Enfin, le Tenancier envoie une pensée tout amicale à une personne qui ne s'est pas manifestée mais qui a actuellement d'autres préoccupations bien plus importantes.
Christophe, je pense à vous, notre rendez-vous tient toujours.
Les propos et opinions demeurent la propriété des personnes ayant rédigé les commentaires ainsi que les billets. Le Tenancier de ce blog ne saurait les réutiliser sans la permission de ces dites personnes. Les commentaires sont modérés a posteriori, cela signifie que le Tenancier se réserve la possibilité de supprimer des propos qui seraient hors des sujets de ce blog, ou ayant un contenu contraire à l'éthique ou à la "netiquette". Enfin, le Tenancier, après toutes ces raisons, ne peut que se montrer solidaire des propos qu'il a publiés. C'est bien fait pour lui.
Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.
Donc, pensez à signer vos commentaires, merci !
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.
No comment.
RépondreSupprimerno comment too !
RépondreSupprimerJe dirai même plus : no comment.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Et moi, j'adresse une pensée TOUT amicale au Tenancier pour n'avoir pas oublié la catégorie de personnes dont il cause dans l'avant-dernier paragraphe, puisque rien ne pouvait l'inciter à y songer sinon son propre ingenium.
RépondreSupprimerSérieusement, Yves, ne pouvez-vous tout simplement récupérer la base que vous avez expédiée chez rare-books, par exemple, qui est tenu par quelqu'un de tout à fait affable et prévenant ?
Je m'étonne que personne n'ait relevé la pertinence du commentaire de C. Watson sur le billet précédent (horticulteur et fille de cinéaste).
Enfin, coïncidence ? je porte à peu près les mêmes lunettes que vous…
Hélas, cher George (je me permets de répondre à la place du Tenancier, qui me corrigera au besoin - "oh oui, fait moi mal"...), le problème qui se pose à notre ami Tenancier n'est pas du genre qui se résoud avec une sauvegarde ou un duplicata de base de données, ce serait trop simple...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Oui, merci George pour la correction.
RépondreSupprimerMonsieur Chartier de livre-rare-book est une personne charmante qui n'aurait pas hésité, en effet à me renvoyer ma base. D'autres me l'ont proposé dès qu'ils l'ont su, comme Laurent Delgal du site Galaxidion.com.
Otto a eu raison de répondre à ma place en évoquant un problème plus compliqué que la disparition d'une base de données (pour cela j'ai des sauvegardes quotidiennes et j'y ai déjà eu recours). Il se trouve que les listes que je fais parvenir aux différents sites avec lesquels je travaille ne comportent pas tous les même champs et certains ne figurent dans aucuns, ils sont réservé à la gestion personnelle de cette dite base. Selon les cas, ils y a donc de 11 à 14 champs qui constituent la liste des ouvrages disponibles chez moi et qui sont transférés vers ces sites. Or, celui qui est concerné et qui pose problème est un champ utilisé pour mes soins exclusifs. Il s'agit de celui qui m'aide à localiser les livres dans les caisses (pas de bibliothèque dans ma librairie mais des caisses et des étagères de stockage). C'est au cours d'une manipulation de ce champ, alors que j'avais entamé une très grosse transformation de celui-ci que le fâcheux problème est arrivé. Je me suis retrouvé avec une base dont le champ consacré à la localisation des caisses était corrompu et une sauvegarde devenue inutile car l'opération de transformation avait été fort avancée. L'erreur s'est produite juste avant la sauvegarde quotidienne. Résultat : tout le fonds à pointer, c'est à dire, remonter les caisses de mon lieu de stockage et remettre la bonne localisation à l'ouvrage... J'estime que plus d'un tiers de ma base est corrompu et, évidemment, j'ignore quels livres sont concernés...
Pour l'instant j'ai recouvré un tiers de ma liste.
Je reviendrai un de ces jours sur la catalogage des livres...
Voilà qui est clair. L'ambiguïté de «remettre la bonne localisation à l'ouvrage» est délicieuse.
RépondreSupprimerSi je comprends bien, voilà l'occasion d'un inventaire forcé qui devrait vous permettre de voir si vous possédez bien tous les livres que vous «avez» !
ArD
Comme je suis sourcilleux (voir l'illustration) dans la gestion de mon fonds, il y a rarement des erreurs.
RépondreSupprimerConfus de l'étrange saveur de certaines phrases : l'informatique fait écrire de drôles de choses.
Le pire des trucs qui puissent arriver!
RépondreSupprimerEn effet, sauvegarde ou pas, le risque de corruption de donnée est élevé.
Dans mon domaine on triche comme des arracheurs de dents, on duplique tout, base et application, on fait la modif sur la duplication, on la teste, puis on l'applique a l'original.
Mais ça demande de trés gros moyens et le droit de dupliquer un programme.
Bon courage tenancier, a defaut de mieux, je compatis a distance.
Catastrophe, en effet ! J'imagine le hurlement que vous avez dû pousser sitôt après la manipulation fatale…
RépondreSupprimerTout bien pesé, ne serait-il pas plus rapide de construire des rayonnages (outre que cela interdirait pareille fâcherie à l'avenir) ?
