« En fait c’est cool votre boulot, vous rassemblez
des livres qu’on vous donne et vous les vendez ! » |
Une historiette de Béatrice XXXV
13 commentaires:
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y confondrai pas biffin et bifton le quidam ?
RépondreSupprimerY confond pas connerie et connerie, en tout cas. C'était la minute gros mots.
RépondreSupprimerBéatrice
Et puis, tu passes ta journée à lire, c'est cool( rhaaaaaaa les gens!)
RépondreSupprimerElisabeth
Mais je ne sais pas lire, juste compter, et encore.
RépondreSupprimerBéatrice
Ce crétin (et goujat, par surcroît) a tout de même réussi à inventer un paradoxe inédit : l'inverse du cadeau.
RépondreSupprimerL'avantage, chère Béatrice, c'est que vous recevez des oiseaux d'origine très variée dans votre échoppe. On finirait par penser qu'il s'agit d'un zoo. A s'y méprendre.
RépondreSupprimerSauf qu'on peut soupçonner plus d'intelligence chez pas mal de ces bêtes à plumes ou à poils que chez ces "clients"... (celui-ci vous a-t-il acheté quelque chose, au moins ?)
Otto Naumme
Je voudrais tout de même un peu atténuer tout cela. D'abord, l'auteur de cette réflexion - si stupide soit-elle - marque bien l'incompréhension que l'on peut avoir de tel ou tel métier lorsque l'on est de l'autre côté de la barrière. Je crois que nous sommes tous les auteurs de bourdes équivalentes, pour d'autres professions. Otto ne me contredira pas si je dis que ses oreilles tintent souvent lorsqu'on écoute certes personnes parler du journalisme, par exemple. La librairie est un métier à phantasmes et qui apparaît comme une facilité parce que l'image de la culture est fortement dévalorisée : plus de connaissances spécifiques, plus d'apprentissage lent et mesuré des lettres, etc.
RépondreSupprimerMais enfin, je pense que Béatrice a d'autres clients que l'auteur de cette ineptie et je mets en garde le lecteur de passage qui se mettrait en tête de lire toutes les historiettes de Béatrice : il existe quand même une très large frange de clients de sa bouquinerie qui ne sont pas des imbéciles. Que cette succession de saynètes ne l'induise pas en erreur.
Vous avez tout à fait raison de faire ces remarques, cher Tenancier, elles sont frappées au coin du bon sens.
RépondreSupprimerEt vous avez tout à fait raison, que n'ai-je entendu sur le métier de journaliste... Qui possède certaines similarités avec celui du libraire : dévalorisé en tout ou partie par une frange non-négligeable du grand public, considéré comme "facile" - combien de fois ai-je entendu "je pourrais faire pareil" ou "je fais ce travail". Seul "plus" des journalistes, nous sommes en plus considérés comme malhonnêtes, souvent...
Pour le reste, je me doute bien, pour notre chère Béatrice qu'elle a d'autres clients que les quelques zozos qu'elle met en scène ici. Et c'est tant mieux !
Otto Naumme
C'est tellement plus drôle sur le moment, et à raconter, et à partager, c'est ce que je réponds souvent sur mon mur.
RépondreSupprimerLes modestes échoppes comme la mienne sont, me semble t-il, plus faciles d'accès pour ceux qui ne fréquentent pas forcément les librairies: y pousser la porte est plus aisé. D'où les situations farfelues, parfois.
Mais comme le dit Yves, nous avons tous été un jour l'ignorant de service. Et le serons encore. J'ai la plus grande bienveillance pour ceux-là, qui viennent découvrir un monde qui ne leur est pas forcément familier.
Pour en revenir à mes historiettes, celle-ci se démarque par sa brièveté: juste une phrase prononcée. Mais souvent c'est la situation, l'attitude déplacée du client (habitué du livre)qui lui donne sa drôlerie: là c'est le ridicule que je tente d'épingler.
Au tout début, j'avais remarqué que les historiettes positives n'étaient pas autant appréciées que les "acides rigolotes", qui créent des échanges et des réactions. Donc, j'ai favorisé les plus appréciées.
Béatrice
Béatrice, fournissez-nous aussi les autres parce qu'il faut également apprécier l'ensemble, et le côté positif en fait autant partie...
RépondreSupprimerCher Otto, je n'aime pas qu'on dise du mal des "Zozos".
RépondreSupprimerParce que je les aime, moi, les "Zozos" (!)
Surtout ceux de Pascal Thomas…
RépondreSupprimerChère Béatrice, le Tenancier a raison : comme chez Carrefour, n'hésitez pas à positiver !
Libraire, journaliste... prof (Ben oui, quoi, ces autres feignasses !) même combat contre la bêtise...
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