C'est pas du Gourmont, et pourtant...
59 commentaires:
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L'avait un rendez-vous galant dans le bois avec un curé... et n'a trouvé dans la mousse que le missel d'icelui avec ce mot griffonné sur la page de titre : "lapin mystique" !
RépondreSupprimerHum...
RépondreSupprimerEntamer la lecture de Clausewitz alors que la chicorne a déjà démarré, c'est une faute professionnelle, nan ?
RépondreSupprimerBen quoi ?
RépondreSupprimerPOP9, c'est sûr que lire le mode d'emploi sur place, euh...
RépondreSupprimer(M'étonne de vous, qui êtes cinéphile que vous ne sachiez pas...)
SPiRitus : Ben rien.
Cher Mister T., je suis un cinéphile perfectible, de surcroît perturbé par les uniformes figurant sur votre image. J'ai l'impression que le lecteur est un officier teuton et que les cavaliers de l'arrière-plan sont français... un prisonnier ?
RépondreSupprimerÇa ne me dit rien, vingt dieux.
J'aurais dit plutôt british l'uniforme. Mais ma science de la mode militaire est un peu limitée.
RépondreSupprimerPOP9, pour l'aspect "teuton" de l'officier au premier plan, ce n'est guerre étonnant, lorsque l'on connaît les origines de cet acteur (que je n'ai vu que deux fois ailleurs dans des rôles beaucoup plus subalternes, du reste). Quant aux uniformes français... si je me fonde sur l'histoire récente de ce pays à l'époque où se passe l'histoire, cette ressemblance est assez crédible.
RépondreSupprimerSPiRitus, ce sont les casques en liège qui vous induisent en erreur et vous font penser à des Habits rouges (Goddam !, dirait Bleck le roc...), nous ne sommes pas aux Indes contres les Cipayes et les Thugs, mais le port de ce type de casque est justifié.
"Blek le roc" sans c, honte à moi !
RépondreSupprimerTttt...
Enfin, ce qui m'amuse un tantinet, mon cher POP9, c'est que vous en avez parlé sur votre blogue avec une citation se rapportant pile poil à ce livre.
RépondreSupprimerMais il est vrai que je n'ai pas mis l'image la plus évidente non plus, hein.
Là, j'avoue sécher complètement.
RépondreSupprimerMais je serais ravi d'avoir le fin mot de l'histoire, l'image choisie par ce cher Tenancier m'intriguant assez. Que la guerre représentée soit celle de 14 ou celle de 40 (ou encore une autre ?), il me semble qu'il y a des anachronismes.
Ca serait-t-y pas un film de science-fiction avec un flachebaque et un paradoxe temporel ou quelque chose comme ça ?
Otto Naumme
Le réalisateur de ce film a fait de menus anachronismes, il est vrai, mais à mon avis il ne transparaissent pas dans cette image. Il aurait fallu que vous précisiez, mon très cher Otto.
RépondreSupprimerPar ailleurs, ce réalisateur a déjà montré des reconstitutions militaires (pour mieux en dénoncer les horreurs) dans quelques films.
Je suis certain que vous avez tous vu ce film, seulement cette image n'est pas la plus emblématique...
A un moment, j'étais chez Hemingway, côté A Farewell to Arms", sûr de mon affaire, mais je doute de plus en plus. Le film de 1957 ? Mais qui est ce mec étoilé ? Kurt Kasznar ? Victor Francen ? Ça ne colle guère.
RépondreSupprimerCher Tenancier, ce qui m'intrigue, ce sont ce camion dont on voit l'arrière et la gueule des mitrailleuses derrière le lecteur : le premier semble plutôt dater des années 1940, les secondes plutôt du XIXe siècle ou des années 10-20.
RépondreSupprimerDe même, le lecteur semble porter un uniforme plutôt années 40, les soldats "coloniaux" plutôt années 20.
Mais rien ne dit que je ne me berlure pas totalement, il faudrait voir d'autres images du film pour être plus sûr de tout cela...
