Incroyable mais VRAI

54 commentaires:

  1. Sapristoche, le bougre ! Vous fûtes donc le Robin de la Batwoman ! (Très-réussie cette affichette à l'ancienne)

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  2. Ah Otto, le fait que le Tenancier était un mai insoupçonnable m'a sauvée bien des fois !

    ArD

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  3. Incontestablement, le meilleur des mais. "Il n'y a d'ailleurs que ce mai-là qui m'aille" (dixit Otto salivant devant sa côte de bœuf).

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  4. Tonnerre de saperlotte !!!
    Otto était donc parfaitement fondé lorsqu'il envisageait un ME collectif, ou du moins des complicités…

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  5. Eh eh, je n'étais pas si loin. Mais pas si près non plus... Je n'avais pas envisagé l'hypothèse du Tenancier complice d'une impétrante (ou quarante, je ne sais plus).

    Pour le reste, je préfère d'autres moutardes plus corsées que celle-ci, cher SPiRitus. Mais la côte de boeuf, sans problème ! Je suis un garçon facile à nourrir...

    Otto Naumme

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  6. Après "mûre réflexion" (c'est un peu présomptueux...), plusieurs questions me viennent à l'esprit :
    - qui a eu l'idée du Mystère en premier, cette chère ArD ou ce sacripant de Tenancier ?
    - Pourquoi ne pas avoir tenu compte de mon penchant pour la viande ?
    - qui avait signé des commentaires RCW ?

    Otto Naumme

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  7. Complicité du Tenancier très limitée... Car, pour rien au monde notre Tenancier n'aurait véritablement voulu trahir son ami de cœur. Une adresse et un scan de la photo de Betty Page: un brimborion dans un si grand Mystère ! Le Tenancier n'a jamais eu connaissance du contenu des envois du M.E. autrement que par le biais des billets d'Otto. Il n'en fut jamais informé, car il était partie intégrante du Mystère, avec un avantage en amont.

    ArD

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  8. Cher Otto,

    Il ne s'agit en aucun cas d'un Mystère dual. J'ai agi à ma seule initiative sans informer le Tenancier de ce que j'allais faire le jour, où, poliment, délicatement et diplomatiquement, je lui demandais s'il verrait un inconvénient à me transmettre vos coordonnées. Il pensait qu'il ne craignait pas grand chose et m'a fait confiance.
    Pour la viande et le RCW, ces questions recevront réponse dans mon billet à venir.

    ArD

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  9. Cher Otto, concernant la viande, vous oubliez l'épisode du rosbif (c'est vous-mêmes qui aviez établi l'analogie, lors du teasing), qui avait suscité nombre de commentaires (et l'on est récemment revenu là-dessus au sujet de Breton, en réponse à une vôtre question à laquelle il avait déjà été répondu alors)…

    Et au fait, Tenancier, félicitations pour vos talents de graphiste ! Mais quelle est la signification des deux images du haut ? Ce perruqué ne peut figurer l'amiral Nimitz…

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  10. Ah non, désolé : vérification faite, ce n'est pas Otto mais SPiRitus qui séchait alors sur l'association "rosbif-surréalisme", tout en se souvenant avec raison que Tinchebray est en Normandie (dans l'Orne, précisément).

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  11. Chère ArD, la "trahison" du Tenancier était quand même bien légère - et pour la bonne cause en quelque sorte. Pour le reste, je pense qu'il devait être au courant de vos Envois, non ? Il devenait parfois pressant, sans doute inconsciemment ("tu n'as rien reçu de nouveau ?", des questions comme ça, parfois...)
    Pour ce qui est de la fourniture de mes coordonnées, il a eu bien raison, ce n'est pas grand secret - et il aurait été bien dommage de ne pas bénéficier du Mystère !

    Cher George, oui, vous avez raison, il avait été question de rosbif, suis-je distrait (ou oublieux, je ne me souviens plus).

    Ah, il va vraiment falloir faire quelque chose autour de ce Mystère, une manière d'à la fois le continuer et le clore en beauté.
    Après le billet que cette chère ArD nous a promis et que nous attendons avec impatience !

