| — Le Tenancier est beau quand il est en colère ? |
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| — Le Tenancier n'est pas ressemblant ? |
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Quiz - 04
04 — Trouvez vous que
14 commentaires:
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Sur la première case, oui, le Tenancier est beau, lorsqu'il est en colère (mais il n'est pas du tout ressemblant et je me demande à qui le barbu est supposé ressembler...).
RépondreSupprimerSur la seconde, oui, le Tenancier est ressemblant. Qu'il le veuille ou non.
Otto Naumme
Otto a l'heur de pouvoir en juger pour avoir sans doute vu le vrai Tenancier.
RépondreSupprimerMoué, je ne puis que me fier à mon imagination... Et je le rejoins : le deuxième sied mieux à l'idée que je me fais du Tenancier, avé le chapeau quand il fait trop chaud et une sorte de manuscrit roulé dans ses mains.
Cher Bertrand, je fréquente le Tenancier depuis plus de trente ans, c'est dire si je connais sa frimousse. Et si je peux me permettre de confirmer : il EST ressemblant (et beau quand il est en colère) !
RépondreSupprimerSeule nuance : le manuscrit, il le porte roulé sous l'aisselle. Je ne sais pas bien pourquoi, j'ai entendu dire que les cubaines utilisaient cette partie de leur anatomie pour rouler des cigares et les feuilles qu'utilise notre cher Tenancier ne se fument pas, je ne pense donc pas qu'il y ait volonté d'imitation. Peut-être est-ce ainsi plus simple de trimballer son journal ?
Quoi qu'il en soit, oui, le Tenancier est beau quand il est en colère parce qu'on lui dit qu'il est ressemblant...
Otto Naumme
Dites-moi alors, cher Otto... Mais en douce, là, qu'il n'entende surtout pas notre conversation : s'il est beau quand il est en colère, se rend t-il parfois coupable d'une légère coquetterie en faisant semblant d'être en colère ?
RépondreSupprimerEt le chapeau ? Vous ne me dites rien du chapeau, Otto.
Ah ça, cher Bertrand, sans rien dévoiler de compromettant, il est vrai que ce cher Tenancier aime à feindre la colère ; cela lui va tellement bien au teint.
RépondreSupprimerQuant au chapeau, non, je ne vous en dirai rien, seul le Tenancier "himself" pourrait vous expliquer son superbe chapeau scout...
Otto Naumme
Bertrand, si depuis vos steppes lointaines vous fréquentiez un peu plus la page Fesse-Bouc du Tenancier, vous auriez pu le contempler arborer un couvre-chef assez semblable (quoique plus scout que breton)…
RépondreSupprimerOtto, il m'étonne que vous ne vous soyez pas reconnu derrière cette barbe postiche !
Concernant ce rouleau de papier, il me semble qu'il vaut mieux le porter sous l'aisselle que sous la selle (ce qui le ruinerait) ou sous les selles (itou mais pire)…
Et cette première illustration, Missié Tenancier, ça fait plus de trois mois que j'attendais que vous la missiez !
Excellente série dans la tradition franco-belge, au demeurant, dont on pourra feuilleter l'original ici.
Enfin, le Tenancier a beau se ressembler quand il est en colère (je dis ça, mais je ne l'ai jamais vu qu'avenant), il ferait beau qu'il se rassemble en couleurs !
Il faudrait peut-être préciser pour ceux qui n'ont pas l'heur d'avoir déjà vu le Tenancier "en vrai" (car, il existe, si si !) que, dans la réalité, il se ressemble bien peu ; de sorte que l'ayant rencontré une fois, il me fallut plusieurs minutes pour le reconnaître. En effet, l'essence du Tenancier est bel et bien couronnée du chapeau breton, quand son apparence omet distraitement de s'en coiffer.
RépondreSupprimerPar ailleurs, il faut bien reconnaître que le Tenancier est particulièrement beau lorsqu'il se met en colère. Sans doute, parce qu'il a de belles colères. On voit bien, par exemple, ce qui le met, fort légitimement, dans cet état, sur la première vignette. Son verre est vide ou aux trois-quarts vide ! De là à en déduire que le degré de beauté du Tenancier est proportionnel à la quantité de liquide ingurgitée...
Très finement observé, cher SPiRitus : je n'avais pas remarqué ce détail (et pourtant j'ai lu la BD) !
