Balle (Enfant de la), S. m. Ouvrier compositeur dont le père était lui-même typographe, et qui, depuis son enfance, a été élevé dans l'imprimerie. L'origine de cette expression, qui est passée dans la langue vulgaire, est assez peu connue. Elle vient de ce que, avant l'invention des rouleaux, on se servait, pour encrer les formes, de tampons ou balles. |
Eugène Boutmy - Dictionnaire de l'argot des typographes, 1883 |
Sans compter que cela marchait par deux, cela va sans dire. (Les balles.)
RépondreSupprimerArD
Eh bien merci, j'ai toujours cru que cette expression venait du monde du cirque... :0)
RépondreSupprimerMoi également, jusqu'à ce que je tombe sur cette définition. Mais Boutmy se trompe peut être. La recherche des étymologies est souvent amusante.
RépondreSupprimerArD, vous êtes un peu "olé-olé", dites-moi...
Ard, elle est de la balle ! Je kiffe trop ;-)
RépondreSupprimerAh mais pas du tout Tenancier, j'insiste sur le bon emploi de la paire... en cuir de chien, de préférence.
RépondreSupprimerArD
Effectivement, ce raffinement a son charme. S'il s'agit de chihuahua surtout. Hors cet usage, je ne comprendrais autrement pas comment l'on pourrait avoir envie de s'occuper de ces horribles petites boules de poil. Pensons, cela dit, à les écorcher vifs, la peau garde alors toute sa souplesse.
RépondreSupprimerOtto Naumme