C'est ce que je suis moi-même en train de faire depuis une semaine dans ma réserve, lassé de devoir sans cesse manipuler les cartons à bananes pour mettre la main sur tel ou tel ouvrage.
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de nous exposer en détail ce casse-tête : je pense que nous étions tous intrigués.
Hugues, ne vous en faites pas, un peu de travail me fait du bien, au lieu de traîner mollement derrière mon bureau... ce que j'avais trop tendance à faire ces derniers temps. Je me dis que le problème est arrivé justement parce que j'étais trop relâché.
RépondreSupprimerMais, en fait, Georges, non, je n'ai pas poussé de hurlement. Serais-je devenu "stoaque" comme disait Arletty dans Hôtel du Nord ? J'ai changé de couleur, c'est sûr, et suis resté dans une sorte d'hébétude qui me donne une indication certaine du choix de mon clan sur la Lune Alphane.
Des rayonnages seraient pour moi une perte de place importante, vu la disposition de mon espace de stockage et ma façon de fonctionner. Cela dit, demain, je dispose une certaine quantité de livres rue Blomet en rayonnages, alors...
Ah, et c'est à quel numéro ?
RépondreSupprimerCa , c'est un pertinent commentaire, cher George !
Kiss to you, dear Tenancier (cherché la traduction, mais rien trouvé qui vaille).
114 !
RépondreSupprimerLa lettre écarlate… Rarement l'occasion de traîner mes guêtres dans ce quartier, mais j'ai tenté une fois d'aller voir chez cet hawthornophile : c'était fermé.
RépondreSupprimerJ'emprunte l'ordi de ma camarade pour vous dire, George, que c'est ouvert, maintenant. On va essayer de l'être le plus longtemps et le plus souvent possible. Du reste, tous les lecteurs du blog sont conviés à venir me rendre visite. J'y suis le mercredi, vendredi et samedi dans l'après-midi. Cela risque d'être un peu aléatoire le samedi en février (je n'y serai pas à un ou deux de ceux-là)
RépondreSupprimerSuper ! Malheureusement, je suis moi-même ces après-midi-là dans un lieu assez semblable, mais un peu plus au nord-est…
RépondreSupprimerJe m'aperçois qu'on peut donc désormais conjuguer au présent et à la voix active le titre de ce billet : Le Tenancier se meut…
RépondreSupprimerMeuh.
RépondreSupprimerEh oui, le Tenancier se meuh mais ne se rend pas (le lundi, le mardi et le jeudi s'entend).
RépondreSupprimerOtto Naumme
Meuh donc, à partir de quelle date doit-on déclencher le compte à rebours ?
RépondreSupprimerC. Watson, permettez-moi de vous corriger, ce n'est pas à Meudon, mais bien à Paris que nous pourrons retrouver le Tenancier.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Mais, c'est déjà commencé.
RépondreSupprimerEn tout cas, pour reprendre le propos d'Otto hier à 20h08, le Tenancier connaît bien son Lagarde (et Michard) !
RépondreSupprimerPas ri donc, à partir de quelle date doit-on déclencher le compte à rebours ?
RépondreSupprimerChère C. Watson, sur ce coup vous ne faites guère honneur à votre homonyme holmésien : le Tenancier vous a répondu ce matin, à 10h10. Il n'a plus le choix dans la date.
RépondreSupprimerJe me couvre la tête de cendres, juste un petit retard à l'alunissage ! Y en a au moins un qui suit. Cela dit, Sherloque apprécie les contrepéteries...
RépondreSupprimer... contrepèterie qui a dû passer bien au-dessus de notre Otto.
RépondreSupprimerC. Watson, je vous attends samedi prochain.
Ah bon, y'avait une contrepèterie ?
RépondreSupprimerDésolé, chère C. Watson, je ne comprendrai jamais rien à ces jeux de mot, c'est visiblement incurable...
Otto Naumme
... " Le Choix dans la date" !
RépondreSupprimerOtto, on dévie de la thématique de ce blog, mais je trouve que nous sommes quelques uns à veiller sur votre éducation polissonne. Le Mystérieux Expéditeur n'étant pas des moindres à le faire.
Oui, Tenancier, c'est à se demander si les commentateurs de ce blog ne se seraient pas fédérés sous la forme du Mystérieux Expéditeur, une sorte de coopérative Otto-bienveillante.
RépondreSupprimerArD
J'oscille entre la reconnaissance pour de telles attentions à mon égard et le doute ravageur : me pensent-ils vraiment si demeuré ?
RépondreSupprimerQuoique je le sois peut-être... Cette contrepèterie-là, je la connaissais (si, si), mais en fait j'ai regardé dans les commentaires de C. Watson, pas dans ceux de George ! Et, à la lecture, je m'étais juste dit "tiens, sa phrase est moyennement bien tournée". Je vais donc retourner me cacher pour éviter le regard navré de tous ces compatissants commentateurs...
Une sorte de coopérative, dites-vous, chère Ard ? Comme cela serait amusant. Mais vous en feriez bien évidemment partie, non ?