    Otto Naumme

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  12. Le Tenancier était un très bon élément de mon public. Pour tempérer son impatience devant la longueur de certains intervalles de mes envois, je lui annonçais parfois que j'allais bientôt procéder à l'envoi suivant. Il s'en réjouissait tout en ignorant tout du contenu, puis trépignait.
    Imaginez mon impatience en sens inverse quand il m'écrivait en douce que vous aviez reçu mon envoi et je devais attendre votre billet, Otto, pour en savoir plus. Ah, des « que fait Otto ?», il en a eu le Tenancier, de ma part !
    Nos plus grands épisodes de rire tenaient à ses résumés de vos échanges téléphoniques sur le Mystère. Pensez donc, je le pressais de questions en lui demandant si vous ne vous doutiez de rien, tellement cela me paraissait invraisemblable sans parler des quelques épisodes, au début, lorsque je tremblais suite à quelques commentaires.

    ArD

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  13. Cher Otto, je constate qu'il vous arrive de prendre vos aises avec le Tenancier : vous le tutoyez donc ?

    Moi je ne suis pas trop pressé de lire le billet final de notre Mystérieuse Expéditrice : tout s'est trop accéléré ces derniers jours (où j'étais de surcroît fort occupé par ailleurs à d'autres bêtises), à peine a-t-on eu le temps de digérer la délicieuse relation de votre propre envoi qu'a déboulé le magistral et concluant billet de ce limier hors-pair qu'est SPiRitus (au fait, il faudra nous éclairer sur Hélène Smith, Sherlock et consorts…) La richesse de ces événements demande un peu de temps pour être pleinement savourée, un peu comme un cognac hors d'âge…

    Concernant le parachèvement du Mystère, je réitère la proposition que j'ai faite hier, qui n'était pas purement badine : transformer l'ensemble en un bel album micro-édité et clandestin (évidemment), à l'enseigne de la Librairie Feuilles d'automne, par exemple, pour la mise en page duquel on pourrait solliciter les talents d'ArD et de Mouton à Lunettes (je veux bien me charger des corrections).
    Je suggère (mais rien ne presse, cela peut prendre des mois) que chacun d'entre nous sélectionne pour chaque billet les commentaires qui lui semblent dignes de figurer dans cet éventuel album (ou à l'inverse mais cela revient au même, ceux qui lui paraissent trop insignifiants), de manière à alléger un peu la pagination de l'ensemble. Sans prendre en compte des critères externes au Mystère lui-même (je songe surtout à un éminent commentateur sporadique avec lequel nous avons rompu tous liens pour des raisons qui n'ont rien à voir avec notre affaire). Phynances seront peut-être nécessaires, mais pas trop : on saura bien réunir une cagnotte.
    Voilà : qu'en dites-vous ?
    (pfff, que de boulot en perspective : entre ce machin-là, les petits colis, les notices imaginaires — euh…, hem ! hem ! —, les billets sur les 10/18… comme si on n'avait que cela à fiche ! Tenancier, si on ne passe pas fissa à un monde sans argent, je vais me mettre à réclamer un salaire !)

    ArD, vous excitez de nouveau ma curiosité : quels commentaires du début ont donc pu vous faire craindre d'être démasquée, par exemple (ceci, juste pour tenter de comprendre un peu la logique de vos tribulations cogitatives) ?

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  14. Eh oui, cher George, un mythe qui s'écroule, le Tenancier et moi nous tutoyons dans la "vraie vie"...
    Par ailleurs, j'agrée avec votre proposition, d'autant plus que nous avons commencé à évoquer une idée similaire avec le Tenancier.

    Pour le reste, chère ArD, comme notre cher George, je suis assez curieux de savoir quels commentaires vous ont fait craindre d'être découverte.
    Mais il a du vous dire que, à ces moments-là, je ne vous soupçonnais pas spécialement.
    Mais j'imagine bien votre impatience dans l'attente de mes réactions (j'avoue avoir parfois un petit peu traîné de manière délibérée, me demandant si cela n'amènerait pas un faux pas du M. E., sans succès il va sans dire...).
    Si j'avais pensé plus tôt que le Tenancier jouait un rôle de complice, j'aurais sans doute pu trouver plus rapidement la solution, mais il faut avouer que le cachotier a bien joué son rôle dans l'affaire, chenapan qu'il est !

    Otto Naumme

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  15. George, je ne vais pas tt dévoiler en commentaires, car un sacré boulot de défrichage m'attend pour faire un billet. Sachez juste que lorsque vous avez débarqué, votre sagacité n'est pas restée à l'ombre, pfiouuuu !

    Pour le reste, oui, le Tenancier est très très fort : j'évoque souvent son talent d'instrumentalisation de ses blogueurs. A ce rythme, c'est un savoir-faire, une compétence, une idiosyncrasie !

