La Téloche du Tenancier



Sans commentaires...

29 commentaires:

  1. - Que dites-vous de Toulouse-Lautrec ?
    - Je dirais 2 à O pour Toulouse...

    C'est le même niveau mais là, misère de misère, c'est même pas pour faire rire !

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  2. Oui, au moins, le Toulouse-Lautrec, c'est drôle. Là...

    Otto Naumme

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  3. Remarquez, j'aurais pu intituler ce billet "Vilaine bébête" également...
    En tout cas, soyons clairs, c'est moins un billet partisan qu'un constat un peu effrayé de l'état de la culture d'un prétendu ministre actuel. On sait par ailleurs que, voulant supprimer La Princesse de Clèves aux futures caissière, il était somme toute normal que le chef des commerçants - entre autres, puisqu'il est secrétaire d'état de plein de choses, ce garçon - se mette au diapason. Je trouve que cette tentative de mise à niveau est méritoire. c'est une leçon de vie, comme celle que procure la lecture de Zadig et Voltaire, naturellement.
    D'ailleurs, proposons-lui une version en ligne :
    http://vip.zadig-et-voltaire.com/eu/fr/

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  4. Lautrec… comme ses pieds !

    Je me demande ce qu'en aurait pensé Roland Barthesse

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  5. À bien y réfléchir, rien que le fait de répondre à cette question débile dénote un manque abyssal de culture littéraire. Un véritable lecteur serait incapable de répondre, tant les genres littéraires sont différents. Personnellement, je ne saurais choisir entre tant de chefs d'œuvres qui m'ont marqué, que ce soit en littérature "blanche", en poésie, en SF, en polars, en sciences humaines ou en philo, en BD, etc., qui ne représentent de surcroît qu'un micron par rapport à mes lacunes.

    Peu à voir, mais quand même : pas plus tard que la semaine dernière, une dame est venue me demander un exemplaire de Manon Lescaut, sans doute pour son enfant au collège. Je lui en apporte un, dans la collection "folio", mais lorsqu'elle lit le titre complet (Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut), elle m'apostrophe avec méfiance, comme si je voulais lui fourguer du rab : « Monsieur, je ne vous ai demandé que Manon Lescaut, pas l'autre histoire ! »
    Moment très délicat où le libraire doit se dédouaner de l'accusation infamante sans pour autant offenser le client en le faisant rougir de son inculture…

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  6. Déjà, elle ne pensait pas qu'il s'agissait d'un "spin off" (comme on dit chez les branchés) d'une série télévisée...

    Mais je suis sûr, cher George, que vous vous en êtes sorti avec maestria et subtilité.

    Otto Naumme

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  7. Je ne résiste pas à dire mon parfait accord avec Georges : "rien que le fait de répondre à cette question débile dénote un manque abyssal de culture littéraire."
    J'ajouterais que la poser également...
    Quant à cette dame, on peut lui faire grand reproche de ne pas lire mon blog : http://lexildesmots.hautetfort.com/archive/2011/04/27/brassens-les-mots-du-cygne.html
    (2ème partie)

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  8. J'enlève le "s" à George sur les conseils avisés d'ArD....

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  9. Cher Otto, j'ignore ce qu'est un "spin-off", mais la dame a fini par l'acheter, ce "folio".

    Merci pour le lien, Bertrand : j'apprécie beaucoup vos analyses des chansons de Brassens.

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  10. Cher George, désolé d'avoir "causé branché", je sais bien que ce n'est pas le lieu...
    Pour éclaircir la chose (et pourquoi pas votre journée, soyons vantards...), voici ce qu'est un "spin-off" : il s'agit d'une série dérivée d'une autre série, à partir de l'un de ses personnages principaux, la plupart du temps. Très usité aux Zétazunis. Le résultat est généralement très médiocre, sorte de resucée de la série d'origine avec du talent en moins (s'il y en avait dans cette origine...). Bien sûr, il y a des exceptions.
    Mais foin de ces télévisailleries, revenons à la littérature et à ces incultes fats. Effectivement, qui pourrait "tout" résumer en un seul livre ? Sans même y voir la moindre prétention (ou fatuité ?), quel livre pourrait ainsi surpasser tous les autres ? Je ne vois guère que d'obscurs esprits fanatisés pour pouvoir apporter une réponse circonstanciée. Et l'on s'éloignerait énormément de la culture...

