Cuite, s. f. Ivresse complète. D'où peut venir ce mot ? Rappelons-nous que Chauffer le four, c'est boire beaucoup, s'enivrer. La cuite ne serait-elle pas tout naturellement le résultat du four chauffé et surchauffé. V. Tuite. |
Eugène Boutmy - Dictionnaire de l'argot des typographes, 1883 |
D'ailleurs, qui l'eut cru ?
RépondreSupprimerPop9, c'est pas bien de piquer les vannes d'Otto !
RépondreSupprimerL'eusses-tu cru ?
RépondreSupprimer—
ArD
(Profitant de l'absence d'Otto)
Chapeau pointu ! (cf carte postale M.E.)
RépondreSupprimerNon ce n'est pas sauter du coq à l'âne.
D'autant qu'Alan (Ladd) en a souvent tenu des sévères, notamment avec Burt Lancaster et Rex Harrison…
RépondreSupprimerPas moi...
RépondreSupprimerAudy Murphy
À propos de cuite, connaissez-vous ce livre mémorable d'Asger Jorn (et Noël Arnaud), "la Langue verte et la Cuite", sous-titré "Étude gastrophonique sur la marmythologie musiculinaire" ? Paru en 1968 chez Jean-Jacques Pauvert, ce livre, admirablement illustré, est une désopilante parodie des travaux structuralistes de Claude Lévi-Strauss, les auteurs y étudiant les mœurs de deux tribus du 6e et du 14e arrondissement de Paris (346 pages, tout de même !).
RépondreSupprimerNon, je ne l'ai même jamais croisé ! Je crois que je vais me mettre en chasse !
RépondreSupprimerUne merveille qui commence hélas à sérieusement cotouiller sur le marché. Je l'ai raté voici quinze ans, alors qu'il était déjà à 450 F.
RépondreSupprimerOui, je viens de voir sur certains sites : ouille...
RépondreSupprimerEffectivement, il ne faut pas avoir la cuite mesquine pour se l'offrir (!)
RépondreSupprimerArD
Qu'importe la langue (verte ou cuite) pourvu con ait l'ivresse ! (Si je puis m'exprimer ainsi…)
RépondreSupprimerTiens, tiens, on se croirait dans Le Singe vert.
RépondreSupprimerArD
Bien bien, il suffit que je m'absente quelque peu pour voir que l'on se livre à des calembours, domaine où je suis censé faire otto-rité...
RépondreSupprimerTsss....
Otto Naumme