Un rare cas où la bibliophilie a eu du succès auprès du grand public. C'était mérité à mon avis, même si l'on en voit ici un aspect pas très reluisant.
La neuvième porte
Un rare cas où la bibliophilie a eu du succès auprès du grand public. C'était mérité à mon avis, même si l'on en voit ici un aspect pas très reluisant.
15 commentaires:
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Dîtes, ô Tenancier, vous n'avez pas la même pratique du métier ?(!)
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ArD
D'après vous ?
RépondreSupprimerUn Tenancier, on sait ce que c'est, hein... D'ailleurs, on sait bien que le box, là-bas, c'est pas pour empiler des livres mais pour cacher la Ferrari. On ne nous la fait pas, à nous !
RépondreSupprimerOtto Naumme
rien à craindre, tenancier. mauvais film, joué par un johnny depp en postiches pour "faire" intellectuel (ça cause de livres), destiné au public mort-né sans ouvrir un livre.
RépondreSupprimerEn l'occurrence, il fait plus commercial qu'intellectuel. L'hémiplégique, lui, est au point : atteint du côté droit, il tempête de la main gauche, bien vu !
RépondreSupprimerArD
Allez, pour répondre plus amplement à ArD, non effectivement, je ne commets pas de tels choses. Cela dit, il m'est arrivé, lors d'un achat de lot, de réviser à la baisse certaines estimations de par le fait que le vendeur avait des prétentions exorbitantes sur une partie du dit lot, généralement, des choses illustrées assez ébouriffantes. En baissant un peu le prix d'achat d'autres ouvrages, je finissait par m'y retrouver. Ainsi tout le monde est content : le vendeur est conforté dans son "estimation" (ce n'est souvent qu'un descendant ou collatéral qui "a vu les prix sur internet") et l'acheteur s'y retrouve également en n'écornant pas trop sa marge. Oui, il faut le savoir, lorsque l'on achète une bibliothèque, c'est pour la revendre ! Et mieux vaut acheter correctement pour les deux parties car une réputation se fait aussi à ce niveau...
RépondreSupprimerOtto, je connais un bouquiniste possesseur d'une Ferrari - un petit modèle des années 70 - mais plus par amour de la voiture que par goût de luxe. Du reste, il passe plus son temps sous le châssis que dans l'habitacle. N'empêche, je me demande ce que diraient les gens s'ils voyaient le dit bouquiniste arrivé avec cette bagnole (avé la remorque, parce que pour acheter une bibliothèque, c'est petit, tout de même). Pour ma part, vous savez que je n'ai pas mon permis. Je ne collectionne que les jeunes filles faciles (à se moquer de moi).
Phil, nous sommes d'accord sur le film. Sa filmographie - tout comme celle de Woody Allen - est devenue un item banal de la culture d'aéroport. Il n'empêche que cela a alerté le vulgaire pékin sur la bibliophilie. Et je ne vois pas d'autre façon - sinon par le pittoresque - de rendre cela sexy dans un film. Le reste est oubliable, c'est sûr.
Enfin, je pense qu'un libraire est plus un commerçant qu'un intellectuel, ceci sans vouloir être péjoratif dans mes propos. Et c'est tant mieux, cela fait quelques emmerdeurs mégalomanes en moins. Déjà, la corporation en compte une belle proportion.
Tenancier, un bouquiniste en ferrari est d'un vrai chic. Sagan souhaitait que les pauvres roulent en jaguar.
RépondreSupprimerJe transmettrai, Phil, cela lui fera plaisir.
RépondreSupprimerCher Tenancier, je sais bien, et je suis même surpris de vous voir prendre au pied de la lettre mes taquineries. Encore que, vous connaissant, vous trouveriez justement du plus grand chic d'avoir une Ferrari tout en ne sachant pas la conduire !
RépondreSupprimerCela étant, l'idée de la Ferrari avec l'attache caravane m'amuse assez. Cela ferait fureur dans certains cercles bagnolophiles, où circulent également (c'est le cas de le dire) quelques beaux spécimens de cornichons pompeux...
Otto Naumme
Parce qu'Otto, vous passez votre temps à maltraiter votre Tenancier, et ce n'est pas bien.
RépondreSupprimer@ Le Tenancier : vous avez vu, un jour, "Le Couteau dans l'eau", "Rosemary's Baby", "China Town", "Le Pianiste", j'en passe et (peut-être) des meilleurs ?
RépondreSupprimerVous devez confondre bibliographie avec filmographie, et romans de gare avec films noirs ou fantastiques.
Moi, maltraiter ce Tenancier que je chéris par-dessus (presque) tout ? Enfin, soyons sérieux ! (quelques secondes au moins ;-)
RépondreSupprimerCher Dominique, je pense que vous faites fausse route, sans doute un emportement intempestif (type d'emportement qui, vous n'êtes pas sans le savoir, amène parfois à d'inutiles outrances de langage). Notre cher Tenancier évoquait la filmographie de Johnny Depp, pas celle de ce cinéaste. Quant à la culture cinématographique de notre cher Tenancier, pour la connaître, je la sais suffisamment étendue pour faire une entière confiance en son jugement...
Otto Naumme
Non, mon cher Otto, je maintiens ce que je dis à propos de Polanski, surtout après avoir vu Le Pianiste et Ghost Writer et surtout lorsque je vis dans le temps Le Locataire ou Répulsion. Dominique, j'ai vu du reste la plupart des films que vous avez l'amabilité d'énumérer, bien que le visionnage du Couteau dans l'eau remonte à loin pour moi au point que je ne saurais en dire trop. Quant à la confusion à laquelle vous faites allusion, je me demande bien dans quelle sens elle s'effectue, vous n'êtes pas très clair à ce sujet. Sans doute vous égarez-vous dans la sècheresse de votre commentaire à moins que ce soit dans l'expression d'une soudaine acrimonie. Je vous rassure : je suis au fait que l'on puisse faire des romans de gare qui épatent. Quant à la culture d'aéroport, elle existe bel et bien : anodine, sans saveur et internationale, comme la bouffe, en somme.
RépondreSupprimerOr donc, c'était au sujet de ce cinéaste que vous parliez. Je comprends que ses productions aient pu vous raser, effectivement.
RépondreSupprimerOtto Naumme
oui Tenancier, Johnny depp ne sera jamais Cassavetes (ni gina rowlands vanessa paradis !), voilà tout. "Le couteau dans l'eau" nous fait regretter tous les films que Polanski aurait tournés sous la férule polonaise. "Répulsion" en dit long sur ses "attractions".
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