Otto Naumme
Ces camions, vus de dos, ressemblent effectivement à ce que vous dites, Otto, quoique je ne sois pas un spécialiste du poids lourd, vous savez. Quand on les voit de face, ils ne font pas du tout anachroniques et correspondent assez à l'idée de ce que l'on se fait du reste du décor.
RépondreSupprimerSoldats coloniaux... disons que je ne mets pas en doute la recherche documentaire de l'équipe du flm à propos de ces uniformes, mais dans le film on ne sait vraiment pas si ce sont des troupes métropolitaines, un corps expéditionnaire ou autre chose encore. Disons qu'elle sont du pays où se passe l'action — mis à part l'officier que nous voyons sur la photo dont le nom dans le film et l'aspect germanique font penser à un "officier instructeur" si cher à nos amis de la CIA, ce qui, vu l'époque de tournage, n'est pas une sotte allusion au Vietnam — et correspond également à une réalité historique, je pense. Cette petite promenade hygiénique fut d'ailleurs un moment dans l'histoire où plusieurs idées politiques s'expliquèrent à coups de mitrailleuses et de galopades, mais je crois que nous connaissons fort peu les péripéties de ces amabilités de notre point de vue, en France, sinon que par le truchement du cinéma. Vision tronquée et quelque peu romantique. Là, je suis en train de vous aider, boudiou !
POP9, Francen aurait eu 69 ans si le tournage avait été de 57 ! Du reste je n'ai pas le souvenir qu'il ait joué dans ce remake...
Mais après tout, l'idée d'y voir la main d'Hemingway, s'attachant à un certain romantisme du récit aurait pu être une piste. Seulement je ne pense pas qu'il ait traité cet épisode dans ses romans ou nouvelles (mais je n'ai pas tout lu de lui) et les références de ce scénario original n'y aboutissent pas non plus. Allez, une autre aide : vous vous trompez de génération en songeant à Hem'.
Je vous rappelle également ici qu'il va vous falloir répondre aux trois questions pour vous estimer gagnants, la victoire collective étant la plus belle...
Ah oui — mais est-il besoin de le préciser — ce n'est pas L'Adieu aux armes...
RépondreSupprimerEn accordant quelque crédit aux clins d'œil du Tenancier, je dirais qu'il s'agit d'un officier (et non d'un troufion) anglais (puisque "anguleux") joué par un acteur allemand et de l'armée belge (à cause des "casques en liège"). En ce cas, il ne peut s'agir de la bataille des Ardennes, plutôt de la drôle de guerres. La mitrailleuse me semble pouvoir dater de cette époque, tout comme le camion, mais en ce cas la présence de la cavalerie détonne car ça fait plutôt penser à 14-18…
RépondreSupprimerPuisqu'il s'agit d'un réalisateur antimilitariste, j'avais songé à Peter Watkins mais son nom n'apparaît pas dans la liste des libellés de M'sieu Pop.
Nope, George, ce n'est pas cela.
RépondreSupprimerJ'ajoute que Watkins fait preuve d'une critique nettement plus radicale que le réalisateur de ce présent film, lequel reste tout de même dans le domaine du spectaculaire (mais quel spectacle !)
RépondreSupprimerAlors, vérifiant a posteriori mes dires, je découvre que mon évocation des origines de cet acteur était fausse. En tout cas, si je ne me rappelle l'avoir vu que trois fois, ce n'est pas non plus étonnant car il n'a pas beaucoup joué.
RépondreSupprimerAllez, une indication supplémentaire que je viens de délivrer à ArD en privé : le titre de ce billet a un rapport avec Gourmont et pose quelques questions quant à sa lecture et même à son existence.
Pas Watkins et pas l'armée belge, d'accord.
RépondreSupprimerMais l'officier n'est pas anglais ?
Ce qui est curieux, c'est que la reliure semble dater au plus tard du XVIIIe, donc bien avant Gourmont…
RépondreSupprimerJe résume : On a bien affaire à un écrivain romancier accessoirement réalisateur ?
