Anecdotes pour servir à l’Histoire secrete des Ebugors Extrait à Medoso, L'an de l'Ere des Ebugors, MMMCCCXXXIII |
Bibliographie : Minilivres - n° 3
14 commentaires:
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Même si j'ignore qui est l'auteur - après tout, c'est sans doute aussi une histoire secrète - j'adore, après avoir cliqué par hasard sur la couverture du livre pour essayer d'en savoir plus, découvrir alors jusqu'au grain du papier, à la texture des lettres : oui, belle "impression" que voilà !
RépondreSupprimerZ'auraient pu mettre un accent à secrète, du reste. Parce qu'en gros plan, ça se remarque...
RépondreSupprimerBon, c'est qu'un détail, ça semble bien intéressant, ces minilivres.
Le Tenancier a des ressources insoupçonnées.
Otto Naumme
PS : cher Dominique, j'imagine que vous n'avez pas manqué de faire un tour ici : http://www.deleatur.fr/index.php?page=shop.product_details&flypage=flypage.tpl&product_id=83&category_id=10&option=com_virtuemart&Itemid=31, pour en savoir plus sur cet ouvrage.
Ah…
RépondreSupprimerSur la forme, Monsieur Le Tenancier…
Ah…
L’apostrophe, l’apostrophe, que diable (« […] l’Histoire […] » !)
(merci).
Et sur le titre imprimé, — est-ce grave ? — l’accent s’est (non secrètement, mais ostensiblement) éclipsé.
Ne disons rien des capitales cruellement privées d’accent, puisqu’on ne sait ce que recèle la casse de l’imprimeur.
K.-G. D.
Tiens, voilà que KGB (euh... KGD) et Otto Naumme se font la même réflexion au même moment.
RépondreSupprimerD'aucuns, à l'esprit probablement embrumé par je ne sais quelle forme de paranoïa galopante, se livreraient pour moins que cela à des rapprochements qui n'en seraient pas moins des raccourcis restés jusqu'ici vierge de tout pas.
Otto Naumme
Le Tenancier respecte l'orthographe du titre...
RépondreSupprimerPour lien, merci, Otto. Vous retrouverez celui-ci sur les autres ouvrages bibliographiés. Il semble qu'une grande partie de cette collection soit disponible à un prix très modique.
K.G.D., je sais que pour vous complaire il me faudrait sans cesse taper en code (Alt + 0146, ici). Je vais le faire. Mais je vous préviens que je me refuse à tout taper de cette manière, car vous auriez un billet tous les six mois !
De lien, cher Tenancier.
RépondreSupprimerPour le reste, oui, c'est 1,50 € le minilivre, si j'ai bien lu.
Otto Naumme
Puisque certains, ici, Tenancier ne vous laissent rien passer, j'ajoute mon grain de sel : Quitte à respecter les diacritiques du titre, autant respecter ceux du sous-titre, tant qu'à faire (le « à »). Ça, c'était pour la noise de luxe (qui prouve que l'on est vigilant au soin que vous portez à votre blog).
RépondreSupprimerJe ne serais pas étonnée, vu la qualité de l'édition, que cet accent grave sur « secrete » n'est pas absent par hasard. Depuis hier soir, je cherche. Mais la réponse est peut-être dans le contenu du livre.
ArD
De l'intérêt de ne pas faire une bibliographie commentée, ça excite encore plus la curiosité des vrais amateurs de livres !
RépondreSupprimerMoi, ce qui m'intrigue, plus que la prétendue année de publication (3333), c'est cette alternance d'italiques et de romain.
RépondreSupprimerMais peut-être, là aussi, la réponse est-elle à l'intérieur…
Moi, elle me botte, cette alternance d'italiques et de romain...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Cher Otto, je suis sûr que vous êtes plongé dans la lecture de Rome, Naples et Florence…
RépondreSupprimerOn doit pouvoir faire des contrepèteries, avec des mots comme "transalpine".
... et "Cisalpine", alors ?
RépondreSupprimerAh oui, surtout qu'il s'agit dans ce minilivre d'une histoire de bougres, dela famille des sodomites et, et... Otto, asseyez-vous, qu'une clef mystérieuse occupe 4 pages en fin d'ouvrage !
RépondreSupprimerAlors à ce compte-là, autant se garder de jouer sur les approches entre italiques et romains, ce serait peine perdue.
ArD
George et Tenancier, je vous gronderais presque de vos alpines contrepèteries, tant celles-ci me semblent "légères".
RépondreSupprimerPour le reste, chère ArD, votre résumé me provoque quelque peur, mon esprit finalement si peu tordu n'osant associer la mystérieuse clé dont vous parlez avec les activités moralement réprouvables (mais ma foi si... euh, bon... passons...) que vous évoquez.
Et, si j'osais, je dirais qu'il n'existe même pas un demi-cadratin entre nos avis sur ce sujet ! (et, pour les esprits mal tournés, je précise qu'il ne s'agit ici en rien d'une quelconque proposition malhonnête, non mais !)
Otto Naumme