que pour la "short short", c'est l'angoisse du dernier "humain" qui est sensée ressortir. Il faudrait vraiment que je relise tout cela...
RépondreSupprimerQuant aux Sadoul, je m'en doutais un peu, hélas..., nous regarderons cela à ma prochaine visite, dans un futur proche j'espère !
Quant à notre chère Adria (j'ai, moi, cédé aux sirènes de la Toile...), elle évoque l'un des romans de cette dame, intitulé "Moi qui n'ai pas connu les hommes", dans lequel une quarantaine de femmes sortent d'une espèce d'abri anti-atomique pour découvrir que toute vie humaine a disparu de la surface de la Terre. Et, parmi ces femmes, une petite fille, qui n'a jamais connu les hommes/humains.
Mais, comme son nom l'indique, dans ce livre, pas la moindre trace d'un homme (du moins si l'on se fie aux résumés trouvés - je n'ai pas lu l'oeuvre et il y a peut-être un "deus ex machina" - si tant est que la présence d'un homme puisse être assimilé à ce type d'événement...). Ce ne serait donc toujours pas ce que nous cherchons, nouvelle ou roman...
Otto Naumme
George, une telle histoire serait plus le lot d'un Philip Jose Farmer que d'un Harlan Ellison. Farmer fut très fécond et sa thématique rejoint par bien des points ce que vous nous décrivez.
RépondreSupprimerAutrement, pour faire plaisir à Otto et George :
Fredric Brown
Un coup à la porte
" Le dernier homme sur la Terre était assis tout seul dans un pièce. Il y eut un coup à la porte... "
(1948)
Piqué dans le Versins parce que je savais où cette "short-short" se trouvait et que j'avais la flemme de chercher dans les recueils de Brown.
Pour revenir au roman que vous cherchez, George, il en faudrait un peu plus, tout de même. Cela tient des Amants étrangers ou de Mère (nouvelle citée par Versins, que j'ai sûrement lu un jour mais dont je ne me rappelle plus), toujours de Farmer... Mais après tout, comme nous en savons fort peu, il peut tout aussi bien s'agir d'un titre de Françoise d'Eaubonne ou de Maurice Limat, allez savoir.
Tonnerre ! Farmer, d'Eaubonne ou Limat, impossible : je n'ai jamais rien lu d'eux (ahem…) Non plus que de cette Jaqueline Harpman, bien que le résumé fourni par Otto rappelle beaucoup le titre recherché : dans mon souvenir, il est en effet question d'une sorte d'abri anti-atomique, ou du moins d'une zone protégée, un lieu confiné (peut-être une île) où sont réfugiées plusieurs centaines de femmes et… un seul homme. C'est à cause de cette histoire d'abri que j'ai d'abord songé au roman de Barjavel, Le diable l'emporte, mais le résumé fourni par Ouiquipédia ne colle pas.
RépondreSupprimerDésolé, cher Tenancier : j'aimerais sincèrement fournir plus de détails, mais ma mémoire labile part vraiment trop en sauce blanche !
et la fin du "9 de pique" de l'Amila ?
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerHélas, Adria, encore une lacune dans mes lectures…
RépondreSupprimerMais après un rapide feuilletage du Rayon Fantastique, je constate que les mâles sont plusieurs : Wolfgang, Brain, Platkopf…
Procédons autrement. Vous rappelez-vous de la couverture du livre ?
RépondreSupprimerHélas non : je vous assure que je vous ai livré tous les (maigres) éléments dont je me souviens.
RépondreSupprimerSacré George, vous êtes doué pour le Mystère 2 !
RépondreSupprimerArD
Ca doit r'muer dans les rayons !
RépondreSupprimerÀ propos de rayons, vous avez lu le délicieux dernier billet de l'ami Thierry ?
RépondreSupprimerMais vous me donnez une idée, Adria : je vais soigneusement examiner le rayon SF de la partie visible de ma bibliothèque — à quoi je n'ai pas accès pour l'instant mais d'ici une dizaine de jours, j'espère. Normalement, la plupart de mes lectures d'adolescent s'y trouvent encore : peut-être qu'un éclair jaillira…
Ah, merci cher George pour ce moment de bonne humeur que vous nous avez fait vivre grâce à ce lien !
RépondreSupprimerEffectivement, ce billet est absolument merveilleux. Mais vous allez provoquer ma ruine. Car, désormais, je veux absolument me procurer des ouvrages aussi essentiels que The Thermodynamics of Pizza, The Romance of Proctology, Castration : the Advantages and Disadvantages, Why Jesus Never Wrote a Book, Sex After Death, Drummer Dick’s Discharge, The Nature and Tendancy of Balls et, bien sûr, l'indispensable Invisible Dick...
J'aimerais un jour parcourir cette collection fabuleuse !
Otto Naumme
Oui, mais plus de quarante ans de chine tout de même…
RépondreSupprimerOn peut parcourir ici des extraits du compendium d'Ash & Lake.
Merci George pour cet extra !
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