Illustration de couverture de Éric Dussert - Collection Omajajari
Châlons en Champagne, Cynthia 3000, 2007
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Mais quel rapport entre Yves Robert et Jarry ??
RépondreSupprimerGeorge, rien d'autre que le titre. Mais le contenu de cet ouvrage est amusant. Rien que pour celui-là on pourrait se permettre de prendre la série entière (laquelle de toute façon est insécable). Cela dit, il y a également de très bons titres dans cette série,raison pour laquelle vous verrez les neuf suivants représentés ici. Ensuite, nous aurons une autre série que vous devez posséder et que nous connaissons en partie ici sur ce blog, déjà...
RépondreSupprimer... Euh... La série Abeille ?(!)
RépondreSupprimerArD
Vous verrez bien.
RépondreSupprimerJ'ai du louper un épisode, je ne vois aucune allusion à Yves Robert ici. A moins que quelque chose m'ait échappé, ce qui n'est pas impossible...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Très alléchant, ce catalogue de Cynthia 3000, avec quelques connaissances : Tailhade (assez pénibles, il faut dire, ces quatorzains bourrés de patronymes contemporains de l'auteur), Jacques Jouet, Lucien Suel…
RépondreSupprimerJ'avoue être très intrigué par cette prochaine série, qui est censée être déjà en ma possession (à moins qu'il ne faille lire « que vous vous devez de posséder »)…
Cherchez bien dans sa filmographie, Otto… un scénario de François Boyer…
RépondreSupprimerDans le film de Yves Robert, vous y retrouverez, cher Otto, le garçonnet qui jouait le Petit Gibus... et Jacques Higelin, entre autres. Je tiens le film à votre disposition pour un visionnage.
RépondreSupprimerChez moi ou chez vous.
Cher Tenancier, ce sera avec plaisir !
RépondreSupprimerMais ce qui m'a trompé, c'est que le film de Yves Robert s'appelle "Bébert et l'Omnibus", Bébert n'étant pas, pour moi, un diminutif d'Alfred (qui vous donne le bonjour, au passage). Bon, là, je mens affreusement : en fait je viens d'aller découvrir la filmographie du sieur Robert, dont je ne connaissais que la partie la plus grand public, je l'avoue.
Il faudra également que vous me laissiez jeter un oeil à cette collection Omajajari, elle me semble bien intéressante.
Otto Naumme
Cher ami, vous devriez, entre deux réceptions de colis aussi sympathiques que mystérieux, jeter un coup d'œil à ces ragaillardises que sont Les copains ou Alexandre le bienheureux…
RépondreSupprimerIls sont également à la disposition d'Otto, dans notre vidéothèque...
RépondreSupprimerPour en revenir à la collection de Cynthia 3000, j'y verrais bien ce titre : Jarry, homme à jaja.
RépondreSupprimerVous sous-entendez, George, que notre Otto aurait besoin de ragaillardises ? ... En plus ou parallèlement aux colis qu'il reçoit ?
RépondreSupprimerArD
Non, non, je ne préjuge en rien des forces ni des faiblesses d'Otto : c'est juste que ces films sont roboratifs pour n'importe quel esprit sainement constitué.
RépondreSupprimerCela dit, il n'est pas exclu que notre bienheureux récipiendaire reçoive aussi des films…
En tout cas, George WF Weaver : Twelve points !
RépondreSupprimerEuh… mais à quel sujet ? Je ne connais d'ailleurs pas cette expression, qui semble faire référence à l'Eurovision…
RépondreSupprimerChouette, je viens de trouver un moyen de contourner la difficulté du copier/coller : il suffit, après avoir copié ce qu'on veut, de cliquer sur "Aperçu", puis de revenir dans la case de commentaire; celle-ci étant rechargée, on peut alors coller (mais pourquoi ? mystère…).
Funfzig Points, George !
RépondreSupprimerC'est comme en médecine George, on diagnostique mais on ignore les causes dans la plupart des cas.
Tenez, moi, ça fait un an que je ne peux pas envoyer un seul commentaire sur ce blog sans que ça échoue une première fois et qu'une fenêtre saute-au-pif me dise de réessayer.
Tonnerre, je viens du coup de me retaper cette ridicule retransmission de l'Eurovision 1977, que je me souviens avoir vue à l'époque en direct (pour la seule et unique fois, heureusement) !
RépondreSupprimerDonc l'expression semble bel et bien venir de là. Incidemment, je note qu'Israël figurait parmi les pays en lice !!!
La prochaine je prendrai un titre sans rapport avec Yves Robert, c'est promis.
RépondreSupprimerMais au contraire : voyez la richesse des discussions que ce choix suscite — et pas qu'ici, j'imagine !
RépondreSupprimerTiens, je m'apprête à lire votre Sort de Camille, dans le beau AMER #3…