L’enveloppe est unique puisque faite avé les mains, impression des lames du tarot de Marseille. Timbrée de trois locomotives en commémoration de la Pacific 231 K 8
(Bien que le train du 12 mai 2012 ait été supprimé et reporté à l'automne, l'émission du timbre-poste commémoratif du centenaire de la 231.K.8 s'est déroulée comme prévu : vente anticipée avec cachet 1er jour le 11 mai au Carré d'Encre, et dans les bureaux de poste à partir du 14. Deux sortes de souvenirs philatéliques sont associés à la sortie de ce timbre) source : ici
Vous constaterez avec moi qu’aucune lame ne se distingue.
Décachetée, hop ! le Bateleur apparaît, regardez :
Oui, oui que contient cette enveloppe ?
http://youtu.be/vHivET4HGjg
Misère ! Qui ose m’envoyer … ? Je l’ai déjà.
La lèpre qui s’étend sur mon lieu de travail me poursuit donc… ? Serait-ce un oracle funeste ?
Me voilà sceptique et démoralisée.
Soudain un éclair, Le Tenancier a annoncé des nouvelles du Mystérieux Expéditeur. Pourtant ArD a avoué…
Alors qu’est-ce … ?
Que faut-il comprendre ?
Quelques heures plus tard…
Dubitative, je reprends le livre , tout à coup il s’ouvre à la page 29 et je vois ceci :
Je tourne le signet pour le poser sur la page 28 et je pousse un cri de surprise, regardez :
Pensez-bien, le livre s’est ensuite ouvert page 32 : « [ …] D’autre part, des sortes d’automatic libraries, mues par le déclenchement opéré par le poids d’un penny jeté dans une ouverture, donneront pour cette faible somme les œuvres de Dickens, de Dumas père ou de Longfellow, contenues sur de longs rouleaux faits pour être actionnés à domicile. »
Qui est l’auteur de ce mélancolique « Bris de l’ancien miroir où vit un souvenir… » ?
Que ce Mystérieux Expéditeur veuille bien prendre en considération que je connais son identité. Je n’interviendrai donc plus dans l’enquête qui va se poursuivre, et me réjouis d’en suivre les épisodes, le sourire aux lèvres.
C'est pas moi !
RépondreSupprimerSi le miroir se mettait à mentir ou si je fermais les yeux, que ferais-tu de toute cette beauté ?
RépondreSupprimerBon sang, quel visionnaire, cet Octave Uzanne !
RépondreSupprimerJe suis une tare en matière de taromancie, mais dans le domaine de la littérature la 231.K.8 des timbres ne m'évoque rien d'autre que la 628-E8 de Mirbeau (un autre Octave, comme par hasard, et ce livre connut d'ailleurs une édition en 10/18…)
Or si l'on brise le nom "Mirbeau" et qu'on en rassemble autrement les fragments, qu'obtient-on dans le miroir de cet anagramme ? "Rimbeau", bizarrement, ce qui nous ramène illico à l'envoi reçu par le Tenancier…
Quant à ce miroir-psyché qui revient dans les deux envois, il fait certes songer à Robbe-Grillet (Rimbaud grillé ?), mais l'alexandrin brisé sur les deux marque-pages que contient l'ouvrage reçu par Adria fait plutôt songer à Mallarmé ou aux symbolistes…
A quoi cela nous mène, je n'en sais fichtre rien !
Mais ce que j'aimerais bien savoir, chère Adria, c'est comment vous pouvez être aussi certaine de connaître l'identité de ce Mystérieux Expéditeur…
Monsieur Weaver
RépondreSupprimerLa 628-E8 est une wouature...illustré dans un billet "Fins de siècle" ...quelque part dans l'univers bloggesque.
une Octave.
Bizarre : je croyais que ce 10/18 faisait partie de l'une des sélections proposées ici-même, mais en consultant l'indispensable index établi par Adria je ne trouve que deux autres Mirbeau : Le jardin des supplices et Sébastien Roch.
RépondreSupprimerEncore plus bizarre : je suis tombé sur cette page consacrée aux frères Natanson, où la note 5 associe la 628-E8 de Mirbeau au texte de Gide intitulé Feuilles d'automne !
Euh… pardon : Feuillets d'automne !
RépondreSupprimerHem.