| La « société spectaculaire marchande » n’a de complaisance que pour les marchandises susceptibles de circuler à grande vitesse et donc de laisser sur leur passage la plus grande quantité possible de plus-value. Il en va bien entendu de la sorte pour les marchandises culturelle qui, même si elles sont hors de sens et sans contenu, n’ont d’autre fonction que d’alimenter, de manière ininterrompue les circuits de l’échange et, le temps de leur passage, de faire illusion. On ne leur en demande pas plus. |
Alain Nadaud : Malaise dans la littérature, 1992
Développement de : "Tout ce qui était directement vécu s'est éloigné dans un représentation. "
RépondreSupprimerG. debord, la société du spectacle.
Même le passé est devenu consommable et susceptible de rapporter, y compris le sous-sol archéologique qui est maintenant un juteux marché ouvert à la concurrence privée. S'asseoir par terre et pleurer de découragement.
RépondreSupprimerhttp://www.nouveauprojet.org/
RépondreSupprimerÉ.d.V.
Euh,É.d.v., comment devons-nous considérer cela ?
SupprimerComme un pastiche de ce genre de marchandise culturelle.
SupprimerÉ.d.V.
Ouf...
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