Ce sont les charmes du métier.
Ainsi, celle du Tenancier est parfois hantée par certains titres de livres ou de nouvelles, qu'il n'a pas forcément pris la peine de lire, d'ailleurs. Saveur particulière qui s'apparente au distique, au haïku, poésie brève, saveur qui mène à imaginer parfois tout autre chose que ce qui est énoncé dans le récit. Et souvent, lorsque la rencontre s'effectue, l'on ressent comme une sorte de trahison quand ce n'est pas la plupart du temps de la déception. Quelquefois, il y a d'heureuses surprises.
Voici un bout de la comptine du Tenancier - il en garde d'autres dans un autre écrin car il n'en a pas encore épuisé les étranges saveurs :
Les jambes d'Émilienne ne mènent à rien
Qui livre son mystère meurt sans joie
Violoncelle qui résiste
Tous les morceaux de la rive du fleuve
Donnez-moi le temps
Trouvé dans une exposition ce poème, écrit il y a quarante ans mais d'actualité, notamment du côté de Calais, Sangatte, et d'Eric Besson.
RépondreSupprimerLe Juste inquiet
Inquiète
La Justice
PMB, vous êtes hors sujet, mais nous gardons l'intervention car nous aimons les justes.
RépondreSupprimerLe Tenancier