    Je note que vous êtes bon élève, vous vous y mettez aussi (!)
    Savourez la trilogie du dernier épisode tranquillement, y a pas le feu au laque, saperlipopette !

    ArD

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  16. Le Tenancier est un complice très fiable, vous pouvez compter sur lui, Otto, vraiment !

    ArD

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  17. Oui, oui, oui, le Tenancier a parfaitement joué son rôle, n'hésitant pas, après un petit compliment en guise de captatio benevolentiae, à douter des conclusions de mes considérations paranoïa-critiques. Il me semble que dès que l'un de nous s'approchait d'un peu trop près d'ArD, le Tenancier sortait du bois - où il aime à randonner, à rêvasser et à...trébucher - pour nous éloigner. Bref, il nous baladait, comme les parents du petit poucet.

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  18. À trébucher, oui, le pauvre…
    Ne manquait plus qu'un buvard (pour sécher l'encre de Chine, nom d'une laque !) et on se retrouvait presque chez Flaubert…

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  19. C'est au dieu Lug (et à ses publications) que je dois l'habileté à reproduire non une affiche mais à parodier une rubrique qui était obligatoire dans les fascicule de BD selon la loi sur les publications pour la jeunesse. J'ai puisé cette image dans la même source qui me sert à vous narrer de loin en loin les aventures du Tenancier (m'est avis qu'il ne va pas tarder à revenir, celui-là, même s'il n'est pas ressemblant).
    Je ne sais vraiment pas si je dois mériter ces éloges. En tout cas, je puis dire que la trahison d'un ami ne peut que ce concevoir que comme cela : pour son bien et pour son plaisir (et le nôtre). Mon hésitation à délivrer les renseignements que je possédais sur Otto fut brève, tant j'avais confiance en ArD !
    Pour le principe d'une édition de cette aventure, j'en suis entièrement d'accord. Mais si nous sommes habituées, pour certains d'entre nous, à quelques arcanes de l'édition et de la technique de mise en page (Élisabeth et moi pouvons également postuler à la mise en page...), il n'en va pas de même pour nos phynances respectives. je suggère donc de mettre à disposition de notre communauté de tireurs de ficelles un essai que j'ai commis récemment et qui peut être un bon outil de propagation de cette histoire. la seule dépense que nous aurions serait le temps que nous y consacrions chacun de notre côté. Le voici :
    http://letort.yves.free.fr/index
    Il est très facile de faire en sorte que cette plateforme encore très virtuelle devienne un outil de diffusion efficace pour cette aventure et, pourquoi pas, certaines autres... C'est à vous de voir !

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  20. L'aventure des Petits colis commence, et je me sens tel l'arroseur arrosé !

    Si ça continue, ça va être un job à plein temps ce blog.

    ArD

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  21. Notre sommeil en devient peau de chagrin, chère ArD, mais c'est pour notre plus grand plaisir ! Gloire aux Feuilles d'Automne et à leur Tenancier (qui, parions-le, sera de plus en plus exigeant avec ses habitués) !

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  22. En tous cas, me voici avec deux billets à rédiger sur les bras ! «Exeat le Mystérieux expéditeur!» et Le Petit Colis n° 1.

    Au fait, SPiRitus, vous auriez fait un M.E. hors pair, sauf qu'avec un timbre pareil, on vous repère à 3 km. Quel art de la mise en pli !

    ArD

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  23. Tttt ! ArD, vous êtes priée de ne point trop commenter ce petit colis en attendant de nous en faire pat. N'oubliez pas de préparer votre envoi au suivant, car c'est la règle !

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  24. Je ne vous aurais point égalé, chère ArD, une touche magnifique m'aurait nécessairement trahi. Notre bon Tenancier n'a pas tardé : quand je vous disais que son exigence allait gravir encore un degré...

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  25. Si vous donnez dans la traduction latine des chansons de Tina Arena, maintenant !

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  26. Non, je cite Le chat de Fat Freddy ce qui date un peu plus...

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  27. Donc pour l'instant, dans ce teasing improvisé à l'arrache :
    en
    et
    magnifique.

    Que de promesses de futurs calembours (faits à point ou pas, de Normandie ou non, foin de Tinchebray !), ces praillevètes djoksses…

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  28. ”Quel petit colis de qui donc on m'met au fond de la cour ?"