RépondreSupprimerEn cédant à d'absurdes tentations contrepétiques, on pourrait se hasarder à avancer que le Tenancier est beau quand il est encore laid, mais seulement après bien des libations, et encore, seulement dans le monde du non-A…
Ou alors, pardon, Le Tenancier est en corbeau quand il hélait, mais outre l'évidente discordance des temps je m'en voudrais de nous ramener à certain Mystère aujourd'hui résolu depuis presque un an et sur lequel tout a été dit.
RépondreSupprimer(Oups, désolé, on me dit qu'une fois de plus je me gourance grave…)
Cher Monsieur Letenancier,
RépondreSupprimerIl est vrai que je ne suis pas intervenu depuis longtemps sur votre estimable blogue consacré à la conchyologie, il est vrai, mais voici que me réaventurant par hasard (et par âge, car je commence à en accuser — et pas que des coupables — mais hem, pardon, j'anticipe ((n'y voyez aucune allusion à un quelconque mouvement social antédiluvien))) dans ces parages, il est vrai (de laquelle il faut impérativement séparer le bon grain, n'est-il pas ?), je constate avec effroi (peu me chaut de l'affirmer ici, n'en déplaise à John Grisham !) que vous hébergez complaisamment, sans doute à votre insu ("smala !", s'écrieraient ingénûment nos jeunes congénères — et désolé pour la cacophonie) les commentaires d'un certain George Weaver, qui, non content de m'avoir ravi ma famille, s'est enhardi à me faire subir les derniers outrages (euh… hem, vous auriez son numéro de téléphone, par hasard ?)
Cher monsieur Letenancier, je tiens à vous faire savoir que cet individu est pire que la peste : il colle, et (râââh !) s'immisce tel une limace, infeste et infecte tous les sujets sur lesquels il se greffe, hanté comme Rueil-Malmaison aux plus sombres heures de son histoire (laquelle, au fait, et de qui, en fin de compte ?)
Bon, arrêtons de nous embrouiller s'il vous plaît : je vous demande juste d'éra… Dick est un grand écrivain de science-fiction — euh… non ! Akim, Zembla, au secours ! — d'éradiquer, donc, cet individu malfaisant (mais qui, déjà, bon sang ?!) ce triste sire qui a répandu ses malfaisances et sévit depuis si tristement longtemps sur de si tristes, euh…
Enfin bref (comme disait l'autre), je vous serais reconnaissant de mettre à tout ça le terme le plus bref, sans quoi je saisirai le CSA et le KGB.
Bien huîtrement vôtre,
Fulguros
Tenancier, je vous conjure de ne tenir aucun compte des calomnies et diffamations (dix femmes à Sion, et puis quoi encore ?!) de ce machin de soi-disant "Fulguros", mon ancien voisin de palier qui m'en veut à mort de m'être un jour essuyé les souliers sur son paillasson alors que je vous avais prêté le mien un soir de détresse (vous vous rappelez, j'espère ?).
RépondreSupprimerLe mieux qu'on puisse tous lui souhaiter, c'est de se faire interner — volontairement ou on — et puis baste !
En plus, vous remarquez ? son commentaire n'a aucun rapport avec le billet, ni même avec les coquillages !
Cher Fulgoros, ne vous en faites pas, nous tenons à l’œil cet irrédentiste de la coquille lévogyre. Mais je me dois de vous dire que c'est Le Tenancier et non Letenancier, ah mais.
RépondreSupprimerSPiRitus, ce n'est pas que le verre est à moitié vide plutôt qu'à moitié plein (ou au trois-quarts ou ce que vous voulez) c'est qu'il bien souvent vide...
Joli sens du détail primordial chez Spiritus, quant au verre à moitié plein-vide...
RépondreSupprimerMais c'est normal : en Pologne, on appelle spiritus une espèce de breuvage à vous arracher des pleurs, une vodka redoutable pesant ses 98 degrés... Un truc qui met vite en colère, mais je ne sais pas si ça rend beau.
Je laisse à George le soin de nous concocter une de ces tournures d'esprit dont il a le secret. Par exemple ça "rend beau" vers l'aine.
Bof... Fatigué, moué.
Si ça rend beau, de l'air ! (et l'autre est à Monk, pas à Val…)
RépondreSupprimerCher Bertrand, vous m'en mettriez de côté une caisse, de votre spiritus polonais ?
Et au fait, Tenancier, puisque malgré mes innombrables obséquiosités et flagorneries à votre endroit vous prenez tout de go le parti de ce […] de Fulguros, je vous serais reconnaissant de bien vouloir me rendre fissa mon paillasson.
Ah, mais ! (comme disait Dashiell)