    Otto Naumme

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  11. Merci pour cet éclaircissement, cher Otto.
    Mais à Paris, ça flotte dur et c'est gris, hélas…

    Pour finir en contrepéterie sur votre allusion finale, cela donnerait (chez les cathos, du moins) un truc du genre :
    "Quel noble, bigre !"
    (attention, deux inversions…)
    Allez, courage !

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  12. deux inversions et éviction de la finale ?

    ArD

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  13. Non, non : double inversion, mais sans éviction — sans quoi la contrepéterie ne serait pas régulière, chère ArD.
    (bon, c'est quand qu'on rétablit l'heure des commentaires, nom d'un chien ?!)

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  14. Nom d'une pipe en bois, elle est fastoche, en fin de compte !

    ArD

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  15. Bien sûr, ça s'avère toujours fastoche, une fois qu'on a trouvé.
    De même que c'est toujours passé trop vite, une fois que c'est passé et qu'on a un peu plus vieilli…

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  16. Je suis vraiment totalement imperméable aux contrepèteries. J'essaye vainement de trouver les deux inversions, mais niet, nada, rien, je trouve pas !!!

    J'ai le droit à la solution ? Je vais aller m'inscrire aux Handicapés du contrepet, je pense qu'on pourra même me donner le titre de président d'honneur...

    Otto Naumme

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  17. allons nous y inscrire en choeur !

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  18. Désolé, on ne fournit jamais explicitement la solution d'un contrepet, chers Otto et Adria : c'est la première règle de ce jeu.
    Mais puisque SPiRitus, qui pourrait nous éclairer de ses savantes connaissances grammaticales, ne semble pas rôder dans les parages, je vais tenter de m'y coller.
    Il faut permuter les dernières syllabes des deux derniers mots, puis permuter, au sein du lexème central ainsi recomposé, la première consonne avec les deux autres, et cela en tenant compte du fait que le "e" n'est pas muet.

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  19. Mais si, cher George, je rôde, je rôde...

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  20. Quand on l'écrit grâce aux précieuses indications de George, on se dit que c'était simple et surtout qu'il y avait la solution dans la référence aux propos finaux (et finauds) d'Otto...

    Je me dis que ce qui m'a empêchée de trouver (ça me titillait depuis hier soir), c'est que je pensais qu'un contrepet, cet «art de décaler les sons que débite la bouche», était nécessairement grivois...
    Au temps pour moi :)

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  21. Ah ! Autant je trouve sans problème celui que cette chère Michèle cite (et qui fait partie des "classiques" du genre, si je ne m'abuse), autant le vôtre, cher George, continue à me tourmenter.
    Suivant vos indications, j'arrive donc à "Quel grone (ou "greno" ?) bible", ce qui, vous en conviendrez, n'a aucun sens...
    Où fais-je erreur ?

    Otto Naumme

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  22. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  23. Il vous faut encore inverser les lettres, trouver un anagramme de grone, cher Otto :)
    J'avais donné la solution, vous ôtant le plaisir de trouver. J'ai donc supprimé mon commentaire précédent :)

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  24. Otto, je veux bien être votre vice-présidente.
    Béatrice

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  25. Chère Michèle, je veux bien que vous la rediffusiez, cette réponse, parce que je ne vois toujours pas.
    Anagramme de grone ? Je vois "negro", mais "quel negro, bible", franchement, je ne vois pas le sens de cette phrase... "Rogne" ? Pas plus de sens...

    Chère Béatrice, pas de souci, votre candidature est approuvée ! Bienvenue au club, chère vice-présidente !

    Otto Naumme

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  26. Ronge bible, ou rogne bible, c'est tout ce que j'ai trouvé, Otto !
    Si ce n'était pas ça, peut-être George ou ArD dérogeront-ils à la règle :) (?)

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  27. Ah non ! Moi, mon président, c'est George !

    ArD

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  28. Otto, Michèle, vous ne respectez pas la première règle du Fight-Club du contrepet ! On n'explicite jamais la solution.

    "Ronge" et "rogne" sont impossibles : on ne peut pas ajouter de phonèmes, non plus qu'en retirer — seulement les recombiner.
    Cher Otto, vous avez bien suivi mes indications, mais pas en totalité : reprenez à voix haute le mot qui ne signifie rien en prononçant le "e" final et la grivoiserie apparaîtra (j'ajoute qu'il faut conserver la ponctuation initiale)…

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