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  29. Bon sang de fichtre, Tenancier, je viens de tomber sur ce site prometteur ! Mais je maintiens qu'il nous faut une micro-édition sur beau papier, reliée et limitée à une vingtaine d'exemplaires (d'où point de soucis de phynances : je puis même fournir l'imprimeur, le brocheur, la relieuse, par exemple).
    Tout le boulot consiste à sélectionner les commentaires, chose peu facile.

    Et tout le reste est littérature.

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  30. George, vous avez raison de maintenir... Ce n'est pas un Tenancier qui va vous mettre au pli, ah mais !

    ArD

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  31. Je suis d'accord avec les uns et les autres !

    Et réciproquement.

    Otto Naumme

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  32. Personnellement, je préfère l'ami Zampli (frère du Zantrop chanté par Bobby) aux "be goodies"

    Otto, Tenancier, vous pensez faire mouche, avec vos "Tsss, tsss" ?

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  33. Otto va nous organiser un W.E. travail qui nous aille, c'est sûr !

    ArD

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  34. Je ne suis ni pour ni contre, bien au contraire, puisque je suis pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour.

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  35. D'acc. pour Dac, Tenancier.

    ArD, si vous titillez Otto avec un "W.E." dont il suffit de retourner verticalement la première lettre pour qu'il se transforme en "M.E.", la moutarde risque de lui monter au nez !

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  36. Puisque nous en sommes là, et que nous savons maintenant qui a tricoté les mailles de la nasse du Mystère, je me permets de faire un peu de publicité pour les jeunes mais vigoureuses ésitions Sao Maï.

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  37. … et si on (décision) disait plutôt "éditions", ça serait mieux.

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  38. Relisant par désœuvrement (ben voyons !) les commentaires du deuxième épisode, je constate que le 26 octobre 2009 à 23 h 04, SPiRitus resserrait déjà fortement l'étau autour d'ArD…

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  39. Dites donc, George, si vous persévérez dans les coquilles, je vais vous cataloguer dans les «étourdis» moi aussi (!).

    SPiRitus a resserré l'étau bien avant, dès les premiers épisodes. C'est le premier à avoir eu le nez creux, m'obligeant à mentir pour me défausser. J'avais choisi un destinataire tranquille, c'était sans compter sur le nez fin de SPiRitus qui a osé me nommer, tandis que vous, non. Il avait pas mal soupçonné notre Tenancier, puis s'est vite écarté de cette hypothèse : le Tenancier est très convaincant comme on le sait.

    ArD

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  40. Mon cher George, si vous êtes à ce point désœuvré, je ne puis que vous recommander de vous recoller à votre grand œuvre illico et pas plus tard que fissa. Ni moi ni Adria n'avons votre souffle inspiré (qu'Adria me pardonne de parler à sa place !)pour la continuer dans un confort que pourrait nous envier un cacique de l'UNR dans sa DS Pallas au retour d'une partie fine aux alentours de Marly Le Roi vers le milieu des années 60.
    Allons, mon bon George, Sursum corda !

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  41. Hé, ho, j'ai bien spécifié : "ben voyons !"
    Et je n'ai hélas pour l'instant plus de possibilité de connecter mon squaneure à l'ordi…

    ArD, vous m'avez mis à nu, hé !, comme l'empereur…

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  42. Tiens...
    Le coup des mauvais outils !
    Elle est exotique, celle-là !!!

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  43. (N.B. : Je vous charrie gentiment, hein...)

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  44. Hé oui : incroyable mais VRAI, là aussi !

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  45. "J'avais choisi un destinataire tranquille", comment dois-je prendre cette remarque, chère ArD ?

    Otto Naumme

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  46. Eh bien, le plus tranquillement du monde, non ?

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  47. Prenez-le donc sans prétention.

    ArD

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  48. Dites donc, ArD, et ce billet conclusif ? C'est que nous aimerions le lire avant de nous éclipser pour d'autres territoires moins connectés...

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  49. Aïe, j'avais commencé et voilà que je diffère, m'étant laissé prendre par une éclipse locale.
    Vous avez raison de réclamer...

    ArD

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  50. Vous noterez que le Tenancier a pudiquement fermé son clapoir à ce sujet, ne voulant point presser cette pauvre ArD qui doit au moins trois billets à ce blog.

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  51. Nous réclamons, nous réclamons, tout comme SPiRitus.
    Nous attendons, nous attendons...

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