— Le Tenancier a tout d'abord un boulot qui consiste à vendre des bouquins sur plusieurs sites et que cela réclame un fichage conséquent.
— Qu'il s'occupe de remplir plusieurs blogues correspondant à plusieurs préoccupations ou amusements :
— Ce présent blogue qui a un certain kilométrage (1158 messages en comptant celui-ci) et dont votre Tenancier a un peu de mal à soutenir le rythme ces temps-ci. Encore heureux, du reste, que notre amie Béatrice nous gratifie de ses historiettes car les participations se font rares autrement.
— Le blogue consacré à Verne, qui est une passion d'enfance, et qui demande encore plus de soins que celui-ci.
— Le blogue de la librairie qui a été trop négligé ces derniers temps. A ce titre, on observe maintenant un rotation entre ces trois blogues de manière à varier les plaisirs et également à remplir ceux-ci convenablement.
— A ces trois blogues, il faut ajouter un quatrième qui devait être sporadique mais qui procure un amusement tel qu'il s'étoffe plus souvent que de raison. Il s'agit de celui qui fait écho des publication privées du Tenancier. (Celui toutefois sera augmenté dans la semaine puisqu'une publication est en cours d'acheminement)
Il faut donc que le Tenancier se trisse fissa pour récupérer un peu. Il prend quelques vacances et va les préparer un peu dans le calme.
A bientôt.
D'accord Tenancier...
RépondreSupprimerElisabeth
Tant que le Tenancier nous revient plein d'allant, de mauvaise humeur (justifiée), de fulgurances, de réflexions intéressantes et d'amour du livre, nous lui accordons sans hésiter ces quelques semaines de jachère.
RépondreSupprimerNous aimons à le voir creuser son sillon.
Otto Naumme
Le jockey club de l'Apocalypse saura se contenir et fera face aux contingences !
RépondreSupprimer__
ArD
Avant que les imbéciles qui pètent dans la soie du côté de Bruxelles n'en fassent un outil de gestion des quotas, la jachère, Tenancier, c'était l'art de cultiver son jardin par le repos.
RépondreSupprimerEt comme vous ne pétez pas dans la soie et n'avez jamais été à Bruxelles, hé bien,ne doutons pas que sur cette friche momentanée refleuriront des fruits gourmands
Bertrand du déclin