Le dit des ribauds de Grève
(Christian Estrosi, qui sait de quoi il parle)
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Mais lui pardonnera-t-on ses fautes d'orthographe ?? Sans doute dues à l"emportement… :-)
RépondreSupprimerOu, où, hou ?
RépondreSupprimerÀ Incartade, Tenancier... Il y a plusieurs façon de les faire, certes.
RépondreSupprimerArD
Voilà, c'est corrigé.
RépondreSupprimerMerci à vous deux.
Ben ça dépend : vous êtes François ?
RépondreSupprimerDe moins en moins, Moons, de moins en moins...
RépondreSupprimerAlors, dans ce cas : http://www.youtube.com/watch?v=A4dNvKItif4&NR=1
RépondreSupprimerEuh, pardon, George, je n'ai pas très bien compris vos consignes :-((
Tenancier, changez vite l'adresse postale de vos Feuilles d'Automne : plus Durand, tu meurs !
Voyou !
RépondreSupprimerOtto Naumme
Merci, Otto. Ces temps-ci, on prendrait cela plutôt pour un compliment.
RépondreSupprimer«Voyou» peut être considéré comme un mélioratif effectivement. Car, entre le bête encours du bandit banquier et le chenapan, la voyoucratie possède une belle marge de manœuvre. Et... n'oublions pas que le voyou est un haut fourneau des personnages de la littérature française.
RépondreSupprimerArD
La voyoucratie argentée au pouvoir donne des leçons de morale aux citoyens, on s'en tient les côtes.
RépondreSupprimerAprès Woerth, le pire est encore à craindre.
Le Poète doit se faire voyant et le Tenancier voyou, voilà la ligne.
RépondreSupprimerEt si le Tenancier était un voyant voyou ? Autrement dit : un poète ?
RépondreSupprimerCertes, cher Christophe.
RépondreSupprimerMais, que doit faire le voyou ?
Otto Naumme