Les choses s’améliorent progressivement. Il faudra encore un peu de temps pour revenir à un fonctionnement qui me permettra d’envisager la suite sereinement, d’autant que les temps sont à la « crise ».
Les choses vont donc un peu mieux, dis-je. A peu près cinq cent livres sont entrés dans le fonds. Presque autant en sont sortis, mis au « frigo » pour une durée indéterminée. Des choses surprenantes et vendables vont subir un drôle de purgatoire. Le manque de place m’y oblige.
On va continuer ce renouvellement, avec un léger ralentissement en période de fêtes pour ce qui concerne l’enregistrement des nouveautés. On se permettra ainsi de revenir tranquillement aux affaires de ce blog, avec quiétude et mesure, puisque le temps nous sera moins compté. A moins que la fin du monde ne passe par là, naturellement (bien que notre blog soit breveté inoxydable, non ?)
Bonjour Le Tenancier !
RépondreSupprimerBonjour, Madame Adria !
RépondreSupprimerMais nous en avons en réserve, de la patience, et surtout quand nous apprenons que l'amélioration de vos affaires pointe le bout de son nez! A bientôt, donc.
RépondreSupprimerBéatrice
A bientôt Yves,
RépondreSupprimerJudGodot
Détrompez-vous, cher Tenancier : nous fûmes d'abord étonnés, puis inquiets, puis alarmés, mais rapidement et heureusement rassurés par le biais d'entretiens privés.
RépondreSupprimerCourage, nous patienterons !
(Et heureusement que ce blogue est in-occis-dable…)
Même commentaire à faire que George. A la virgule près.
RépondreSupprimerQuant à la fin du "vieux" monde, cher Tenancier, ça fait plus de cinquante ans que nous l'attendons...
Voyez de quelle patience romantique nous faisons montre !
Bien à vous.
Le Tenancier cultive l'art du paradoxe (ce qui est toujours plus gratifiant que l'artichaud. Quoique...). Revenir pour la fin, il n'y a guère que lui pour faire ça.
RépondreSupprimerUne sorte de Mère Denis américaine, en quelque sorte. Euh, pardon, de vedette américaine...
Otto Naumme
Otto, le cours du Paradoxe étant au plus bas, on lui préfère l'artichaut. Au moins, avec ça, on peut manger le fonds.
RépondreSupprimerÇa me rappelle que Fredric Brown, qui avait pour sûr un bon fond, a écrit une délicieuse nouvelle intitulée Paradoxe perdu.
RépondreSupprimerBrown avait un bon fond, toutefois, il ne faisait pas son sucré.
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