Otto Naumme
Tiens, nous n'avons jamais sérieusement envisagé l'hypothèse ArD comme Mystérieux Expéditeur.
RépondreSupprimerPermettez-moi, cher Otto, de vous rappeler que vous êtes le Président-fondateur du F.U.I.C.T. et que je suis votre 1er assesseur depuis belles lurettes. Il serait fort inconvenant à votre endroit que je m'échapasse dans une coopérative solidaire.
RépondreSupprimerArD
Ce pluriel de lurettes, je ne l'avais jamais lu ailleurs que sous la plume de Boris Vian : un recueil intitulé Les lurettes fourrées, d'ailleurs bien polisson, si ma mémoire ne défaut pas trop…
RépondreSupprimerDiantre, que de coq-à-l'âne, dans les commentaires de ce billet !
Ah, chère ArD, je n'avais point oublié ! Et je vous suis fort gré de votre prévenance.
RépondreSupprimerMais sachez qu'en rien vous ne pourriez jamais vous montrer inconvenante à mon égard.
Quant à vous, Tenancier, pensez-vous vraiment que l'hypothèse que vous soulevez puisse se révéler vraie ?
Otto Naumme
Quand la lurette révèle sa nature, George, la perception haptique prend le dessus. Le titre que vous citez, à lui seul est polisson, votre mémoire ne vous défaut point !
RépondreSupprimer(Rappelons que la lurette est à la fois le temps féminin et la femelle de l'écureuil, afin qu'Otto ne cherche pas une contrepéterie là où il y a polysémie.)
ArD
Otto, que vos doutes ravageurs ne vous arrachent point le cœur !
RépondreSupprimerCes lurettes mignotent vos chevrons préférés, même si vous n'y voyez que du bleu...
Mouton à lurettes.
Cher (ou chère, je ne sais) Mouton à lurettes, je soupçonne la contrepèterie dans vos fort amusant propos, mais comme à l'habitude, je ne la vois point ! En ce qui me concerne, c'est de lunettes que l'on pourrait m'accuser de manquer (bien que j'en porte en permanence).
RépondreSupprimerPour le reste, chère ArD, j'aurai plutôt pensé lurette du genre ovipare. Ne dit-on pas, en effet, "ah lurette, je te plumerai" ?
Otto Naumme
"Ces lurettes mignotent vos chevrons préférés". C'est un peu... animalier, disons, ou alors un peu dans l'imagerie populaire de la Légion Étrangère.
RépondreSupprimerOui, Otto, ce n'est pas parce que vous n'y voyez que du bleu qu'il faut vous laisser casser les lurettes, d'abord !
RépondreSupprimerEt vous, Tenancier, feriez-vous référence à l'«écureuil bleu», en toute innocence ? (Bien entendu.)
ArD
Méééhhh oui, cher Tenancier, merci à vous, je viens enfin de comprendre (j'en entends d'ici certains penser : "il est lent, mais il est lent... On dirait BHL devant un texte de Botul...").
RépondreSupprimerPour la Légion, plus que "l'écureuil bleu" (faudra qu'on me la raconte, celle-là), ne serait-ce pas plutôt aux canards décollettés que vous pensiez, Tenancier, pour parler "animal" ?
Et y'a encore une contrepèterie qui m'échappe dans la réponse de notre chère ArD. Je suis décidément handicapé du contrepet. Va falloir que je voie si ça donne le droit de se garer sur les places réservées. Ca peut valoir le coup...
Otto Naumme
Cher Otto. Handicapé du contrepet, ça fait mal ?
RépondreSupprimerTonnerre, je ne comprends rien à ces histoires animalières, écureuil bleu et canard décolletés ! À moins que le gosier du canard offre un vase suffisant… beuârk, quelle horreur !
RépondreSupprimerÀ propos d'Otto, je dirais plutôt : «Il est lent, mais quel élan !»
Sinon, vous avez graissé une lettre de trop, cher Tenancier.
Œsophage, plutôt que gosier, pardon.
RépondreSupprimerExactement, le tenancier a graissé une lettre de trop, tant et si bien que mon sens du contrepet aboutissait sur des levrettes. heureusement que vous fûtes, George !
RépondreSupprimerPour l'écureuil bleu, voir L'Arrache coeur de Vian, où Citroën est décrit comme ayant un sourire timide comme un écureuil bleu.
Otto, je pensais que vous connaissiez l'expression «casser les burettes».
ArD
Je graisse à tort, certes.
RépondreSupprimerMais je ne vais pas me mettre à dégraisser la lettre en question comme un vulgaire DRH. Moi, je garde le personnel superflu. Je suis solidaire de mes camarades. Et pour le prouver, je plante mes piquets de grève !
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Quel intérêt de graisser la patte à une chevrette ?
RépondreSupprimerOui, chère ArD, je connais cette expression (ayant grandi dans le cambouis, ou presque...).
RépondreSupprimerEt non, mon handicap n'est pas trop lourd à subir, chère C. Watson.
Pour le reste, j'ai bien ri à la lecture de vos commentaires, cher tous, mais il est un peu trop tard pour que les miens aient quelque saveur, je m'en vais donc me coucher...
Otto Naumme