RépondreSupprimerFilm se situant dans une ex-colonie française dans les années 1880?
arD
Non, George, l'officier n'est pas anglais et si je parle d'anguleux, c'est que l'acteur l'est vraiment ! Contrairement à mes lecteurs, je ne vermotise pas, moi ! On ne voit pas grand chose de la reliure et je puis vous dire qu'elle est en piteuse état.
RépondreSupprimerC'est dingue, je pensais vous soumettre quelque chose de vraiment facile !
Le réalisateur n'a pas écrit de livre, à ma connaissance (sinon peut être que ma vie mon Oeuvre) J'ai dit plus haut que cela se passe dans un pays et au cours de péripéties dont nous savons que peu de choses ici, en somme. Ce n'est donc pas une colonie française qui est quand même bien documentée en France sur le plan historique. Que Gourmont ne vous induise pas en erreur, cela se rapporte uniquement au titre du livre, puisque l'auteur français rédigea un texte avec un titre similaire à celui que contemple cet officier dont, d'ailleurs, le prénom et le nom sont assez curieux dans leur mélange.
RépondreSupprimerLa déduction d'Otto est la bonne pour ce qui concerne l'époque, c'est à dire au tout début du XXe siècle.
Des hiéroglyphes dans le bouquin! Le général 3 étoiles n'y comprend rien, c'est évident (!)
RépondreSupprimerArD
C'est un colonel — et là, purée, qu'est-ce que je vous aide ! — et il ouvre un ouvrage qui n'est pas sa marque préférée, loin de là.
RépondreSupprimerAlors c'est Les griffes du lion [Young Winston], de Richard Attenborough (1972), qui se passe durant la guerre des Boers ?
RépondreSupprimerGeorge, si tel était le cas, l'officier serait anglais, non ? or le Tenancier dit qu'il ne l'est pas.
RépondreSupprimerArD
Non, ArD : c'est un Boer. Les casques correspondent.
RépondreSupprimerMais je n'ai pas l'impression qu'il s'agisse de ce film-là, puisqu'il n'y a pas de colonel parmi les personnages.
Il ne s'agit pas de ces cocos-là...
RépondreSupprimerLe Tenancier a dit...
RépondreSupprimer"Contrairement à mes lecteurs, je ne vermotise pas, moi !"
Alors vous appelez ça comment, ce passage de votre billet : "faire la moue (pas la guerre)" ?
Ah mais bon sang de fouchtra, ces casque ressemblent vraiment à ceux des Boers !
RépondreSupprimerS'agit tout de même pas la guerre russo-japonaise ?!
Ni celle des Boers, ni la russo-japonaise. Lorsque je dis que nous en connaissons relativement peu les péripéties, je signale tout de même qu'il y a eu quelques films et aussi quelques personnages emblématiques qui en ressortent, ce qui n'est pas tout à fait le cas de la guerre des Boers (à moins de lire la presse de l'époque) ou de la guerre russo-japonaise dont je ne me souviens pour ma part que vaguement de Port-Arthur. Or dans ce film, vous rentrez de plein pied dans les événements et on a pas besoin de vous dire ce qui se passe sur le plan historique. D'ailleurs cet arrière plan n'est pas expliqué; Y'a les bons et... y'a les méchants, hé hé...
RépondreSupprimerCherchez bien, il y a un conflit juste avant la première guerre mondiale auquel vous n'avez pas pensé. Dès que vous trouverez ce que c'est vous saurez de quel film il s'agit.
RépondreSupprimerHum, au Canada et on aurait le lien avec Gourmont...?
RépondreSupprimerMais j'ai de gros doutes.
ArD
Bon allez George,je vous passe le relais : trêve de plaisanterie, il doit s'agir d'un conflit dans les Balkans. La végétation correspond bien et le bouquin doit contenir des poèmes.
RépondreSupprimerArD
Je ne vois pas ce qui a pu se passer au Canada à ce moment-là. Les uniformes sont clairs, les casques en liège. il faut déduire qu'il fait très chaud.
RépondreSupprimerPour le titre de Gourmont, ne vous focalisez pas dessus, cela n'a un sens que si l'on connaît le titre de l'ouvrage sur la photo, à moins que... en épluchant les bibliographies et en raisonnant... Considérez cela comme une piste, c'est tout.
