En quoi la lecture de Polyeucte peut déclencher le sourire ?...
12 commentaires:
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Trop facile, je me tais !
RépondreSupprimerOui, laissez-en un peu aux clients de passage, tout de même !
RépondreSupprimerUne figure de style qui porte un très joli nom.
RépondreSupprimerArD
Éculé !
RépondreSupprimerPuisqu'il en faut un à qui ça passe au-dessus de la tête, coucou, me voilà !
RépondreSupprimerOtto Naumme
Restez poli, Grégory.
RépondreSupprimerAllez, ne faites point lanterner ceux qui ignorent, dites-nous pourquoi, lecteurs qui savent tout !
RépondreSupprimerActe I, scène 1 : on note ce beau vers qui à l'oreille s'entend avec un indéniable sourire aux lèvres : "Le désir s'accroît quand l'effet se recule".
RépondreSupprimerPlus précisément :
RépondreSupprimer"Vous me connoissez mal : la même ardeur me brule,
Et le désir s'accroît quand l'effet se recule."
Et quel est le vers, certes moins grivois, qui dans l'édition originale d'Horace peut également faire sourire (sauf Voltaire) ?
RépondreSupprimerJ'ai trouvé, mais comme c'était sur le net, je ne le dirai pas, pour pas gâcher.
RépondreSupprimerJe me souviens de "Je suis romaine, hélas, puisque mon époux l'est" mais je ne sais plus si c'est dans Horace et je ne vois pas le rapport avec Voltaire, pas plus que je ne me souviens du nom de cette figure de style (ArD ?)
RépondreSupprimerOn notera qu'on entend également dans cette phrase "Ménélas", qui n'a rien à voir avec Rome.