Un roman pour les guichetières

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Oui, un roman pour les guichetières. Nous les estimons plus que certains personnages, lesquels semblent ne savoir que lire l'heure et de préférence sur de grosses montres.

6 commentaires:

  1. J'aime beaucoup ce qui se cache derrière la guichetière et de toutes façons je n'aime pas les montres !

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  2. Bah, l'homme vulgaire aime à pouvoir dire "j'en ai une grosse"...
    Au fait, est-on sûr qu'il sache lire l'heure ?

    Otto Ridé

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  3. Guichetier : Ce mot a plus de quatre siècles et sa féminisation date de 1941. Pourquoi le président a-t-il donc fait référence au genre féminin qui plus est dans une langue où le genre masculin l'emporte ?
    ArD

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  4. Dites Tenancier, ne trouvez-vous pas que cette bonne Madame de La Fayette a la posture "populaire" et "royale", en tout cas aussi populaire et royale que l'horlogère saillie du sieur Otto Ridé ?

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  5. ArD, ce n'est pas moi qui ait commencé. C'est le petit mec tout seul dans son costard avec sa grosse montre qui a parlé de "guichetière". Donc, je cite.
    Pour que la France puisse se lever tôt, cher Otto (poil au ...?), il faut savoir lire l'heure. On voit que vous n'êtes point coutumier, ce qui est affligeant. D'un autre côté, cela fait de vous un être humain et non une machine à produire. En fin de compte, on vous aime mieux comme ça.
    Cher Christophe, il faut avoir de l'imagination et je n'en ai point. Du moins s'est elle arrêtée aux gambettes de Mam'zelle Suzette et non plus aux guibolles d'Émilienne - qui n'étaient pas mal non plus. Expliquez-nous donc, mon cher. Je crains fort que vous ne confondiez madone et maldonne.

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  6. Codicille :
    Le mot guichetière tombait bien, en l'occurrence, cela m'a permis de trouver un titre à ce billet, rappel un peu subliminal, il est vrai de "Un roman pour les cuisinières" d'Émile Cabanon, charmant petit texte romantique paru aux éditions Corti.

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