Pas les Balkans, pas de poésie...
RépondreSupprimerAlors la révolution mexicaine et le Viva Zapata ! de Kazan ?
RépondreSupprimerAh enfin !!!
RépondreSupprimerMais ce n'est pas Kazan.
OK, alors c'est Il était une fois la révolution, de Sergio Leone. Sauf que c'est pas un remake…
RépondreSupprimerJamais vu, hélas !
S'il y a des bons et des méchants: «Il était une fois la révolution.»
RépondreSupprimerArD
je n'ai parlé de "remake" que pour L'adieu aux armes, mon cher George. Je suis carrément troué par ce que vous nous déclarez-là ! Jamais vu ?
RépondreSupprimerOh ?
A partir de là, ceux qui se rappelle du film doivent forcément se rappeler de la scène juste avant cette image et peut être du titre du livre...
Alors l'ami Nessie, du forum "Regards sur France Culture" me signale (car on est en plein A[N]PéRo) qu'il s'agit du colonel Günther Ruiz (ou "Rosa", suivant les versions) et que la scène se passe juste avant l'explosion du pont.
RépondreSupprimerIl me signale aussi que quelques semaines après avoir vu ce film il a croisé cet acteur dans un restaurant du boulevard Sébastopol !
Sinon, j'ai dégotté ça chez M'sieu Pop :
— I know what I am talking about when I am talking about revolutions. The people who read the books go to the people who can't read the books, the poor people, and say, "We have to have a change." So, the poor people make the change, and then, the people who read the books, they all sit around the big polished tables, and they talk and talk and talk and eat and eat and eat. But what has happened to the poor people? They're dead! That's your revolution. Shhh... So, please, don't tell me about revolutions!
Antoine Saint-John, donc.
RépondreSupprimerEt le livre est Le patriotisme de Michel Bakounine (et non pas Le joujou patriotisme de Gourmont).
Bordel, comment ai-je pu ne pas piger ? Contrairement à m'sieur George, j'ai vu le film trois ou quatre fois, mais l'image ne me disait rien (et ne me dit toujours rien).
RépondreSupprimer(L'officier est donc le colonel Gutierez aka Günther Reza (dans la VO), joué par Antoine Saint-John, un natif du Vaucluse qu'on a aussi croisé chez Enrico ou Boisset.)
Tout de même, je vais manger du poisson.
Et voilà, vous avez trouvé ! Compliments à vous tous parce que l'on peut vraiment parler ici de résultat collectif. Effectivement, le titre diffère un peu de celui de Gourmont, mais je voulais un peu vous mettre sur la piste. Bakounine n'a jamais rédigé un tel ouvrage et il semble bien que ce soit une invention scénaristique. On vous renvoie à ce billet s'interrogeant sur l'ouvrage et sa pertinence :
RépondreSupprimerhttp://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/bakounine/bakounine-dans-il-etait-une-fois-la-revolution-126/
On y pense qu'il est incongru que Mallory — ancien de l'IRA — puisse lire un tel auteur. C'est sans compter le désenchantement qui accompagne le personnage — moins sur le fait de faire la Révolution que sur la cause. Et puis, par ailleurs, c'est ignorer complètement que le mouvement libertaire était présent aux côtés des zapatistes à ce moment (Cf le livre de Womack sur le sujet). Le questionnement est cependant intéressant et c'est la raison pour laquelle j'ai relevé l'étrangeté de ce livre.
J'ai bien l'impression que c'est le seul rôle important (le premier ?) qu'eut jamais Antoine Saint John; La scène inoubliable, pour moi, est le brossage des dents !...
Mais c'est à vous qu'il faut adresser des compliments, cher Tenancier, pour une énigme enfin si rondement et finement menée, contre toute attente de votre part !
RépondreSupprimerMaintenant, on n'a toujours pas la réponse à la troisième question : "pourquoi c'est étrange ?"…
Si je ne m'étais levé du bon pied, j'aurais pris ce "contre toute attente" en mauvaise part. Mais voilà, j'ai des faiblesses coupables, je suis un affectif.
