Et puis le Tenancier se retournant sur le travail accompli se dit d'un air décidé, retroussant ses manches, pour donner le change :
« Arrêtons-nous un peu : raisonnons sur notre avance, faisons le compte des amitiés perdues et des mésaventures, des soupirs et des engagements et allons nous coucher pour quelques jours. »Et le Tenancier s'exécuta car il est fidèle à sa parole.
Le Tenancier a raison. Mais qu'il pense aussi à faire le compte des amitiés trouvées, renforcées, tranches de rires et autres bons moments qu'il a pu vivre en ces lieux. Nul n'oblige à être maussade même en restant couché quelques jours.
RépondreSupprimerEt conchions les fâcheux ! (diantre, il y a du travail !)
Otto Naumme
Mais il nous manque déjà. Oui, Otto, au travail!
RépondreSupprimerBéatrice
À bientôt l'ami!
RépondreSupprimerSanté,
V.
Le Tenancier a-t-il eu vent des Trompettes de la Renommée et sur son brin de laurier, dort-il comme un loir ?
RépondreSupprimerApparemment, Le Tenancier est sorti de son sommeil... sinon dogmatique, du moins bibliophilique. La chaudière, seule, ronfle.
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