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| Jules Huret : La dernière absinthe
Brochure 12 pages sur papier fluo, 12X17 cm. Pas de mention de tirage sur beau papier - Tiré à 100 exemplaires. Collection Fornax vert - Volume 6 Fornax, MMIII |
Fornax vert - Volume 6
8 commentaires:
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On en boirait (de cette couverture)...
RépondreSupprimerEn a-t-il bu avant ou après dela rédaction de ses reportages en Allemagne ? car sans absinthe pour le couvrir, le ressentiment est fort parmi les reporters français en villégiature allemande avant quatorze. Mais Huret est plus lisible que Tissot, qui à la même époque (quelques années plus tôt, il me semble) aurait dû vider quelques petits verres pour se calmer..
RépondreSupprimerLe petit texte en question parle surtout de la fermeture de Tortoni...
RépondreSupprimerQuant à Huret, cher Phil, il aurait été bien empêché de vous répondre pour après cette guerre-là, Jules décédant en 1915.
Merci Tenancier, ne suis pas de l'époque du Tortoni... ni de celle de Huret mais j'aime trouver ses livres de voyages chez les libraires, souvent en bon état. Son premier livre, les interviouves d'écrivains, cher et rare, peut-être.
RépondreSupprimerL'absinthe montre à nouveau sa couleur dans les capitales est-européennes, comme Prague ou Budapest, mais dans des versions hautement frelatées à destination de la jeunesse ipodées. Grand nombre de cafés-bar nommés "absinthe", prononcé de manière incompréhensible mais toujours associé aux poètes Français !
Le breuvage vert revient aussi dans nos contrées sous une forme plus policées, mais tout autant vers cette jeunesse ipodée, comme vous dites, qui elle ne sait pas ce qu'est un poète français. L'enquête sur les écrivains a été rééditée chez Corti, je crois me souvenir et chez un autre éditeur avant, si je me souviens bien. L'originale passe de temps à autre sur les catalogues. Il faut être seulement là au bon moment.
RépondreSupprimerJ'ignore si cela a été fait, mais il faudrait faire une recension rigoureuse de tous les cafés qui ont concouru à la vie littéraire à travers les siècles et les pays. Par exemple quel était le café littéraire de Valparaiso ou de Buenos Aires, ceux de Prague et faut-il compter le "Cabaret de la Dernière Chance" parmi ceux-là ?
Du reste, je me demande pourquoi le Tenancier ne s'allouerait pas une table dans une quelconque gargotte parisienne...
Oui Tenancier, vu plusieurs ouvrages faisant recension des cafés dits littéraires ...dans l'empire austro-hongrois. Pour information, josef roth avait adopté le mix mirabelle-suze, qui pour être moins décoiffant que l'absinthe, n'a pas semblé lui couper l'inspiration. Certes, il avait perdu toutes ses dents.
RépondreSupprimerOuch ! Mieux vaut être décoiffé que de perdre toute ses dents ! Quoique le breuvage que vous indiquez comme décoiffant rendait aveugle, ce qui n'a pas empêché Homère ni Borges, d'ailleurs.
RépondreSupprimerOn imaginerait bien un Patrick Mauriès (sans ses affectations irritantes !) parler des cafés littéraires, à la suite de ses Cafés italiens. A moins, cher Phil que vos habitudes voyageuses et vos goût littéraires vous portent tout à coup vers cette recension. Nous exigeons la carte des "rafraichissements" et mes différents mélanges.
Tiens, lançons un jeu - un de plus - ici même : cherchons ensembles le boissons favorites des écrivains et donnons leur recette quand il y a lieu. Le Tenancier se fera un plaisir d'en faire une rubrique dans son blog !
Bonne idée, Tenancier. d'autant que j'essaie en vain de me souvenir du nom du cocktail rothien...Son mélange est du reste excellent. Il me manque de connaître le dosage exact mais j'y goûte régulièrement, sans ressentir la moindre inspiration littéraire, je dois bien dire (ni perte de dents).
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