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Après tout ce que vous racontâtes (c'est pas toujours beau, le passé simple...) sur Emilienne et Suzette, le seul bouton que vous ayiez réussi à trouver est celui marqué Pause ?
RépondreSupprimerJe suis déçu.
Otto Naumme
@ Otto Naumme : le Tenancier, ce grand étourdi, s'est trompé ; il voulait écrire "pose".
RépondreSupprimerOui, la transitivité change tout : la présence d'un bouton est inutile, du coup.
RépondreSupprimerArD
Certes, pose et transitivité sont de bon aloi, mais tout cela finira par nous donner une sorte de flou pas forcément artistique...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Ménageons le Tenancier, lui qui passe son temps à nous éclairer...
RépondreSupprimerFi de la forme interrogative et postposons le sujet, le Tenancier !
RépondreSupprimerArD
Ça va ? Vous vous amusez bien, tous ?
RépondreSupprimerLe Tenancier prolonge sa pause jusqu'au 19 de ce mois. Il avoue sa déception devant le fait que l'on soit autant sibyllin... Lâchez-vous un peu, d'autant qu'il y aura une pause - également - dans la publication des commentaires dans le cours de la semaine prochaine !
Message reçu ô Tenancier. Aussi, répondant favorablement à votre invitation, je me jette à l'eau :
RépondreSupprimer- vachement classe ton blog.
- je le kiffe grave.
- c'est l'éclate totale.
- viens chez moi et lâche tes coms.
- t'as MSN ?
(Dites, vos feuilles d'automne vont-elles à la recherche de bourgeons de printemps ?)
Non, cher Chr. Borhen, je pense que le Tenancier rêve que nous commentions en langage SMS.
RépondreSupprimerMais j'ai beau faire, j'y arrive pas...
Otto Naumme
OUI, c'est un peu comme s'il nous demandait de sauter dans le vide. L'exercice est tentant, mais... Qui fait office de parachute ?
RépondreSupprimerArD
(Franchement, Otto, je ne pensais pas que vous vous mettriez sur Pause pour une histoire de SMS.)
Ah, chère ArD, là, il s'agirait plutôt d'une poz, si g bien kompri comen kozé SMS (vous voyez, je m'y mets... Mais s'il existe un excellent traducteur SMS vers français - http://www.traducteur-sms.com/ - , il n'y a pas l'inverse, d'où mon désarroi).
RépondreSupprimerQuant au parachute, j'agrée vos dires. Et, de toutes manières, s'il n'est point doré, il n'y a de parachute qui me siée (en vérifiant la conjugaison du verbe seoir, je suis tombé sur quelques amusantes découvertes que j'avoue découvrir comme les verbes sérancer (peigner le lin ou le chanvre, je pense que l'on dit plutôt sérafer lorsqu'il s'agit de peigner la girafe...) ou serfouir (retourner la terre à la serfouette...) dont l'usage se perd malheureusement).
J'aimerai tant ainsi interpellé une relation : "quand tu auras fini de serfouir cette parcelle, pourras-tu sérancer ce tas de chanvre ?". Quand même mieux que Web et SMS, non ?
Otto Naumme
Tenancier,
RépondreSupprimerIl y a une émanation du F.U.I.C.T. sur le blog d'à côté. Un putch ou un coup d'esbrouffe ? Je ne sais pas.
ArD
Mais, où donc, chère ArD ?
RépondreSupprimerPour ma part, je trouve que ce petit jeux qui consiste à essayer de provoquer mes réactions n'est pas très respectueux de mon désir momentané de proscratination. A croire que mes lecteurs sont dévorés par l'idéologie ambiante...
Eh ! Dites-moi, on est pas au bureau, là ?
Pire qu'au boulot, très cher Tenancier, pire...
RépondreSupprimerEt il ne faut pas se plaindre d'être pris pour l'arroseur arrosé, non ?
En revanche, l'Otto a honte de ses écrits des "découvertes qu'il avoue découvrir", franchement, honte à moué...
Quant à vous, chère ArD, quelle est donc cette émanation du FUICT que vous évoquâtes ? Où la trouver ? Il faut que je mate de ce pas ces rebelles ! Ou que je félicite ces adorateurs de mon génie inné. C'est selon.
Otto Naumme
... pour la modestie, vous ne craignez personne, Otto.
RépondreSupprimerTenancier,
RépondreSupprimerje n'ai fait qu'exécuter vos desiderata : « Lâchez vous un peu !» et voilà que vous en profitez pour brider. Mmmm, ça porte un nom ça !
ArD
du F.U.I.C.T. présent et émanant.
La seule chose que je sois capable de brider, c'est un rôti de boeuf. Et encore, ça fait longtemps.
RépondreSupprimerJe constate accessoirement que ce très court billet provoque nettement plus de commentaires que ceux que j'ai bien pu publier auparavant.
Allez, chère ArD, sortez-nous donc le mot qui fâche, puisque "ça porte un nom, ça", mmmhhhh ?