RépondreSupprimerBon, pour l'étrangeté de la chose, je m'en suis expliqué ci-dessus, juste au-dessus de votre interrogation d'ailleurs. Le livre de Bakounine n'existe pas et il est pour le moins curieux qu'un ex de l'IRA lise un machin pas très favorable au patriotisme. Etrangeté explicable à mon sens mais que n'ont pas manqué de relever quelques admirateurs du film, dont ma pomme. Cela ne saute pas aux neuneuils de ceux qui l'ont pas vu, on vous pardonne, sachant que l'inculture n'est pas un vice. (Qu'est-ce que je suis de bonne humeur, aujourd'hui !)
Ah, désolé, ne le prenez pas en mauvaise part, je me suis sans doute mal exprimé, laissant trop loisir à quiproquo : "contre toute attente de votre part" ne se référait qu'à votre étonnement de balancer un truc aussi facile selon vous mais dans quoi nous nous embourbions.
RépondreSupprimerD'ailleurs, à bien me relire, il eût fallu que j'écrivisse "contre toute attente de notre part", pour justifier une interprétation paranoïaque telle que la vôtre…
Maintenant, deux questions restent en suspens :
— Qu'est-ce que c'est que cette histoire de "lapin mystique", de la part de SPiRitus ?
— Pourquoi avez-vous répondu à M'sieu Pop qu'il avait parlé de ce film sur son blogue "avec une citation se rapportant pile poil à ce livre", alors que ce livre n'existe pas ?
En tout cas, ravi de vous savoir de bonne humeur !
Si «à votre grande surprise» eût été sans équivoque, vous avez parfaitement raison de vous défendre, George. Le Tenancier voudrait nous faire accroire qu'il est de bon poil quand il comprend votre compliment de travers. Il est grand temps que le président du F.U.I.C.T. rassemble ses troupes !
RépondreSupprimerPour le lapin mystique : Alice , voyons !
ArD
Seule chose que puisse dire le président du F.U.I.C.T. : en avant !
RépondreSupprimerOtto Naumme
C'est me prêter beaucoup pour si peu ! Je sais que George est un peu maladroit parfois et cela me fait souvent rire sous cape.
RépondreSupprimerArD, vous avez le don de ressusciter les trucs oubliés, vous êtes la grande nécromancienne de ce blog.
@ Le Tenancier : bonne idée que ce petit jeu, hélas, à la date d'aujourd'hui la réponse est donnée...
RépondreSupprimerProchaine question : sur "La Grande Vadrouille" !
@ George WF Weaver : "Dépurons-nous de ces humeurs ; prenons quelques pilules de dédain qui fassent issir par les voies naturelles ce virus nouveau, dénommé Patriotisme.
Nouveau, oui, sous la forme épaisse qu'il assume depuis vingt ans, car son vrai nom est vanité : nous sommes la civilisation, les Allemands sont la barbarie..."
Rémy de Gourmont, "Le joujou patriotisme" (Jean-Jacques Pauvert, Libertés 53, 1967, page 62).
Merci, cher Dominique.
RépondreSupprimerEntre nous, j'adore ce verbe, "issir", et l'ai mouliné haut !
@ George W. Weaver : issir et maintenant !
RépondreSupprimer@ George WF Weaver : j'oubliais un "F" dans l'emportement.
RépondreSupprimerJ'ai repensé à tous ces "Pauvert" que vous avez encore dans votre boutique, je crois que vous ne devriez pas les vendre (sauf à des amateurs avertis)...
Amitiés.
(Note au Tenancier :
Pour "prouver que je ne suis pas un robot", j'ai dû recopier : "1241 cumanime".
Il faudrait surveiller la bonne tenue de vos mots de... passe !)
Je ne vois pas de quels Pauvert vous parlez, Dominique. Peut-être avais-je des "Libertés" lors de votre dernier passage mais ce n'est hélas plus le cas…
RépondreSupprimerJe ne vois pas non plus où vous avez oublié un "F" : devant le verbe "issir" ?
Amitiés