De tristes certitudes nous accompagnent parfois. Ainsi, l'on ne redeviendra jamais un enfant (la sénilité n'est pas un retour, ce serait plutôt le prologue d'un aller simple) et l'on ne retrouve pas les amours perdus. Ici même, le sieur Otto fit allusion que je m'attachais aux jambes d'Émilienne, celles qui ne mènent à rien. Il avait rapproché une pure évocation nostalgique à un papillonnement libidineux. Il n'avait point tort, les deux étaient liés. Hélas, le temps a passé et nostalgie et libido se sont délitées dans la poussière de papier et dans les songes. Ainsi Émilienne devenant un souvenir fuligineux il fallut chercher ailleurs substances à mes phantasmes.
Je n'eus pas à chercher bien loin.
Je découvris les gambettes de Suzette ! Mam'zelle Suzette est une dactylo dégourdie et bien faite de sa personne qui expose ses charmes dans le blog d'Éric Poindron.
J'ai fait la recension des apparitions de Mam'zelle Suzette. Vous pouvez aller voir. Mais faites attention, je suis jaloux :Je découvris les gambettes de Suzette ! Mam'zelle Suzette est une dactylo dégourdie et bien faite de sa personne qui expose ses charmes dans le blog d'Éric Poindron.
Drôle de métiers, drôles de bonshommes
Des nouvelles ?
Les petites annonces de Mademoiselle Suzette
Contrefaçon
CuriosaAh, si Mam'zelle Suzette voulait bien que je lui confie quelques petits travaux, quelle sérénité retrouvée dans la conduite de la librairie !
Autrement, on regardera avantageusement le blog d'Eric Poindron, fort justement intitulé : Le Cabinet des Curiosités, des Étrangetés & des Singularités de Éric Poindron. Brièvement, de l'auteur de ce blog nous dirons qu'il ne peut être mauvais puisqu'il fit une biographie de Ricardo Freda entre autres travaux littéraires et cinématographiques... Pour le reste, reportez vous à sa notice biographique.
Mais revenons au blog.
Le titre est long, mais point usurpé. Échecs, littératures, curiosités littéraires et de sciences naturelles, etc. On feuillette ce blog comme une sorte de Magasin d'Éducation et de Récréation. Question : Éric Poindron en est-il le Paschal Grousset, le Verne ou le P.-J. Stahl ? A vous de vous arranger avec vos humeurs du moment et le hasard de vos lectures pour le déterminer
Ici tourne court cette petite visite des blogs, jusqu'au mois prochain. Le Tenancier, fait le faraud, mais il demeure inconsolable de l'éloignement d'Émilienne, comme d'une enfance perdue, comme d'une vie qui s'est évaporée... Le Tenancier est un nostalgique.
Emilienne, Suzette... Il en va de la prose des formes. Les jambes se prennent à leur cou et les bras divisent les fleuves. Il appartiendra au Tenancier d'en contourner les courbures pour mettre fin à son algie.
RépondreSupprimerArD
Cher Tenancier,
RépondreSupprimerAyant les mêmes lectures (parfois), on pourrait se retrouver autour d'un bon verre. Du "coup" (si j'ose dire), on demanderait à notre camarade Henri de faire l'échanson "divin" (si j'ose dire bis).
L'éclairant et lumieux Poindron est bien entendu ardemment invité à la joyeuse tablée (mais non Henri, je n'ai pas écrit "Point de rond").
Sur ce, eau minérale et douche.
Bien à vous...
Boire un verre ou faire des vers ? Et se retrouver, oui, vers où ? Pour y remettre le couvert ? Et ArD en pantoufles de vair ?
RépondreSupprimerQui vivra verra, donc, et verrat qui s'en dédit.
Bref, l'idée de monsieur Borhen est à retenir même si géographiquement compliquée...
Otto Naumme (pas bien réveillé)
Vous ne pensez qu'à boire et n'avez aucune pensée émue par la détresse du Tenancier.
RépondreSupprimerC'est triste. Que doit penser Émilienne si elle passe sur vos commentaires ? Et Mam'zelle Suzette ? Il n'y a guère qu'ArD pour ne pas avoir une pensée de soudard...
Cher Tenancier,
RépondreSupprimerVu le taux de masculinité qui ne joue pas en ma faveur parmi vos admirateurs, vous allez finir par me mettre dans de sales draps minoritaires si vous persistez dans vos jeux d'assonnance graphique, parce que "soud ard" !
ArD
Les jeux de mots et l'inconscient... Enfin, sachez, ArD, que ce blog ne réclame pas forcément des admirateurs mais surtout des amis...
RépondreSupprimerVous savez, chère ArD, se mettre dans de sales draps minoritaires n'est pas forcément grave, tout dépend en fait de qui les fréquente, ces draps.
RépondreSupprimerEffectivement, s'il s'agit d'un soudard ou saoûlard fustigé par notre cher Tenancier, le jeu n'en vaut guère la chandelle (qui est morte et je n'ai plus de feu, malheureusement...).
Pour le reste, cher Tenancier, bien sûr que je compatis à vos pleurs, mais j'essaye justement, avec mes modestes moyens, de vous distraire (poil au menton).
Et je suis sûr que Suzette comme Emilienne reviendront vous dévoiler une jarretière comme vous les aimez tant.
Ne perdez pas espoir...
Otto Ridé
Cher ArD,
RépondreSupprimerVous avez le toupet de mettre le doigt sur les jeux d'assonance graphique du Tenancier (remarquez, vous faites bien).
Qui plus est votre remarquable talent parvient à déchiffrer un improbable "soud ard", et, pour couronner le tout, vous êtes à un cheveu de vous mettre dans de sales "DrA"...
Croyez-moi, vous avez de la chance que ledit Tenancier maîtrise mal l'art et la technique du verlan.
(Silence d'Henri. Il est dans les vignes ou à la cave ? Bon, c'est vrai, bourse en poche, je peux tout de même bien braver les distances kilométriques)
Il maîtrise, Christophe, mais il n'a plus le goût à rien... témoin cette lente déshérence du blog.
RépondreSupprimerPour ce qui concerne notre cher Henri, il est dans les vignes, dans la cave, en conférence et à lire sa vieille bibliothèque. Monsieur Henri fait son Maître Jacques, pour notre plaisir lorsque nous en éprouvons les effets (il doit me rester une bouteille, encore, quelque part...)