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Contrairement à ce que pourrait laisser penser la photo de l’ouvrage qui accompagne ce début de billet, le Tenancier ne parlera pas de la néfaste habitude qui consiste à prendre les livres pour des sous bocks. Nous nous contenterons ici et provisoirement de dire que la ménagère soucieuse de ses dessus de table est l’un des fléaux de la bibliophilie au même titre que le vers des livres. Nous y reviendrons un jour.
L’ouvrage exposé à votre sagacité et pour votre récréation fait partie de ce que nous pourrions faire figurer dans la rubrique des livres tératologiques. Notre cher ami cls a déjà plusieurs fois abordé ce sujet dans son blog et nous y avions pour notre part déjà sacrifié par le biais d’un livre « érotique » dans un billet pas si lointain.
Si la publication de mémoires recèle toujours un parfum d’égotisme maladroit et souvent écrit à la truelle, il n’en n’est pas de même pour ce présent ouvrage qui a su démontrer toute sa puissance, de la première à la dernière page. On ne se penchera point trop sur l’alchimie qui préside à la conception d’un chef d’œuvre. On sait que c’est par essence une mission impossible. Le critique ou le profane ne puis que montrer l’œuvre et dire « cela est ». Point besoin de mots superfétatoires
Aux lecteurs de ce blog il sera seulement permis d’entrevoir la substance de ces mémoires grâce à l’image ci-dessous.


On excusera ici cette photo lointaine, commise sous l’égide de deux préoccupations : celle de ne point casser le dos du livre en le scannant et puis celle d’épargner la sensibilité oculaire du curieux non préparé.
A cette œuvre puissante, le Tenancier ajoutera que l’appendice d’Hazerty est très bien.

8 commentaires:

  1. Honteux ! Lorsqu'on pense à tout le papier gâché pour un tel opus, on ne peut être que scandalisé !
    J'vous mettrai tout ça au goulag, moi...

    Otto Naumme

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  2. C'est vieux comme gag.
    Il y avait eu un "Livre de la sagesse" dans le même genre.
    C'est la mise en pratique d'un vieux poncif de la philo mystique.
    "toutes les réponses a tes questions sont déjà en toi".
    ce a quoi j'ai toujours répondu :
    "J't'en pose des questions moi?"

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  3. Précisons que ces mémoires datent de 1972.
    Chère Mythologie, vous me semblez bien emportée.

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  4. La virginité coûte cher, c'est un fait.

    ArD

    --
    (Merci Otto pour votre invitation dans le no man's land du Cassoulet; à force de vous y chercher, faute de localisation, j'aurai bien faim.)

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  5. Chère ArD, haricots tarbais et saucisse de Toulouse (sans compter d'autres douceurs du même acabit) vous attendent ! Pour ce qui est de la localisation, nous allons voir avec le Tenancier pour vous la donner.
    Je suis un garçon pudique, je ne me vois pas m'étaler publiquement en ces lieux... (et cela n'empêche pourtant pas certains mystères, comme j'espère, le Tenancier me permettra de vous le conter bientôt...).

    Otto Naumme

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  6. Ah, Otto, nous ne partageons point cette envie irrépressible de se faire photographier nu sur une peau de bête. Tant pis, je demanderai à SPiRitus.

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  7. Remarquez, cher Tenancier, nu sur une peau de bête devant un bon cassoulet fumant, comment dire... ça fait peur, en fait...

    Otto Naumme

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