Au revoir à Boutmy

Avec Voleur, nous avons eu la dernière définition du Dictionnaire de l’argot des typographes. Il y a en ce moment dans ce blog comme une atmosphère – malgré soi ? – de fin de règne : les séries s’achèvent, s’épuisent, se volatilisent, se dispersent...
Parfois le Tenancier se pose des questions à ce propos, sont-ce des signes ?
Et parfois il ne s'en pose pas.
C’est selon.

7 commentaires:

  1. C'est peut-être juste un moment de calme, qui ne saurait durer.
    Béatrice

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  2. Puis il y a bien une série encore loin d'être achevée, n'est-ce pas, chère ArD ?

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  3. Oui, ce cher SPiRitus a raison...

    N'est-ce pas, chère, très chère ArD ?

    Otto Naumme

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  4. Je dirais même mieux bien cher SPiRitus : il y en a deux, vous le savez bien, et pour cause ! On peut même en ajouter une troisième si l'on compte la suite des glyphes, Otto.

    Le Tenancier n'a aucune bonne raison de fermer boutique : je vois que ses fidèles commentateurs comptent sur moi (!)
    __
    ArD

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  5. Cette période d'accalmie correspond à ce qu'on appelle en termes de marine le pot-au-noir (du moins si l'on en croit ce que relate Claude Lévi-Strauss au début de Tristes tropiques), mais je n'ai pas souvenir que ce soit cette sorte d'affalement qui provoqua la révolte des mutinés du Boutmy…

    En ce qui concerne les séries en cale sèche, outre les pieuvres par neuf et autres petits colis, demeurent malgré tout les 10/18 (j'en ai sous le coude, mais je le lève trop souvent pour satisfaire à cette urgence) et les aventures dessinées du Tenancier, ainsi d'ailleurs que les délices à la René Coty…
    Et ta sœur !

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  6. George, il faut aussi rappeler une série qui attend sa suite mais dont l'auteur m'a fait part de sa déception, car personne ne s'était prêté au jeu. En effet Les aventures de la Bibliothécaire était constitué de premières phrases de romans... Eva a sans doute eu raison de se lasser.

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  7. Oh, j'en suis confus... J'avoue que je n'avais pas compris que ces superbes aventures proposées par cette chère Eva reposaient sur la première phrase de romans.
    Si je l'avais saisi, j'aurais bien sûr plongé dans le jeu, avec mes modestes moyens.
    S'il vous plaît, Eva, revenez-nous ! Maintenant que nous avons saisi la règle du jeu, nous nous lancerons, promis juré !

    Otto Naumme

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